« Une vie comme le pense une rose. » Si seulement j'étais un oiseau. Je pourrais voler loin d'ici. Au lieu de ça... J'étais là , perdue devant l'étendue d'eau qui me faisait face, regardant onduler les vagues qui formait de l'écume.. Éblouissante ! Je savais cependant que bientôt tout cela disparaîtrait , laissant place aux ténèbres lugubres. Je le savais et je m'étais préparée au choc, celui qui montrait que bientôt on allait rejoindre tant de monde, tant de plantes... J'écoutais le bruit étourdissant de l'eau frappant les rochers couvert de mousse verte. Bientôt le ciel laisserait tomber des milliers de gouttes, mais de toute façon je sens que les ténèbres, ou plutôt le monde mystérieux m'auront déjà rappelé. Au loin j'entendis le bruit sourd du tonnerre résonnant sur les montagnes aux neiges éternelles. Mon âme de fleur aurait voulu voir le monde de plus près au lieu de rester immobile, regardant le paysage se métamorphoser. Souvent je regardais les bipèdes jouer dans la mer ou même dans la neige à la saison froide. Soudain des boules blanches tombèrent du ciel et vinrent fondre sur le sol, les maisons voisines laissaient paraître de la fumée grisâtre... Les flocons commencé à rester sur le sol dur et mes pétales de rose commencèrent à ce refermer, je sentait les ombres m'envahir et d'un coup un frémissement suivit d'un bruissement me fit comprendre que je perdais la vie, celle que j'ai tant protégée ! Je me voyais déjà dans l'eau découverte de tout ce que j'avais. Qu'elle triste fin alors que j'ai tant espéré pouvoir un jour découvrir loin, loin derrière la montagne. Mais je devais partir. La tristesse a envahit mon coeur mais peut être une seconde chance me fera vivre selon mes désirs.... Peut être non?.... Mon corps était là. Et moi j'était au dessus. Voyant mes pétales rose et blanche en train de tombés me donnée envie de hurlé. Hurlé de rage. Je ne veut pas que tout s'arrête là ! Pourquoi? Pourquoi la vie finit elle ainsi. La colère luisait en moi et je me retenais mais bientôt je ne pourrais plus. Ma vie est terminer mais ou la mort nous emmènent elle ? La brume recouvrait mon corps de fleur et je ferma mon âme laissant place à la suite. J'avais peur, très peur, j'attendais la mort depuis si longtemps et voilà que je refusé de la rejoindre. Bien plus tard j'ouvrit les yeux. J'était là je voler dans l'immense ciel bleu. Je rêve ? Oui je rêve la peur de mourir c'était transformer en mon plus beau rêve mais pourquoi, tout est flou dans ma tête. Non je ne rêve pas. Le vent ! Le vent avait emporter mon défunt corps. Mais alors si je suis morte ou suis-je ? Là, je le sais. Je suis encore vivante. Mais plus pour longtemps. Ma tige étant coupé je suis obligée de mourir. Je le sais. La vie me laisse quelques secondes encore. D'un coup je comprit. Le choc était ma tige qui ce défaisait et le corps remplit de pétales de fleur n'était autre que mes pétales... Enfin voilà le moment . La vie m'échappe...