Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
LGDC Warriors
s'inscrirese connecter

Top Site
Votez toutes les 2 heures !
Nouvel évent sur LW
Suivez le fil d'actualité ICI.
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Rasoir d'Ockham → Troisième pénitence : la culpabilité.
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 17:33
    CHARACTER

    Rasoir d'Ockham → Troisième pénitence : la culpabilité. Sansre6xNom & surnom : Rasoir d'Ockham - Ockham.

    Âge : Trois années.

    Sexe : énoooorme Mâle.

    Clan & Rang : Tonnerre. & Vétéran.

    Origines : Lisez l'histoire.

    Le but de ton félin ( s'il en a un ) :Achever sa vie de pénitent.


    PSYCHOLOGIC

    Personnalité | 3 lignes minimum | :
      Rasoir d'Ockham est complexe. Ce qui n'est ni une qualité, ni un défaut, mais plutôt un mot de vocabulaire englobant relativement tout le personnage. Issu de l'amour passioné entre deux alliages impérieux de philosophie, logique & minutie, il sait se montrer perspicace et fin stratège sur les plans de combats. Ses conclusions, précédées souvent de phrases simples et concises, après tout, il applique à la lettre les théories de son père. Fin diplomate, on fait souvent appel à ses talents d'orateur lorsqu'il s'agit de calmer un conflit. Certes, je pourrais débattre des heures sur ces points majestueux de sa personnalité. Mais cela ne cernerait pas le personnage. L'une des passions auxquelles il se voue corps et âmes est, comme dit ci-dessus, l'art de la philosophie. Derrière son regard croisé de topaze et de saphir, il abrite une âme qui réclame un constant besoin de solitude, ce qui lui a valu les qualificatifs de « misanthrope », « solitaire », « réservé ». La réalité est bien loin de cela. En effet, Ockham n'a jamais vraiment détesté quelqu'un. C'est une bonne tête. Il n'arrive tout simplement pas à tenir une vie sociale adaptée aux attentes des gens de ce monde. Derrière sa forte carrure et son corps que les muscles recouvrent, il dissimule un coeur pur, une âme franche et un fond dépourvu de toute trace de méchanceté . De toute manière, au vue de son histoire des plus atroces, il nourrit envers le sang une aversion totale.

      Ce qui fait le charme de ce personnage intriguant est, je dirais, sa manie de toujours tirer les choses vers la perfection. Cela se voit au premier coup d'oeil, par ailleurs : son pelage est toujours parfaitement soigné, juste légèrement panaché de manière à lui conférer une allure de tsar. Mais ce n'est pas tout : dans le domaine de la chasse, ou dans celui de la guerre, il s'arrange toujours pour ne pas se salir les pattes : une branche tombée sur une souris grâce à un calcul minutieux, un adversaire qui se retrouve face contre terre a cause d'un stratégème élaboré du début à la fin … On pourrait associer ça à de la folie, mais cela n'en est pas.
      C'est unb cran encore au dessus.

      Nous ne pouvons clore cette description pshychologique sans évoquer quelques unes de ses qualités principales. Rasoir d'Ockham est un charmeur, cela va sans dire. Bien qu'il ne soit pas du genre à rouler des mécaniques, et que son physique, nous allons le voir, ne sort point de l'odinaire, il jouit d'une certaine popularité du côté de la gente féminine. Ceci n'est point du a son allure virile ni a son air mystérieux, mais plutôt du fait qu'il sait, décidemment, parler aux femmes. À l'écoute, il est le parfait gentleman par excellences … Toutes ces demoiselles vous le diront.


    Défauts :
      • Lâche |4 minimum |
      • Mauvais combattant
      • Mauvais chasseur
      • Peur bleue du sang


    Qualités :
      • Futé |4 minimum |
      • Logique
      • Vif
      • Costaud


    STORY

    Rasoir d'Ockham → Troisième pénitence : la culpabilité. Sansre7hHistoire : En dessous ~


    PHYSIC

    Description Physique :
      Rasoir d'Ockham n'est pas un appolon, sans pour autant être une horreur vivante. Des épaules larges recouvertes d'un large pelage roux srié de brun, au ventre blanc et aux pattes crèmes, il a l'allure des main coons et la force de caractère des persans. Descrivons sa silhouette en détails.

      D'abord, il y a ses yeux. Un regard assymétrique, constitué d'une iris bleue et d'une iris verte, déterminé mais souvent pensif, profondément enfoncé dans deux orbites à l'arcade sourcilière arrondie avec grâce, et décorés de cils fins qui lui donneraient un air effeminé si il ne compensait pas par une telle puissance dans le regard. Bien qu'il soit rare que la brume vienne en adoucir les contours, il sait garder une fierté lorsque cela se produit. Élargissons le cadre de notre vision et concentrons nous sur la totalité de son crâne. De forme triangulaire, il est presque entièrement roux, excépté quelques tâches noires aux alentours de son regard et de ses oreilles, presque imperceptibles mais bien présents. Son museau est entouré de poils bruns crèmes. Son corps est immense, et il s'agit là d'un doux euphémisme. Mesurant le double au minimum de la taille moyenne d'un chat de son âge, cela lui a valu de ne pas dormir dans le gîte des guerriers par bien des fois. Robuste, il utilise cependant rarement sa force et se sert plus souvent de son intelligence.

      Achevons cette description sur la note la plus importante qu'est son pelage. Sosie parfait de son père, il est un mixte de poils bruns, roux, parsemés de quelques taches noires, qui se font cependant relativement rares.


    YOU

    Votre PUF : Freak / Mélow

    Votre Âge : Hrmf.

    Penses-tu être actif sur LW ? : Hrmf.

    Comment as-tu connu LW ? Est-ce un deuxième/triple compte ?: Hrmf.

    Kit utilisé Hrmf.

    As-tu lu le règlement ? : Hrmf.

    Alors donne-moi les deux codes cachés dedans - héhéhé - : Hrmf.

    Que penses-tu de LW ? Un conseil pour le forum ? : Hrmf.

    Autre Chose : ( Facultatif ) Hrmf.
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 17:33
Chapitre . Premier

Au commencement ...


      « -Tu viens ?
      - Je te suis. »

    Jamais Phèdre n'avait parut aussi belle depuis qu'elle était pleine. L'odeur de son pelage blanc qui parvenait jusqu'à lui lui réchauffait le coeur. Il devait en être ainsi, ils ne pouvaient mettre bas près de son clan. D'un geste léger, le guerrier se retourna et lui lècha affectueusement l'oreille. Il la désirait, en ce moment même. Mais la pluie diluvienne qui battait dans les bois lui fit oublier son pelage blanc nâcré, ses yeux verts, son allure élégante magré son ventre bombé. Non, jamais il ne l'avait tant aimée qu'en cet instant précis, où elle portait son fils, son héritier. Et bientôt, cette passion allait encore grandir. Abrégeons.
    Son regard se porta sur un arbre que la foudre avait creusé. L'endroit était certes peu prudent par temps d'orage, mais l'eau qui dégoulinait des cieux ne semblait pas accompagnée de foudres. D'un mouvement de tête, il lui indiqua ce logis. Phèdre accepta, et s'y logea. Il vint se blottir contre elle. Le travail allait pouvoir commencer, et un rayon de lune semblait percer les nuages. Tout était parfait. Quelques heures après s'être installés, sa compagne donnait, épuisée, ses mamelles en pâture à un chaton au poil roux et dont les iris verrons, l'une bleue, l'une verte, étaient le doux partage des gènes de ses parents. Ses lèvres trembleaient d'émotion. Il approchait de sa quatrième saison des feuilles vertes dans cette vie, et avec son amour, ils avaient déjà essayé de se reproduire maintes et maintes fois, sans que cela ne porte ses fruits. Lorsqu'elle lui avait annoncé qu'elle était enceinte, il savait parfaitement qu'il ne fallait s'attendre qu'a un seul enfant. Mais il en avait pleuré d'émotion, remballant une bonne fois pour toute sa dose de testostérone. Et aujourd'hui, devant cet être braillard – que tous eurent été un jour ou l'autre , les larmes perlaient a nouveau a la périphérie de ses orbites. Sa concubine, épuisée, le fixa de sess yeux saphiriens. Enfin, ils étaient une vraie famille.
      « Tu as réfléchis a un prénom ? »

    Dit le chasseur d'une voix suave, remplie d'un amour tout nouveau qui embrasait son ventre. La jeune mère haussa les épaules, son attention concentrée sur l'enfant qui après un long bâillement était parvenu à s'endormir.
      « Ockham. »

    Le nom sonnait bien. Et tous deux connaissaient la fameuse histoire du Rasoir d'Ockham : le chemin le plus direct est toujours le bon, la logique prône sur ce monde, et surplombe les palabres littéraires. Il posa sa patte sur l'épaule encore frêle de son nouveau né.
      « Alors, tu seras Ockham, mon fils. Ton esprit sera fin et judicieux, tes paroles seront claires, et tu seras malin, ainsi digne de ton nom. »

    Alors qu'il s'apprêtait à dorloter cette vie nouvelle, la lumière perçante de l'aurore d'un nouveau jour éclaira l'espace alentours. Surpris par le jours qui se levait si subitement, le guerrier se retourna vers son amie qui le regardait d'un air triste. Tous deux savaient ce que cela signifiait. Le clan entier leur avait pardonné leur liaison, mais sous condition de ne se voir que la nuit tombée, et avec obligation de se quitter dès l'aube. Après un regard rempli de tendresse, le guerrier au pelage de feu prit route vers le camp, haletant. Toute la journée, sa pensée était consacrée entièrement à son enfant, et il ne put faire autrement que de se réjouir lorsque la nuit tomba, enfin, sur le camp impassible.

    Passons quelques mois.
    Ockham avait maintenant une demie douzaine de lunes, et attendait avec impatience la venue de son père, les yeux écarquillés, les oreilles à l'affut. De toutes les périodes qui constituèrent son existence, ce labs de temps était de loin celui qui fut le plus douceureux. Alors que ses yeux écarquillés, l'un bleu azur l'autre vert fourré, fouillaient le monde à la recherche de choses à découvrir, ses premiers mots, balbutiants, sortaient d'eux mêmes, plaçant une appellation sur chaque chose de son entourage, et comme il avait commencé à chasser, chaque proie qui touchait ses maxillaires avait à ses papilles le goût des mets de roi. Soyons bref : il était heureux. Revenons à notre histoire. Il était donc là, pré-adolescent frémissant près de l'arbre creux où il vivait avec Phèdre, sa mère, à attendre la venue de son géniteur. Il adorait la nuit. Non pas par amour pour le noir, ni même par quelconque poésie, mais tout simplement parce qu'elle lui rappelait son père. Une silhouette qui se découpait sur le mur de l'horizon . Il était là.
    Sans plus se retenir, il bondit vers celui qui avait permis, de cela huit lunes auparavant, son enfantement. Ockham adorait son père. Oh, bien sûr, il aimait beaucoup sa mère également, mais de ses deux parents, c'était lui pour qui il nourrissait le plus d'admiration. Son père parvenait a suisciter chez lui un grand intérêt en lui racontant la vie au « clan ». Il lui parlait de guerriers, de combats, de tas de gibier et de clan des étoiles. Il lui relatait les histoires passées, les cérémonies de baptême et les veillées au clair de lune. Le chaton, qui était désormais à la sortie de l'enfance, buvait littéralement ses paroles, et rêvait de pouvoir un jour partager la vie de son père, dans le camp.
    Ce soir là, son père avait l'air solennel. Pas triste, ni sombre, juste très sérieux. Après avoir tendrement salué sa compagne, il entraîna son fils dans une clairière, s'assit sur son séant et l'incita à faire de même. Ses grands yeux verts se posèrent sur le ciel, et après un moment d'hésitation, Ockham l'imita. Les cieux étaient parfaits. Aucun nuage ne venait dissimuler les étoiles, aucune brume disgrâcieuse ne venait entraver la beauté d'une lune parfaitement ronde. Son père commença à murmurer.
      « Compte les étoiles, mon fils. Prends en trois à partir de ka lune, vers la droite, et remonte en diagonale vers celle qui brille plus que toutes les autres. »

    Le chaton écarquilla les yeux. Il y en avait tellement, des points lumineux, sur cette tapisserie nocturne, qu'il en était impossible d'en discerner une en particulier. Ce ne fut qu'en plissant les yeux qu'il put la discerner. L'étoile. Elle était énorme, brillait largemlent plus que les autres, et son éclat n'avait pas la pâleur morbide des autres points qui ornaient la nuit, mais était auréolé d'une couleur rougeâtre. Elle était sublime.
      « Vois-tu, enfant, ton grand-père qui chasse aujourd'hui avec le clan des étoiles, m'avait dit une nuit durant laquelle, comme maintenant, la lune était dans sa plus belle posture, que chaque étoile, chaque esprit, surveillait l'un d'entre nous. Cette étoile que tu vois rouge, eh bien, je te la donne, fils. Elle sera ta protectrice à jamais. »

    Un instant, l'émotion submergea le coeur d'Ockham. Dans un élan d'affection, il plongea son museau dans l'épaisse fourrure qui enrobait le cou de son père.
    La lune rendait à la clairière un aspect argenté, et il se serait crut dans une féérie.
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 17:33
Chapitre . Second

On ne joue pas impunément avec un coeur innocent


    Au fur et à mesure que le regard de sa mère se ternissait et que son dos se voûtait, les épaules du félin s'agrandissaient, son corps tout entier gagnait en muscles et ses pensées s'affermissaient. Devenu trop grand maintenant pour partager la couche de sa mère, il passait la majeure partie de ses nuits sur une couche, à l'écart de l'arbre creux qui l'avait vu naître. Les visites de son père s'étaient rarifiées, ce qui paraissait normal étant donné le fait que son enfant n'en était tout simplement plus un. Entrant dans sa seconde année sur cette Terre, il avait maintenant l'âge d'être guerrier, et la force de caractère qui l'accompagnait. L'une des choses importantes qu'il nous faut souligner ici est que, plus il grandissait, plus Ockham ressemblait à son père. Le même pelage rouquin teinté de brun, au ventre blanc et à la forme épaisse. Si bien qu'à l'époque ou ce récit nous est conté, ils étaient le sosi parfait l'un de l'autre. Ockham avait ainsi apprit à parler comme il se doit aux femelles de ce monde, à chasser pour nourrir sa mère, et à repousser les dangers. La philosophie occupait la majeure partie de son temps, néanmoins. C'était pour cela qu'il s'asseyait souvent sur un rocher dans la rivière, où l'eau venait perler d'écume, pour méditer sur les maximes que plasmodiaient les anciens. En bref, il était devenu quelqu'un.

    C'est un jour de brouillard qu'il rencontra pour la première fois le démon éternel. D'abord, il crut à une hallucination. Un chat énorme, fantomatique, aux pupilles noires aveugles qui semblaient fixer un point défini et ne rien voir en même temps. Des poils longs, d'une blancheur spectrâle, tombaient sur son corps musculeux. Perdu dans les brumes, un maigre filet de sang tombait de sa bouche semi-close. A ses pieds, un cadavre, dont le corps était tellement âbimé qu'on ne pouvait pas vraiment en déceler l'espèce. Ockham réprima un hurlement. Ce qu'il avait devant les yeux semblait directement tiré des pires histoires d'horreurs qu'il avait connues. Il recula, tremblant, la sueur collant a son pelage. Il tentait de se faire le plus discret possible. Mais lorque ce monstre commença à parler, lorsque ses mâchoires s'ouvrirent sur une voix caverneuse, il sentit son coeur faire un bond dans sa poitrine.
      « - Tu te crois discret ? Tu crois être en mesure de m'échapper ? »

    Il avançait vers lui.
      « - L'odeur de ta peur empeste à des kilomètres. N'as-tu donc jamais entendu parler de moi ? Je suis Blast. L'envoyé des enfers. Le démon éternel. »

    Ockham n'en pouvait plus. D'un dérapage semi-contrôlé, il partit dans les bois en fonçant à vive allure. Ses muscles se contractaient, ses oreilles étaient plaquées sur l'arrière de son crâne, son souffle était court. Tout son corps évoquait la peur qui l'emplissait. Lorsque l'arbre creux se découpa devant lui, il fut emprit d'un vif soulagement. Il alla prévenir sa mère, qui était toujours là pour le réconforter, bien qu'en ces jours il la dépassait en taille et en muscles. Elle parvint à le convaincre qu'il était en proie à des hallucinations, et lorsque cela fut fait, il la remercia chaleureusement, et alla se coucher sur sa littière.
    Les yeux fermés, il plongea dans un sommeil sans rêves, oubliant un peu trop vite la cruauté de ces maxillaires qui l'avaient tant effrayées, quelques instants auparavant.

    Cessons d'évoquer cette dramatique nuit. Le rouquin rencontrait aujourd'hui son père près d'un chêne centenaire. Il ne pensa même pas à lui relater cette nuit là. Après tout, pour lui, cela n'était plus que le souvenir d'un cauchemar. Hormi l'oeil gauche du fils qui était couleur saphir, on aurait juré qu'un miroir séparait les deux félins, tant l'un l'autre se ressemblaient. Quoique, bien évidemment, le pelage du plus vieux était orné de quelques poils blancs.
      « Regarde-toi, Ockham, murmura la voix grave qui avait bercé les nuits de son enfance, quel chat es-tu devenu ! Je suis fier de toi, tu sais. »

    Un ronronement doucereux sortit de la gorge du jeune félin. Il posa sur son père un regard bienveillant. Une nostalgie l'envahit un instant, et il repensa a ses nuits de clair de lune, ou les légendes qu'on lui contait le faisaient voyager au pays de l'immaginaire. Mais il est du devoir de chacun de vieillir un jour, et il ne faisait exception à cette règle. Après avoir parlé, refait le monde et évoqué le passé, les deux félins se dirent un au revoir.
    Alors que chacun allait vers sa maison, il entendit que son géniteur le rappelait. Il se retourna pour a nouveua entendre sa voix de tentor.
      « Fils … Maintenant que j'y pense, il y a quelque chose que j'aimerais que tu fasses pour moi. On m'a signalé la présence d'une femelle solitaire sur notre territoire. Il me semble que c'est sur ton périmètre de chasse. Pourrais-tu …
      - J'irais vérifier, père. Ce sera un honneur. »

    Après le départ, véridique cette fois-ci, de celui dont il partageait le sang, Ockham s'étira longuement et retourna s'endormir. Demain, il s'aquitterait de cette mission.

    Le rouquin fut réveillé aux aurores par le chant d'une mésange, dernier qu'elle poussa étant donné le fait que, « malencontreusement », une branche l'assoma. Il la récupéra alors et en fit son petit déjeuner. Après avoir fait une toilette méticuleuse, être passé apporter de la nourriture à sa mère et s'être désaltéré dans le courant de la source, il partit vers l'endroit que son père lui avait indiqué. En chemin, il croisa beaucoup d'exemplaires de la faune locale. Mais, ne souhaitant pas chasser lorsque le besoin ne s'en présentait pas, il laissa les écureuils et les mulots prolifèrer en paix. Quelques buissons de ronces et arbres morts plus loin, une odeur vint lui chatouiller les narines. Il ferma les yeux un instant. Le parfum rappelait la fraise des bois, la fleur d'oranger et l'eau de source. Il évoquait une femelle, féline inévitablement, il faisait penser à une journée de printemps, à de l'herbe fraîchement coupée. C'était une effusion agréable, douce, qu'il se refusait à ne plus sentir. Il rouvrit les yeux. Cela provenait probablement de la solitaire qu'il devait prendre en chasse. Il se mit en route, son pelage angora brun-roux flottant agréablement autour de lui. L'odeur le conduit à une tannière, recouverte de fougères et tapissée de feuilles, dans laquelle il s'imisca sans hésiter.
    Dans cette grotte, le parfum ennivrant se faisait de plus en plus présent, à tel point qu'il ne subsistait rien d'autre dans l'atmosphère de la pièce. Il mit un petit moment avant de la déceler.
    Elle était tapie au fond de la cavité, son pelage ében était court, mais on ne pouvait pas savoir si il s'agissait là de sa couleur véritable ou si c'était la boue dont elle était couverte qui lui permettait de se fondre ainsi sur les murs qui l'entouraient. Seuls se détachaient de la noirceur deux yeux bleus, lumière parmi les ténèbres. Elle était vraiment belle. Une tâche rose se sépara du fond uni lorsqu'elle prit la parole.
      « Qui es-tu ? »

    Sa voix était pratiquement aussi envoûtante que l'effluve qui se dégageait d'elle : cristalline, pure, mais pourtant si rude, chaque son qui en provenait était tout simplement magnifique. Ockham étendit faiblement ses lèvres dans un sourire tranquille et puissant.
      « Je me nomme Ockham. Et toi ? »

    L'étrangère sembla hésiter un instant, mais elle finit par répondre.
      « .. Andromaque. »

    Ses pupilles fouillèrent le sol. Le mâle s'avança doucement vers elle, s'abaissa un peu de manière à ce que leurs têtes soient au même niveau et dit d'une voix suave :
      « C'est un très beau prénom, tu sais, et tu m'as l'air de charmante compagnie. Que fais-tu ici ?
      - N'est-ce donc pas évident ? Je me cache des guerriers qui depuis des lunes tentent de me chasser. Je suis une femelle bannie, une paria. »

    Sa réponse l'étonna quelques peu, mais il se ressaisit vite. Ainsi près d'elle, il voyait sa maigreur. Des sillons, tracés par ses côtes, tigraient son pelage. Il fut rapidement prit de pitié pour elle. D'un ton compatissant, il susurra près de son oreille :
      « - Tu es terriblement maigre … Laisse-moi t'aider. J'irais chasser pour toi. »

    Ici encore, elle hésita. Dans la faible lumière qui baignait la pièce, il vit des larmes commencer à perler auprès de ses iris bleutées. Andromaque finit par aquiescquer, l'air faible.
    Il sortit de la grotte, et y revint quelques instants plus tard, un merle dans la gueule, qu'il déposa auprès de sa nouvelle rencontre. Toujours aussi méfiante, la noireaude s'avança vers l'oiseau, le renifla quelques peu et finit, après un long moment d'attente, plongea ses crocs dedans avec une véritable délectation. Lorsqu'elle eut fini de manger, elle retourna s'applatir contre le mur noir du fond. Ockham sentit qu'il mettrait beaucoup de temps avant de gagner la confiance de la belle noiraude.
      « Si tu le souhaites, je pourrais continuer à t'apporter des proies jusqu'à ce que tu sois parfaitement rétablie. »

    Avec méfiance, elle hocha la tête.

    C'est ainsi que commença leur relation. Au fur et à mesure que les mois passèrent, le tour de taille d'Andromaque augmentait de bonne fois. À la saison des neiges, elle tomba malade et il crut bien la perdre, mais grâce à un peu d'herbe à chats trouvée sous un buisson de baies de genièvres, elle s'en était sortie. Après un mois ou deux, elle avait commencé à ressortir. Et puis, après, elle avait recommencé à chasser. C'est aux alentours de cette période qu'il se rendit compte qu'il l'aimait.
    Et à partir du moment où il s'en rendit compte, tout lui rappelait Andromaque, tout était Andromaque. Son regard se reflétait dans chaque goutte d'eau, son pelage se fondait dans chaque roc que croisait son chemin, et sa voix, si agréable, était le bruit des feuilles d'arbres qui se mouvaient au gré du vent.
    Il n'avait pas signalé à son père la présence d'une intrue dans le coin. C'était la première fois depuis sa venue au monde qu'il lui mentait, et sa fierté en avait prit un coup.


    C'était un jour de pluie. Une femelle au corps d'ében détrempé par l'eau qui tombait des cieux de façon diluvienne que rejoignis bientôt un mâle dont l'épaisse fourrure rousse résistait aux intempéries.
      « Je t'aime, Andromaque. »

    Elle baissa la tête. C'était si fréquent chez elle qu'il s'y habituait. Elle était fragile, maigre, féminine, mais malgré cela, ou peut être justement à cause de ça, elle le rendait fou.
      « Je sais ... »

    Il connaissait d'ors et déjà la réponse. Bien que son coeur en fut serré, il s'en foutait. Tout ce qu'il voulait c'était d'être avec elle.
      « Mais moi je ne t'aime pas.
      - Je sais. Mais ce n'est pas pour ça qu'on ne peut pas essayer une relation .
      - Je ne comprends pas …
      - Laisse-moi être ton compagnon. Laisse-moi te donner des enfants. Ensembles, nous fonderont une famille. Tu pourras regarder les autres mâles, mais je ne veux pas d'autre mère pour ma progéniture. »

    Elle sourit. Andromaque n'aimait toujours pas Ockham, mais elle avait pitié de lui, et cela aller devenir la base de leur relation.
      « Pourquoi pas ? Après tout, on peut essayer ... »

    Il se dirigea vers elle et lui lécha tendrement l'oreille. Elle fourra son museau tellement doux dans la fourrure épaisse du chat, ce qui lui arracha un ronronnement sirupeux. Les préliminaires allaient commencer. Une nuit brêve, sans amour, juste là pour lui assurer une descendance digne de ce nom.
    Néanmoins, la lune brilla sur la passion qu'il lui vouait.

    Passons trente et un coucher de soleils, soit un mois ou une lune comme on disait ici bas. Il sut qu'elle était pleine, et qu'elle allait lui donner d'ici quelques temps deux enfants, les plus beaux que cette planète n'eut jamais porté.
    Ockham n'en parla pas à son père.
    Il était plus prudent de se taire.
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 17:33
Chapitre . Troisième

We will lost in the murder city


      Il courrait devant eux.

    Ses muscles s'actionnaient l'un après l'autre, minuscules parties de chair issues de leur deux corps. Un peu en retrait, rêvant en regardant les papillons décorer la nature de leurs ailes châtoyantes, elle était là. Tous deux étaient l'alpha et l'oméga de la perfection. Sa fille, portrait craché de sa mère, avait pour nom Calliope, et comme son homonyme grecque elle incarnait la poésie et la beauté de la nature. Son fils, qui était une perle issue de gênes jusque lors cachés, petite silhouette blanche a la tête noire, se nommait Héliops, et rêvait déjà, du haut de ses trois lunes, aux guerres futures qu'il mènerait contre l'ennemi.
    Ils étaient heureux.

    C'est une nuit d'orage que l'un de ses vieux démons vint le perturber pendant son sommeil.
    Réveillé par un grognement rauque, il s'était levé de sa littière et s'était dirigé vers les sous-bois. Quelle ne fut pas sa stupeur que de croiser alors celui qui l'avait terrorrisé à la fin de son adolescence ? Blast se tenait là, sa fourrure en pannache étalée autour de lui, son regard plus noir que jamais. Ockham était tétanisé, littéralement, il ne parvenait pas à bouger autre chose que ses mâchoires, qui claquaient dans un bégayement absurde.
      « Je t'avais dit que je reviendrais. »

    Il s'approcha de lui, et le matou put apercevoir les larges épaules du félin. Jamais il n'eut aussi peur de sa vie.
      « Mais ne t'inquiètes pas. Je ne te ferais pas de mal. Vois-tu, j'ai eu aujourd'hui un présage des enfers. Je ne suis pas réellement immortel. Mais pour les actions que j'ai fait, je dois passer neuf vies en pénitence sur cette planète. Celle de Blast touche à sa fin, et je dois trouver une enveloppe corporelle qui a déjà fait couler le sang. Les enfers ont été clairs : Lorsque le père et le fils auront périt, tu pourras récupérer le corps du pénitent. »

    Ces mots furent comme un choc, pour Ockham. Ainsi, il lui demandait son corps, et de tuer son père et Héliops ? Jamais, oh grand jamais il ne lui obéirait. Sa famille était tout pour lui. C'est un vif cri de protestation qui sortit de lui même, du plus profond de sa poitrine.
      « JAMAIS ! »

    Blast fit quelques pas en arrière, sans perdre ce rictus infernal. Et, d'une seconde à l'autre, il s'évapora, ne laissant derrière lui que quelques poils blancs tomber au sol comme des flocons de neige. Avant qu'Ockham aie put cligner des yeux, il sentit une torpeur maladive envahir son être. Le rouquin tomba au sol, attiré par une douce étreinte que lui offrait une espèce de Morphée anonyme.


      - Phrases de rêve. Floues. Indistinctes.
      Abominatio corpus invasit
      Dum dormit placide Fairy
      Somno aeterno
      Vinctus, daemonem metuunt omnes
      "Spiritus"

      L'horreur envahit son corps
      Tandis que la fée doucement s'endort
      Dans un sommeil éternel
      Prisonnière par le démon que tout le monde craint
      « The Blast »


    Il cligna des yeux. Au dessus de lui, les feuillages tâchaient la nuit de sombre. Devant lui se trouvait l'arbre creux ou il avait passé la plupart de son enfance. Blast n'existait probablement pas. Il allait devoir retrouver son fils, sa fille, sa compagne.
    Maladroit, il se leva et tituba quelque peu. Ses pattes avant lui semblaient mouillées, et ses griffes étaient sorties, mais il mit ça sur le compte de la chimère qu'il venait d'entrevoir dans le monde de ses rêves. Néanmoins, une odeur familière mais tellement effrayante parvint jusqu'à lui. Au sol, une tâche rouge s'affichait devant lui. Ce liquide ocre, collant et tellement contraignant était tellement connu qu'il en devenait inutile de citer le nom. Ce qui lui servait de coeur fit un bond dans sa poitrine. Quelque chose s'était passé. Guidé par l'instinct et l'envie de savoir ce qui se passait, Ockham bondit en avant et courrut à en perdre le souffle.

    Ce qu'il vit lui glaça le sang. Son père gisait là, le ventre déchiqueté, le pelage collé par l'hémoglobine. A ses côtés, son fils, son enfant, celui pour qui il se serait jeté sous un train sans hésiter, les jugulaires tranchées par une griffe assassine. Il tomba au sol, anéantit. Levant un peu les yeux sur ce désastre, il vit sa mère, sa compagne et sa fille, recroquevillées auprès d'un grand chêne, le regard vitreux. On lui avait inculqué que la réponse la plus simple était toujours la bonne, mais quelle solution était simple, dans une situation pareille ? D'une voix tremblante, il posa la question qui lui allait être fatidique.
      «  Que … que s'est-il passé ? »

    À ces mots, Andromaque, qui était d'ordinaire trop faible pour élever la voix de ne serait-ce qu'un ton, se mit véritablement à bouillir de rage. Bien sûr, Phèdre ou Calliope auraient put remplir ce rôle, mais c'était impossible du point de vue logique : Phèdre aimait son fils, et Calliope son père, or Andrmaque n'avait jamais eut d'autre sentiment que la compassion à l'égard du père de ses enfants.
      « Tu OSES demander ce qui s'est passé ?! TU OSES ?!
      Tu m'as enlevé mon fils, monstre …. ORDURE, ENFLURE, IGNOMINIE, JE NE TE LE PARDONNERAIS JAMAIS …. »

    Avant même qu'il aie eut le temps de miauler, elle fondit sur lui et lui griffa sauvagement la joue. Un filet de sang tomba sur ses pattes. Il ouvrit de grands yeux effrayés. Ockham regarda celle qu'il aimait toujours avec passion de ses grands yeux tristes, puis sa mère, et enfin sa fille. Alors, c'était donc ça, l'explication la plus simple ? Ses griffes avaient été responsables de la mort de ceux qu'il avait aimé ? Il fit quelques pas vers la dépouille de son père, et laissa ses larmes se mêler au sang qui tâchait le sol. Il lui murmurra un adieu, puis se dirigea vers la dépouille d'Héliops. Avant qu'il ne put s'en approcher, Andromaque se mit en travers de son chemin et se posta farouchement devant feu son fils. Le rouquin la comprenait. Détruit, il leur tourna le dos.
    Il savait, après tout, qu'il les avait perdues à jamais.

    Blast avait raison.
    En le forçant à tuer ceux qu'il aimait, il lui avait relégué ses années de pénitence.


Épilogue

All they are is dust in the wind


    Il se leva, fit un brin de toilette, s'étira longuement et sortit de son trou. La clairière était encore baignée des premiers faisceaux de l'aurore. D'un pas jovial, il se dirigea vers le tas de gibier, ou ses papilles firent la rencontre de la chair d'une pie au goût légèrement sucré parfaitement déléctable. Après avoir complété sa précédente toilette par quelques touches perfectionnistes, il était fin prêt. Seul dans le clan, il devait s'acquitter des tâches qu'on lui avait données. Se dirigeant vers la tannière des guerriers, il fouilla du regard les corps endormis à la recherche de celui qui voudrait bien l'accompagner à la chasse. Il finit par le trouver.
      « - Hey, Pelage de Corbeau.
      - Hey, Rasoir d'Ockham. Ça va ?
      - Comme toujours. Et toi, je suppose que ça va, donc je ne pose pas la question.
      - Toujours aussi aimable.
      - On ne se refait pas. Bref, je vais chasser. Tu viens ?
      - … Laisse moi le temps de venir. »

    Il hocha docilement la tête et sortit du camp, se postant fièrement à l'entrée, son pelage roux rayonnant dans les feux du soleil. Lorsqu'il était venu annoncer la nouvelle de la mort de son père au clan du Tonnerre, les félins étaient passés outre son oeil véron et l'avaient confondu avec son géniteur.
    Depuis l'ors, il avait récupéré son nom, son âge, son histoire. C'était un peu sa manière de rendre honneur à celui qui lui manquait tellement, aujourd'hui, en attendant que sa pénitence touche à sa fin.
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 17:40
Gnieuh. Trop hâte de voir l'histoire. Descriptions magnifiques.
Bravo mi bella. <3
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 17:41
Ouais c'est vrai que c'est magnifique <3
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 17:46
Hmm Tres beau. Bonne idée, moi aussi j'ai hate de voir l'histoire!
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 17:53
Idem
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 17:57
Tu vas remplacer qui cette fois ? ^^
Comme perso comme t'en as trois si je me souviens bien ; )
Etoile Infernale ?
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 18:01
    En réalité, je ne remplace personne.
    Rasoir d'Ockham est la troisième des neufs évolutions de la pénitence de Blast.
    Nous avons déjà eu l'indifférence, puis la colère, voici maintenant la sensibilité.

    & je ne me séparerais JAMAIS d'étoile infernale, jamais.
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 18:02
C'était qui la deuxième ?
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 18:05
    Blast.
    En fait, ça a fait ça :
    Orphée > Indifférence
    Blast > Colère
    Rasoir d'Ockham > Culpabilité.

    Reste: la jalousie, le pouvoir, la luxure, le suicide, la léthargie, la maladie.
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 18:07
Cool !
La pénitence donc...
Intéressant.
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 18:17
J'ai bien hâte *w*
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 18:22
    Nierf.
    Merci les gens =3
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 18:35
De rien =)
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 20:00

J'adore ton histoire, cacahuète. ♥
J'ai hâte de voir les prochains perso. *w*
Anonymous
Invité
Invité
Lun 13 Juin 2011 - 20:10
    Ce sera pas pour tout de suite D=
    Mais marchi.
Anonymous
Invité
Invité
Mar 14 Juin 2011 - 17:22
Hey', j'ai adoré l'histoire de Rasoir d'Ockham, les musiques sont aussi très belles et vont très bien avec l'histoire! <3
Anonymous
Invité
Invité
Mar 14 Juin 2011 - 17:37
Attend d'être validé avant de poster. ;D
Anonymous
Félin Légendaire
Élégance du Rat
Félin Légendaire
Mar 14 Juin 2011 - 23:22
    Punaise, tu m'as tué Émo'...
    Le dénouement, si triste, si... chi**t... (Oui oui, j'en ai chialé)
    Et ces musiques qui collent superbement biens. ♥ Vive Edward Scissorhands. <3
    Ton vocabulaire, si peu de fautes, c'est presque la perfection.
    Pourquoi serais-tu jalouse de mes RPs dis-moi? x)
    C'est magnifique, tout simplement. ♥
Élégance du Rat
Date d’inscription : 02/10/2010
Messages : 2628
Puf : Wave.
Rang EÉF : Vétéran
Âge : 29
Invité
Invité
Mar 14 Juin 2011 - 23:43
Parce que t'as un style qui t'est propre, et une imagination débordante.♥
~ Impressionnée. *o*
Anonymous
Invité
Invité
Mer 15 Juin 2011 - 10:23
    Erf, exagérons rien Hosh' ^ ^"
    Mais marchi :]
Anonymous
Félin Légendaire
Élégance du Rat
Félin Légendaire
Mer 15 Juin 2011 - 12:28
    Je n'exagère en aucun cas.
    Tu devrais être fière d'avoir un tel talent. ♥
Élégance du Rat
Date d’inscription : 02/10/2010
Messages : 2628
Puf : Wave.
Rang EÉF : Vétéran
Âge : 29
Invité
Invité
Mer 15 Juin 2011 - 14:05
C'est vraiment un pseudo règlementaire ça ? O.O
Anonymous
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
Rasoir d'Ockham → Troisième pénitence : la culpabilité.

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

Sauter vers: