Introduction.

Je suis désoler...J'ai modifié car elle n'y vas pas de son pleins gré.

Depuis quelques années, prés de chez Alice une vielle dame toujours vetu de noir a d'emmenarger. Avec ces amies, Alice se pose pleins de questions...À quoi peut elle penser? De quoi peut elle penser? Personne ne peut le savoir, elle nous regarde droit dans les yeux pour exprimer et nous faire comprendre ce qu'elle ressent. De la Haine...
Elle est souvent seule sur le chemin de sa maison, tête baissée, mains croisées elle ne s'intéresse à personne.Tout le monde la croit raciste, hypocrite mais elle ne répond jamais aux injures. Elle se refugie toujours dans la solitude et dans le silence. Mais depuis peu, sa mort à été annoncer et la Vieille Maison est a l'abandon. Derriere cette Maison, il ya un cimetiére...Alice , avait toujours eut envie de savoir ce qui ce passait dans cette maison...Mais un jours, l'envie devint obligatoire...

Alice, écrivait assise dans la verriere et elle regardait le cimétiere qui avait une seconde Ame sous la neige froide...Elle écrit : << Par delà la vallée, La neige recouvre lentement de son linceul immaculé. La rose noire sur la tombe des amants effacant de sa blancheur, Les mots oubliés des âmes en pleurs. Les derniers rayons du soleil illuminent faiblement le cimetière enneigé, D'une douce couleur vermeille dévoilant ainsi la beauté d'un monde oublié. >> C'était juste de simple mots ecrit sur une feuille froicée par le vent qui s'incrustait a travers un des careaux cassée. Elle tourna quelques pages et trouva , ecrit en rouge et lut avec curiosité : << Je voulai m'en aller, Partir de cet endroit, Dans une contrée reculée, Où jamais il ne fait froid. Là où tout est merveilleux, Là où tout le monde sourit, Là où rien n'est ennuyeux, Là où il n'y a plus de vie. Alors j'ai pris mon couteau, Et mon courage à deux mains, Et le sang sortit en flot, Mit un terme à mon destin. Mais deux places étaient promises, A ceux qui quittent cette terre, Et l'être qui a la main mise, Me sortit du cimetière. Il m'envoya à l'autre pôle, Là où rien n'est plus pareil, Entre desespoir morose, Et peine, haine et chagrin...Vient ce soir, a Minuit dans la Vielle maison où sinon, laMort viendra a toi...>> Elle lacha son carnet et Hurla de peur...C'etait ecrit avec du sang ; Du sang qui coulait , comme si on venait de l'écrire. A la fin du texte, une flaque de sang ce formait peu à peu, et elle s'agrandissait de plus en plus, jusqu'as couler sur le parquet beige de la verriere. Sa grande Soeur arriva en courrant et cria :

- Sa va ? je t'ai entandu crié comme Folle !
- Non , Non ... Elle regarda le carnet et reprit. J'ai... juste reversée une cartouche d'encre !
- Bon, je te laisse. Elle ce retourna et alla vers la cuisine, laissant seule Alice et sa Peur.

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La journée passa vite et minuit approchait. Alice se retourna dans son lit puis regarda son radio-réveil qui affichait : 23 H 21. Elle se leva doucement et écrivit, peut-être pour la dernière fois, sur son carnet.
<< Un énième stylo cassé, une centaine de boulettes de papier, une génération désabusée, trop de vies brisées. Adolescence, triste rupture avec l'enfance. Je ne suis qu'une simple descendante, glissant sur une si triste pente. J'ai trouvé ma seule échappatoire, qui, au fond, ne me laisse qu'une infime lueur d'espoir. Enfermée dans ma chambre, qu'une seule envie : celle de ne pas me supprimer. Un seul souci, un courage dur à dénicher. Sérieusement je ne vais pas vous le cacher : à quoi bon y aller, si c'est pour ne plus vivre ? La mort m'impressionne autant qu'elle me fascine, elle nous attire et nous lancine. Mourir n'est pas une si triste affaire après tout, un bon spectacle doit nécessairement se terminer un jour. >>
Et sur le dernier point, son crayon se cassa encore une fois... Elle attacha ses cheveux en chignon, ouvrit la fenêtre et sortit sans un regard en arrière.
Doucement, elle referma la fenêtre de sa chambre qui bizarrement ne grinça pas comme à son habitude.
Elle sortit de sa poche sa lampe torche qu'elle allume et pointa autour d'elle. Au contact de la neige sur ses chaussons, elle grelotta. Pour aller dans ce Manoir, elle devait traverser le cimetière. Cette idée ne lui fit rien et elle s'y aventura. Tout était sombre, les chats noirs dormaient sur les tombes et certaines ouvertes laissaient sortir des araignées velues... Alice ne réfléchit pas et courut vers la maison, le manoir.
Elle arriva enfin devant cette Maison... Elle recula vers le cimetière et une vielle femme s'approcha... En premier, Alice voulu partir, mais ses jambes maigrichonnes ne bougèrent pas. L'ancienne s'assit à coté d'elle et lui dit tremblante :
- C'était en 1954, une sombre affaire qui avait alors défrayé les chroniques. Aujourd'hui, la petite ville de Souvigny, nécropole des Bourbons, a un peu oublié cette inquiétante histoire. Mais le spectre du fantôme hante toujours certains esprits et continue à habiter la légende de la ville : Lorsque j'étais petite, j'étais enfant de chœur. Avec les autres gamins, on allait se réfugier après la messe dans la sacristie. De là, on apercevait la maison de la vieille. Cela nous fascinait, même si c'était un peu inquiétant pour nous. De temps à autre, on était persuadé de voir un rideau bouger. Assez curieusement, beaucoup d'habitants de la commune ne connaissent pas l'histoire. À l'époque, on en avait beaucoup parlé dans toute la presse en France. Mais à Souvigny, l'histoire n'a pas vraiment imprégné la population. Quand tu vas entrer dedans, fait bien attention à toi. Ne touche à rien et ne va jamais, jamais dans la chambre du fond. Sinon...
Et la vieille s'en alla et encore une fois, on laissa Alice seule avec sa peur.


Alice s'avança vers la Maison. Elle arriva devant et regarda de haut en bas sa plus grande peur...
De sa main, elle poussa doucement la porte et visita la maison ou plutôt le Manoir...
Celui-ci était composé du rez-de-chaussée, de trois étages et d'un sous-sol. Le quatrième n'était rien d'autre qu'un grenier poussiéreux, étouffant et d'une certaine façon, inquiétant... Comme si quelques bêtes tapies là devaient se réveiller si la jeune fille faisait un pas de plus. Pas de fenêtre et pas de porte inutile. Aucune terrasse. En bref, aucun accès à l'extérieur. Tout le manoir est éclairé à la bougie. Fini la lumière du soleil, bonjour la cire. La décoration était pratiquement inexistante et lorsqu'il y en avait, c'était de l'art contemporain, abstrait et étrange. L'atmosphère diffusait quelque chose d'aseptisé, quelque chose de trop propre, trop immaculé. Sur la porte de la chambre, il était écrit "Attention danger". Pourtant, la porte restait ouverte et parfaitement accessible. Personne ne savait ce qu'elle pouvait bien protéger... ou retenir. La chambre était un monde inconnu. Au rez-de-chaussée, à part le grand hall d'entrée, son escalier de marbre et son tapis Louis XIV, il n'y avait rien. Au premier étage, c’étaient les chambres. Au deuxième étage, se situaient les cuisines. Le troisième étage était l'étage des sanitaires. Il y avait des salles de bains, des douches et des WC. Les communications avec l'extérieur n'existaient plus. Plus de télévision, Alice regarda son téléphone et vu que les ondes des téléphones cellulaires ne passent pas et d'ailleurs, il n'y avait pas un seul téléphone dans tout le Manoir. Les ondes radios ne passaient pas non plus. Aucune prise de courant pour y brancher un quelconque appareil. La seule preuve d'électricité est l'eau qui coule doucement près du lavabo, bien que ce soit puisse être du sang qui se diffuse en continu. Ceci pour dire que toute notion de jour et de nuit avait disparu. Impossible de se fier à la montre ou à l'horloge de grand hall, le temps passé les ayant déréglés. La Manoir est une maison de torture de l'esprit, brisant les repaires et broyant, noyant l'esprit sous une masse de questions qui ne pourront jamais trouver de réponses.

Au bout du hall, on aurait pu croire qu'une personne, pendant une fraction de seconde était là... Cette vision, fit remarquer à Alice qu'il y avait une porte, une toute petite porte, bien plus petite que d'habitude. Elle se mit à quatre pattes, ouvrit la petite porte et se retrouva, derrière le Manoir, face à un Lac.
Oui, oui vous avez bien lu, face à un lac.
Le Lac, était d'un beau bleu marine profond, où la lune projetait son reflet et où en pleine nuit, on ne voyait pas la suite. Telle une dance invisible de poissons et des cris de loup pour fond, des oiseaux s'envolant d'un arbre nu ... Un homme arriva par derrière... Alice n'eut pas le temps de se retourner : elle fut envoyée sous l'eau. La personne appuyait sur sa tête et la cognait contre des rochers, l'agonie dépassait la peur et la douleur, pouvait-on la confondre avec la mort... Sa tête immaculée de sang se vidait peu à peu... Mais qui est-ce ? Et pour quoi fait-il cela ? Il lâcha Alice, la laissa respirer et sortit du Lac en lui disant ...

<< - J'aurais du te tuer ? Bien, ce sera plus tard alors ...>>

Une parole inutile, le sang qui coulait sur son front, une marche inutile, un assassin...
Que faire ? Même si ce moment, était des plus court, Alice faisait face. Quand il fut partit, un cadavre sortit de l'eau, dans une mare de Sang, puis 2, 3, 4 et plusieurs, comme si le Titanic avait coulé ici et que tout les Morts remontaient enfin à la surface. Du sang, il y en avait partout… Des bout de chair décomposés laissaient voir les os des cadavres... Elle n'en pouvait plus, vraiment plus... Alors elle hurla de toutes ses forces et peu à peu, elle coula dans les profondeurs.

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Alice, ouvrit les yeux. Une fine lumière traversait la pièce entièrement blanche... Quelques perfusions étaient accrochées à ses bras. Sa famille et ses amis parlaient non loin avec un plateau déjeuner à la main, ils ne l'avaient pas vu se réveiller... Enfin si car sa meilleure amie cria :

- Alice ! Elle est réveillée !

Et toutes les personnes de son entourage s'approchèrent... Lui parlèrent et lui demandèrent ce qu'il s'était passé... Mais elle ne dit rien à personne, ce secret, cette peur, tout avait disparu comme en un coup de vent glacial puis chaud... Des rêves inexpliqué, mais des questions encore en vie... Qui as voulu me tuer ?
C'est fini ? Cela recommenceras un jour ? Que dois-je faire ?
Ces frères et sœurs lui firent oublier cette pensée...
Depuis, tout le monde a oublié, sauf elle.


Parfois la curiosité nous emmène loin… trop loin.