Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
Le soleil venait à peine de pointer le bout de son nez, dans une ville ruelle de la rue ou trônait quelques poubelles et une boite de carton rassie, Geai se tourner et retourne dans tous les sens, il n'avait pas encore de puces mais l'endroit pourrie ne l'enthousiasmait pas des masses. Il s'étira de tout son long, la plupart du temps il ne bougeait pas de son endroit plutôt habitué à chasser les quelques insectes ou rat qui passait par là ou quémander chez les bipèdes des croquettes pour au moins rester en vie. Il n'était pas partie depuis très longtemps de son habitation mais l'air du dehors était beaucoup plus frais et le fait de ne pas rentrer aux heures précises lui faisait un bien fou. Il passa quelques coups de pattes derrière son oreille et passa des coups de langues sur son pelages ébouriffé. Le petit solitaire se releva lentement tout en baillant de tout ses crocs et fixa les alentours à moitié réveiller, aujourd'hui il n'avait pas envie de rester dans la ville mais d'aller explorer un minimum la forêt, il avait rencontré quelques chats domestiques qui lui avaient contés des histoire de chats sauvages qui s'en prenaient aux félins perdus dans la forêt mais il n'y croyait pas du tout, contrairement à eux il n'était pas né domestique et voir la forêt même de loin lui faisait un bien fou.
Tandis qu'il entamait un poisson en assez bon état jeté dans une poubelle, il fixa la forêt les yeux brillant de malice lui, il voulait les voir ces fameux "félins sauvages" malgré qu'il ne sachait pas vraiment se battre, il savait comment se défendre un minimum et étant beau parleur il était sûr de s'en sortir. Il prit la route de la forêt sous le soleil entamant sa route vers son zénith, il n'était pas très tard pourtant la température était déjà douce ce qui avait le don de le mettre de bonne humeur. Il arriva devant la barrière qui bordait la forêt et la franchit en un bond posant les pattes sur l'herbe rase qui bordait les arbres, il n'avait jamais vraiment touché de mousse et le contact de ses pattes sur la plante douce l'amusa, il se roula pour la première dans quelque chose d'autre que l'herbe à chat des jardins de bipèdes mais il se releva bien vite, il n'était pas venu ici pour faire le chaton domestique qui découvrait mais pour explorer en tant que solitaire. Il leva la tête vers les arbres centenaires qui s'élevait devant lui en ouvrant la gueule, les fumets de bois, de proies et pleins d'autres odeurs qu'il ne connaissait pas vraiment se mélangeaient dont une odeur plutôt forte qui ressemblait à celle de chats, sans doute celles des félins qui habitaient ici ? Il s'avança prudemment tout en reniflant les moindres choses qui lui tombait sous le museau. Il tomba nez-à-nez avec un campagnol qu'il ne prit pas la peine de chasser, les autres l'avaient bien prévenus que les félins étaient très pointilleux sur le sujet. La brise relevait son pelage crème mais les rayons du soleil faisait qu'il ne l'a sentait qu'à peine, par contre il quand la brise tourna soudainement, il sentit directement une odeur qu'il avait répertorié plus loin déjà, un félin il sentait l'odeur mais il ne pouvait dire exactement ou se trouvait l'inconnu, il s'arrêta et observa les environs sans bouger, la forêt semblait s'être retenue sur son souffle et le temps s'être arrêté.
- Je me demande si les chats sauvages ont peur de solitaires comme moi au point de ne pas lui faire fasse ?
Il avait énoncé ses pensées à voix haute, avec un peu de chance leur fierté les pousseraient à sortir de leur cachette, il voulait au moins discuter une fois avec eux, savoir comment ils vivent si c'est vrai qu'ils forment des "Clans" et s'ils s'ont plusieurs et si comme ont dit ils se battent entre eux pour se nourrir. Il ne connaissait rien au fonctionnement de ces attroupement de félins et quand sa mère lui racontait ses expériences il avait toujours les yeux pétillants.
LEAVE THE CITY ϟ And you thought that I would let it go and let you walk ♫
›› Nuage du Virtuose
La lune laissait place au soleil, la nuit au jour, une nouvelle fois. Dès lors où l'aube se manifesta, je décidai de quitter le gîte des apprentis. Une légère brise matinale ébouriffait mes poils nacrés avec douceur. Quelques félins émergeaient également, et je me dirigeai vers la sortie du camp pour pénétrer dans la forêt.
J'avais décidé d'aller chasser afin de m'exercer en la matière. J'avais hélas raté mon évaluation ; et cette défaite laissait bouillonner en moi une certaine rage qui ne faisait que croître au fil des jours ainsi qu'un grand sentiment d'amertume m'envahir. Une sorte de frustration qui faisait que, moralement, je me sentais faible. Nul. M'étais-je laissé allé en prenant cette évaluation à la légère, la sous-estimant ? Ou avais-je laissé le stress me faire faire des choses insensées ? Ou bien était-ce simplement un hasard, le Clan des Étoiles qui avaient laissé s'abattre sur moi un coup du sort ? Quelqu'en était la raison, je devais sérieusement me reprendre et prendre du recul sur mes entraînements et mes erreurs.C'est ainsi que, déterminé, je plongeai en plein cœur des bois.
Je humai l'air et observai les environs avec attention, aux aguets de ma future victime. Elle se manifesta bien vite : en effet, un mulot se trouvait non loin de là.Je me tapis, dissimulant ma fourrure blanche dans les fourrées et ne lâchai pas la proie des yeux. Et je la fixai, réfléchissant à toute vitesse. De nombreuses pensées s'entremêlaient dans mon esprit. Je me remémorai les entraînements de chasse avec Passion Erratique, et, surtout, cette branche, qui s'était malheureusement trouvée sous mes pattes au mauvais moment lors de l'évaluation. Je m'avançai alors à pas feutrés tout en examinant le sol avec précaution. Et, prêt à bondir, je sortis automatiquement mes griffes...
« Je me demande si les chats sauvages ont peur de solitaires comme moi au point de ne pas lui faire face ? »
Le mulot s'évada.
Je me redressai en poussant des jurons, exaspéré, et recherchai l'auteur de cette phrase avec colère. Ce ne fut pas très difficile ; son odeur imprégna rapidement mes narines. Je suivis celle-ci et tombai alors sur un matou au pelage sablé.
« Je te déconseille de provoquer les chats sauvages. Tu ne dois pas nous connaître pour nous sous-estimer. » Grondai-je. Je m'étais dressé de toute ma hauteur et regardai l'inconnu avec froideur. Mon torse était bombé, mes griffes toujours sorties. « Que fais-tu sur nos terres ? Tu viens de me faire rater ma proie, et j'espère pour toi que tu n'as touché à aucun animal de cet forêt. Dégage ! »
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