Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
° Puf : #FK. ° Âge : 18 ans. ° Avez-vous passé votre EÉF ? Si oui, quel est votre rang ? HUM. j'ose pas essayer (a) ° Lien d’un RP récent : j'ai aucun rp récent de félin, mais du lupin oui
Spoiler:
Tu n'avais jamais compris l'acharnement que certains mettaient à compliquer la vie des autres. Il y en avait de plus en plus, ces derniers temps, que cette question devenait carrément omniprésente. Tu fatiguais à force de constats toujours plus navrants sur les lupins de nos jours. Il t'arrivait de songer, qu'effectivement, de ton jeune temps, ce n'était point pareil. Déjà que le futur incertain que vous découvriez tous chaque jour n'annonçait rien de bon pour les mois à venir, d'autres n'ouvraient les yeux aux aurores uniquement afin de faire couler le sang, assouvir leur soif de violence et de pouvoir. C'était un concept que tu ne cautionnais en aucun cas et méprisais au plus haut point. Bien que n'aimant pas le moins du monde te faire marcher sur les pattes, tu préférais esquiver les conflits et vivre heureux. Beaucoup te traitaient de soumis, alors que tu ne te voyais simplement comme un loup intelligent et satisfait de la vie que tu menais. Au cours de tes longues années, tu avais vu défiler pas mal de personnages : gentils, odieux, exubérants, banals, sympathiques, sérieux, stupides. Il t'était bien arrivé quelques péripéties qui avaient laissées quelques traces au sein de ton pelage, mais rien de bien grave. Mais plus les jours passaient, plus ta conviction que votre race était perdue se solidifiait.
Il y avait des jours où tu ne pouvais rester en place. Et d'autres, où la flemmardise te saisissait si violemment que tu ne te levais que pour aller chercher quelque chose à te mettre sous les crocs. Aujourd'hui, tu n'avais pas eu la force ni le courage d'aller en quête de nourriture. Tu t'étais pour le moment laissé végéter sur le sol, ne faisant qu'un avec la clairière environnante. Les premiers rayons du soleil étaient déjà venus lécher la cime des arbres depuis une heure, voire deux. Cependant, le froid avait commencé à s'installer fermement et l'ascension de l'astre solaire n'avait rien changé aux degrés. Pire encore, l'atmosphère était humide. Le froid polaire ne te dérangeait en rien, le pire était l'humidité. Faisant grincer tes crocs, tu ne pus retenir une grimace de plus en essayant de finalement te mettre sur tes pattes. La moiteur de l'air rendait ton arthrite plus douloureuse que jamais, particulièrement au niveau des postérieurs. Cependant, si tu ne bougeais pas ne serait-ce que quatre heures durant, tu aurais certainement tes membres atrophiés de douleur et il te serait d'autant plus ardu de te mouvoir par la suite. Soit, autant le faire de suite et t'éviter plus de mal que nécessaire. Tes coussinets noirs foulaient l'herbe qui se mêlerait bientôt - du moins cela ne saurait tarder - aux flocons. Lentement et claudiquant, tu pris le chemin de la forêt. Autant tu ne saurais nommer aucun lieu des terres d'AFF, autant, après des années d'errance en ses horizons, tu pourrais t'y repérer les yeux fermés.
A vrai dire, tu ne te souciais nullement de qui était propriétaire ou non des territoires qu'il t'arrivait de fouler. Néanmoins, tu commençais à perdre de ton calme légendaire lorsqu'une forte odeur imprégnait chaque parcelle de lopin de terre, signe que tu marchais sur le territoire d'une meute. Mais, en ce moment, tu te savais en terres neutres et n'avais nullement besoin de réfléchir à autre chose que poser une patte devant l'autre. Le bruissement ténu de tes pas ne coupait en aucun cas le silence de la forêt, s'y fondant plutôt dedans. Après quelques minutes seulement, tu parvins à une autre clairière. Où ton vieux pote l'odorat te confirma que tu n'étais pas seul. En effet, tes pupilles d'ébène vinrent te le confirmer par la suite : un loup se prélassait bien ici, couché sur le dos, lui aussi à l'affût. Tu fis un pas de plus, afin qu'il puisse te repérer. Cela ne manqua pas. En général, les lupins sont des animaux mus par la méfiance et le mépris. Ce pourquoi les dires du quidam ne te surprirent nullement, au contraire, ils te firent sourire.
— Alors comme ça on oserait me menacer ? Attention jeune loup, je sillonnais déjà ces terres alors que toi tu n'étais encore qu'un insignifiant petit loupiot encore accroché aux tétines de sa mère.
Tu n'avais jamais eu beaucoup de jugeote, concernant le danger. Et lorsqu'il s'agissait de se défendre de menaces, tu ne lésinais pas sur les moyens engagés. Après tout, ce n'était pas un loup tout juste sorti de sa période prépubère qui allait t'apprendre la vie. Tu en avais assez vu, de ces congénères insolents se croyant tout permis. Le toisant à bonne distance de toute ta hauteur et du peu de prestance qu'il te restait, tu placardas sur ta face un air malicieux teinté d'un soupçon de supériorité tout à toi, agrémenté d'un large sourire. Les joutes verbales avec ce nouvel inconnu promettaient d'être fort sympathiques. Et tu n'attendais qu'une chose, qu'elles soient à ta hauteur.
° Qu’attendez-vous d’un professeur ? qu'il me fasse développer mes structures de rp, appuyer sur les descriptions et me dise tout ce qui cloche. ° Autre : njet ! merci d'avance les gus (8