Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
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Mes pensées sont des fleurs de cristal gelées [with Radis]
Félin Légendaire
Nuage de Léopard
Félin Légendaire
Dim 21 Déc 2014 - 14:21


L’astre solaire étincelle de mille feux et illumine les terres encore assoupies de ses blêmes rayons hivernaux. La saison froide s’est installée pour de bon et ne semble pas résolue à battre en retraite ; bien au contraire, la neige l’a rejointe et s’évertue  à recouvrir le sol d’une inaltérable strate de neige. Encore là, alors que l’aurore vient à peine de se dévoiler, le paysage continue de se nimber de couleurs immaculées ; les flocons tombent sans que rien ne puisse altérer leurs vertigineuses décadences. Ils tombent, tombent sur le sol jusqu’à recouvrir la végétation luxuriante qui pavoise les lieux, jusqu’à ne plus laisser la moindre tige excéder de cet immuable atterrissement de neige.  Quant à moi, c’est d’un œil maussade et revêche que je scrute le paysage ; je ne peux m’empêcher de penser qu’avec la saison froide, et les rats qui prolifèrent tout autour du camp, nous n’aurons bientôt plus rien à nous mettre sous la dent.  

Un frisson me parcoure à cette simple idée et je ferme les yeux. Je veux échapper à la réalité quelques instants, quelques secondes seulement. J’imagine que je suis là, avec mon frère. J’imagine qu’il se serre contre moi et que j’enfouis mon museau dans son pelage caressé par les rayons d’un doux soleil d’été, m’enivrant de son odeur qui m’enveloppe dans un tourbillon de sensations inouïes. Je ne désire rien de plus qu’être avec lui, contre lui, rien que je ne désire plus que de le voir, de sentir son odeur et de plonger mon regard dans le sien. Ce regard qui me fait voyager, qui me fait voguer dans des contrées lointaines, très lointaines. Ce regard qui me réchauffe, qui m’enveloppe dans un drap de soie, onctueux et léger. Ce regard où je pourrais me noyer et perdre pied sans éprouver la moindre tristesse, sans éprouver la moindre peine que celle de devoir le quitter à tout jamais. Dans mes pensées, une mer de couleurs flamboyantes se dessine, allant du vert d’émeraude à la couleur des mauvaises pousses et des jeunes herbes. Les rayons du soleil, quant à eux, tombent avec délicatesse sur le sol et leurs jeux dessinent des tâches de lumière diverses, des ombres variées et des arabesques tordues. La forêt est apaisante, calme et rien n'aurait pût troubler cette tranquillité ambiante. Rien. Lénifiée par cette allégation, je suis là, étendue sur le dos avec mon frère et lieutenant, dans l’herbe qui s’étire à perte de vue, semblable à un linceul de jade. Jusqu’au fin fond de l’horizon. Jusqu’au bout du monde. Jusqu’au bout de mon imagination. Les yeux fermés, je me laisse ainsi bercer par le souffle du vent qui semble me transporter sur des rivages heureux qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone, sur une île paresseuse où la nature donne des arbres singuliers et des fruits savoureux. La fatigue m’étreint peu à peu tandis que je conserve ces chaleureuses images au plus profond des méandres de mon esprit et je pousse un soupir éthéré, teinté d’une inextricable béatitude. Mes dernières et fuligineuses pensées s’évanouissent alors, tandis que je me laisse gagner par un état de léthargie profonde.
Nuage de Léopard
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Lun 22 Déc 2014 - 11:16
Le noir m'accueille. Comme toujours. Je me réveille en pleine nuit, en gémissant. J'ai fait un cauchemar, horrible. J'y voyais papa et maman étendu par terre, sans vie, recouvert de sang. Ce n'est pas la première fois que les tragédies de mon imagination perturbent mon sommeil. A côté de moi, une reine dors paisiblement, entourée de ses chatons. Comme d'habitude, je me suis installée à l'écart hier soir, seule dans mon coin. Au dessus de ma tête, par-delà l'épais taillis de ronces qui forme la pouponnière, j'imagine sans mal la lune briller d'un éclat pâle. Je me lève doucement et m'approche vers le petit trou que j'ai faite moi-même, pour observer la nature dans la pénombre. Une belle vue s'ouvre à mes yeux, le sol a été recouvert de neige. J'ai envie de la toucher, de sentir le froid picoter mes coussinets et de voir les tiges fanées des fleurs essayer de percer la couverture blanche. J'aime l'hiver. Cette saison est tellement belle, avec son tapis de neige et ses fleures de glace. Je soupire. En ce moment, je me sens si seule. Les reines qui prennent soin de moi ne peuvent rien y faire. Je me sentirais toujours coupable, en partie responsable de la mort de mes parents. Je sens les larmes me monter aux yeux. Pourquoi moi? Toujours la même question, et jamais de réponse...

Je décide finalement de sortir, prendre l'air. La neige est froide sous mes pattes, j'avance lentement, profitant de l'air frai. L'aube se lève déjà, et les rayons du soleil ne son pas chauds, enfin si, mais juste légèrement. Soudain, j'aperçois une former familière. Étoile de la Louve! La meneuse du Clan de l'Ombre. Je m'avance plus rapidement, je voulais lui parler. En fait, ce que j'ai à lui demander est très... Particulier.

- Étoile de la Louve?

Elle dors. Je la secoue doucement du bout de la patte. J'espère qu'elle se réveillera, et ne sera pas trop en colère que je l'ai réveillé.

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Félin Légendaire
Nuage de Léopard
Félin Légendaire
Lun 22 Déc 2014 - 11:53
J’entends une voix, eurythmique et caressante malgré l’empressement dont elle fait preuve. Mais ce n’est ni plus ni moins que celle d’une enfant qui résonne à mes oreilles comme un chant de désillusion et de prostration. Cette voix qui ne fait que me rappeler mon enfance astreignante et pesante, parsemée de railleries et de critiques en tous genres. Je me souviens encore de  l’époque où j’étais celle que l’on considérait comme le sous-fifre du clan. A ce moment-là, je n’étais ni plus ni moins qu’une jeune féline pusillanime et complexée, rejetée par tous. Je restais à l’ombre d’un antre occulté et je me contentais d’observer les autres apprentis de mon âge. Je les voyais s’esclaffer et se divertir en cavalant à vive allure à travers les plaines ensoleillées. Quand ils s’arrêtaient, ce n’était que pour m’adresser des quolibets plus dégradants les uns que les autres et se gausser ouvertement de la frêle féline que j’étais. Moi, je ne disais mot. Je restais impavide et stoïque face à tous les affronts que je devais endurer, jusqu’au jour où la limite fut ostensiblement outrepassée. A partir de là, sûrement, je ne fus plus jamais le même individu. Je devins un être indéchiffrable et d’une impulsivité inaltérable que ni les cris acharnés ni les larmes coruscantes ne suffirent à amoindrir. Je me laissai également séduire par le dédain et idolâtrai le fait de me gausser des autres d’un ton persiflant rien que pour me donner l’illusion chimérique que je demeurais plus influente qu’eux.
Mais maintenant, je retombe à brûle-pourpoint dans l’ineffable tangibilité du monde, dès que j’ouvre les yeux et que je me retrouve face à cet être si candide et si ingénu dont mon regard anthracite ne peut se détacher. Je tente de conserver la kyrielle d’images qui s’apposent à mon esprit, je tente de les retenir entre mes griffes recourbées mais elles s’estompent, inéluctablement.

Je cligne des yeux, déboussolée. Patte Silencieuse se tient là, debout face à moi. Je reste muette quelques instants : je n’avais jamais remarqué à quel point elle me fascinait. De prime abord, elle semble dans la fleur de l’âge, pimpante de jeunesse et de vigueur inextinguible. Elle est comme un papillon enfin délogé de son cocon, prête à flâner où bon lui semble jusqu’à ce que l’alanguissement la gagne. Elle parait également d’une candeur émouvante, d’une insouciance déraisonnable. Elle semble, inéluctablement, être une proie facile pour les félins vipérins et médisants qui rôdent dans les cloaques ésotériques des terres de l’Ombre. Ils se délecteraient de cette jeune bohème avant de l’attirer inexorablement vers les tréfonds de la géhenne, sans lui laisser la moindre opportunité de retrouver de nouveau l’éclat du soleil. Quant à moi, je ne peux m’empêcher de contempler cet être.  Je suis comme fascinée, comme subjuguée par tant de jeunesse et d’insouciance réunies. Je vois  en cette jeune féline tout le contraire de ce que je suis moi-même et je l’envie ardemment, sans rien laisser transparaître de mes émotions.

Jour après jour, je finis par être détruite par ce brasier exalté qui me consume, qui me rongée de toutes parts.  Je ne suis, somme toute, qu’une meneuse morose et mystérieuse que tout un chacun s’applique à fuir.

« Que me veux-tu, Patte Silencieuse ? » demandé-je d’un ton bourru, la voix rauque. Mes mots semblent rester suspendus dans les airs quelques instants, avant de retomber dans le silence total qui s’est installé. Étonnée par mon propre ton, je finis par me racler la gorge et je demande, d’une voix plus douce, la même avec laquelle je parle à mes propres enfants. « Dis-moi, tu as encore fait un cauchemar ? » A ces mots, je me relève, les membres ankylosés, et je viens lui donner un coup de langue entre les deux oreilles. A quelques lunes seulement, cette petite en a vécu plus qu'un vétéran en toute une vie : tout ce dont elle a besoin, c'est de réconfort et inconsciemment, je me dis que j’aurais aimé avoir une fille, comme elle.
Nuage de Léopard
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Mar 23 Déc 2014 - 11:37
L'air frai faisait danser les arbres, ainsi que leurs ombres majestueuses. La neige recouvrait le sol, mais encore quelques tâches brunes de terre étaient visibles. J'imaginais sans mal les sources qui parcouraient les terres des clans, gelées. Je regarde Étoile de la Louve avec respect, curiosité, et fascination. Il en va sans dire que j'admirais beaucoup la meneuse du clan. Alors être la, seule avec elle c'était... Impressionnant. J'attends qu'elle se réveille, qu'elle m'adresse la parole, ce qui ne tarde pas.


« Que me veux-tu, Patte Silencieuse ? »

Je me recule un peu, la cheffe est si imposante. Je réfléchis un instant à ce que je voulais lui demander, mas je trouve que ce n'est pas encore le bon moment. Je jette un rapide coup d'oeil au ciel, les étoiles et Dame Lune finissent leur promenade, ils s'en vont. L'astre solaire monte déjà, et éclaire la forêt qui s’étend à perte de vue.

« Dis-moi, tu as encore fait un cauchemar ? »

Ensuite Étoile de la Louve se lève, et me donne un coup de langue entre les deux oreilles.

Je frisonne. Personne ne m'avait encore fait ça. Les reines de la pouponnière ne l'ont jamais fait, jamais. Je n'est jamais été très sociable, avec elles. Et soudain, l'infinie tristesse qui me rongeait se matin ressort. Je m'imagine avec ma maman, qui me parle d'une voix douce et me caresse du bout de la queue. Je peux presque entendre sa voix dans ma tête, j'imagine sans mal son pelage noir, comme le mien. Ses yeux qui me couvrent d'un regard doux. Mais tout s’estompe. Je n'ai plus de maman, ni de papa. Ils sont morts. Et la scène que je venait de m'imaginer n'aura jamais lieu. Et je n'aurais jamais d'amour maternel... Et ces pensées cruelles me font monter les larmes aux yeux, je baisse la tête, et les voilà qui ruissèlent sur mon visage.

Étoile de la Louve , je murmure entre deux sanglots, ma maman elle me manque...

Ça pourrait paraitre si... Enfantin. Et pourtant, c'est ce qui me torture. Quand je voix les autres chatons se faire chouchouter par leurs parents, je tourne toujours les yeux et pars me cacher. Mais c'est inévitable. Si seulement elle pouvait me rendre visite depuis le Clan des Étoiles. Et si elle ne m'aime pas? Peut-être qu'elle m'en veux, car c'est à cause de moi qu'elle est morte. Si je n'avais pas été là, mes parents seraient-ils heureux?

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Félin Légendaire
Nuage de Léopard
Félin Légendaire
Lun 29 Déc 2014 - 21:25
Aux dires de la jeune chatte, mes prunelles sont traversées par une étincelle de stupeur qui a tôt fait de s’estomper comme bien d’autres de mes expressions faciales. Ma bouche qui semble tirée vers le haut en un presque sourire méditatif s’affaisse irrémissiblement en une lippe soucieuse. Elle a perdu sa mère, je le sais, mais l'entendre de sa propre bouche me tord les entrailles. J'ai envie de dire qu'un jour on vit, un jour on meurt mais ça n'enlève rien à la cruauté de la situation. Je me rappelle très bien sa mère. Je me rappelle de son nom, de son visage et ses sourires. Je me rappelle également de sa mort. Mais c'est comme ça, c'est ainsi. On appelle communément ça le cycle de la vie. Une existence apparaît sur la ligne du Temps comme une virgule au milieu d’une phrase puis disparaît pour ne jamais refaire surface.

« Je sais, Patte Silencieuse. Je sais ce que tu ressens », soupiré-je doucement. « Mais n'oublie pas qu'elle n'est jamais vraiment partie : elle est là, dans ton cœur, et en tant que guerrière du clan des Étoiles, elle veille encore sur toi. »

Mes paroles restent suspendues dans l'air et je regarde la chatonne, dévastée. Une larme se forme sur le bord de ses yeux, vacille, et finit par rouler le long de ses joues, suivie d'une multitude d'autres, qui s’écrasent sans ménagement sur le sol. Ça me serre le cœur de la voir dans cet état, mais je ne sais pas comment l’aider, comment la consoler.
Je garde la tête baissée alors que j’ai l’habitude de me tenir droite et fière, telle une reine, et je ne ressemble finalement qu’à une pauvre féline détruite par les doutes qui m’assaillent. A mes yeux, la vie que l’on m’a offerte est devenue dénuée de tout sens. Elle ne rime plus à rien. Après tout, qui suis-je, que suis-je véritablement ? Une meneuse que personne ne respecte ? Quelqu’un que l’on fuit comme le mal vert et que l’on approche seulement par intérêt ? Une guerrière incapable de consoler sa cadette ? Je ne suis rien. Je n’ai plus de passé, ou du moins tenté-je de l’oublier. Je n’ai plus rien. Longtemps, j’ai désiré, de tout mon cœur et de toute mon âme retourner dans ce qui fait désormais partie de mon vécu, mais je sais bien que c’est impossible. Ce n’est qu’un rêve parmi tant d’autres. Un rêve inaccessible, brisé. Finalement, le monde est âcre et sans saveur, redoutable et fatal et il faut avoir la nette ambition de se battre pour parvenir à subsister sur ces terres où règne la loi du plus fort.
De mon passé que je tente d’oublier, il n’y a que quelques images que j’ai conservé et c’est en y repensant que je réalise que le temps file, inéluctablement. Je me souviens de ces hivers passés avec mon frère, de la glace qui craquait sous mes pas lorsque je m’aventurais sur les ruisseaux gelés. Je me souviens de l’immuable mugissement du vent, sourde et éternelle plainte, qui résonnait comme une douce mélancolie pour ceux qui savaient prêter l’oreille. Je me souviens de mes foulées, de mes courses folles dans la neige, où la vitesse et la fougue me grisaient. Mais rien n’est plus pareil aujourd’hui. Plus rien. Maintenant, d’une certaine manière, je me sens emprisonnée, privée de ma liberté. Enfant, je pouvais faire ce que je voulais. Mais c’est fini désormais. On m’a trop tôt plongé dans le monde des adultes, des grands guerriers que j’enviais quand j’étais plus jeune. Maintenant, ma seule envie c’est de retourner dans le passé et de vivre tout ce que j’ai manqué, tout ce dont on m’a privé. Au lieu de gambader dans les prairies, de rire et de jouer comme tout enfant, moi, j’ai pleuré, j'ai crié, j'ai hurlé. Comme Patte Silencieuse, j’ai vécu plus de choses qu’un vétéran en toute une vie. J’ai vécu des choses que j’aurais préféré oublier. J'ai maudit le monde, j'ai maudit la vie d'être si injuste mais j'ai surtout toujours eu l'impression d'accepter les choses d'une façon différente des autres, de vivre dans un monde parallèle, d’être incomprise par tout un chacun. Exclue. Au bout du compte, j'ai fini par mener ma propre existence au sein du clan. J'ai voulu rester cette guerrière sans attaches que j'avais toujours été, alors que j'aurais pu devenir quelqu'un d'illustre. J'ai eu le choix, mais je n'ai pas saisi ma chance. Ce qui m'importait, c'était juste de rester Déréliction de la Louve, incapable d’assumer mes sentiments et encore moins de les exprimer. Je suis restée seule de mon propre gré toute ma courte vie durant, plongée dans la solitude la plus complète durant le reste de mon existence à penser, encore une fois, à des choses et à d'autres. Et aujourd’hui encore, je suis seule. Je suis celle que l’on peut craindre ou ne pas craindre, celle que l’on respecte ou celle dont on conteste les ordres, celle que l’on considère comme le digne successeur d’Étoile Lyrique ou comme une félonne, qui l’a délibérément empoisonnée. Je suis celle que l’on veut bien voir, je ne suis jamais la même.
Finalement, je relève la tête et je plante mon regard dans celui de Patte Silencieuse. Un léger sourire s’ébauche sur mon visage. Je n’ai pas beaucoup de qualités, je le reconnais, mais j’ai vécu assez de choses dans toute ma vie, assez d’horreurs pour comprendre la jeune chatte et pour trouver les mots justes, le remède à sa douleur. « Tu veux que je te dise quelque chose ? » soufflé-je, les yeux brillants.
Nuage de Léopard
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Félin Légendaire
Poussière d'Antan
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Dim 8 Fév 2015 - 21:52
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Félin Légendaire
Danse de la Tigresse
Félin Légendaire
Lun 13 Avr 2015 - 12:49
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Danse de la Tigresse
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