Le presse papier |
|
|
Ven 13 Juin 2014 - 18:28 | Date d’inscription : 03/11/2013
Messages : 1834
Puf : youtoupe
Rang EÉF : Guerrier
Âge : 22
Multi-comptes : Manifestation de l'Ectoplasme ; Nuage Mortuaire ; Morsure du Cobra ; Le Promeneur ; Crépuscule Gris ; Nuage Spectral
|
|
Ven 13 Juin 2014 - 18:31 | |
|
Ven 13 Juin 2014 - 18:31 | |
|
Ven 13 Juin 2014 - 18:31 | |
|
Ven 13 Juin 2014 - 18:32 [15:46:10] Reine Elfique : Nage droit d'vant toi nage droit d'vant toi j'm'appelle Doris j'raconte ma vie j'habite le récif j'aime pas le rosbif, qu'es ce que nous faisons ? Nous nageons nageons ! xDDDD désolée Môman Spirituelle pour cette affiche involontaire.  ♥️ | |
|
Sam 14 Juin 2014 - 3:34 | Date d’inscription : 04/10/2013
Messages : 348
Puf : Crayon | sale moule | laulau | lolotte
Âge : 26
|
|
Sam 14 Juin 2014 - 13:11 | Date d’inscription : 03/11/2013
Messages : 1834
Puf : youtoupe
Rang EÉF : Guerrier
Âge : 22
Multi-comptes : Manifestation de l'Ectoplasme ; Nuage Mortuaire ; Morsure du Cobra ; Le Promeneur ; Crépuscule Gris ; Nuage Spectral
|
|
Sam 14 Juin 2014 - 14:23 Un truc qui est bien long, quand on fait ses Rp sur word c'est fatal! Phrase qui ne voulait rien dire! - Ici:
Une semaine, sept jour, cent soixante huit heures. Une semaine, voilà depuis combien de temps je suis ici et déjà je regrette mon choix. Bien évidemment j'aime ces enfants, ou du moins je les apprécie, faute de les connaître suffisamment. Mais l'activité de la fac me manque, les fêtes pleine de bruit me manque, cette frénésie communicative me manque, Alexeï me manque. Une fois mes cours finis et ma classe vidée d’élèves, je me retrouve seule dans la salle vide. J'ai à peine croisé mes collègues, ils m'ont salués le jour de mon arrivés et c'est tout. J'ai voulut venir ici pour me changer les idées, pour oublier mais je suis si souvent seule que je ne peux m’empêcher de me ressasser le passé et de repenser à ce fichu soir.
Je ferme les yeux, essayant de bloquer les larmes qui menacent de me submerger. J'écoute le bruit de l'orphelinat, ou plutôt son absence. C'est étrange, on pourrait jurer que les couloirs sont vides, personne ne pourrait dire que l'étage inférieur est emplit d'enfant. Je me souviens de mes années de colonie, jamais nous étions si silencieux dans nos dortoirs. Ce silence pourrait être apaisant mais pas pour moi, pas pour mes souvenirs douloureux qui revienne guettant la moindre seconde d'inactivité pour resurgir plus douloureux à chaque fois. Cet endroit m'inquiète, la plupart des enfants, surtout les plus jeunes sont fuyant, effrayés presque traumatisés.
Il n'est pas si tard et jamais je ne me couche si tôt mais ici il y a si peu à faire, je ne peut aller me promener, la pluie qui m'a accompagné à mon arrivée à décider de me tenir compagnie toute la semaine durant. Je m’approche du miroir et contemple mon visage, le fond de teint dont je me tartine pour cacher les couleurs de mon visage a été par endroit emporté avec mes larmes, traçant sur mes joues des lignes bleues. Je soupire et attrape un coton, je verse du démaquillant dessus et le passe sur mon visage. Chaque passage du coton découvre de plus belle les ecchymoses qui mangent mon visage.
Je contemple chaque trace, je connais par cœur mon nouveau visage et mon ancien me manque. Je verse une larme, songeant de nouveau au passé, à ce visage qu'Alexeï parcourait de ses doigts, que dirait-t’il en me voyant ainsi ? Que je suis belle sûrement. Je pousse un petit gémissement. Je me déshabille découvrant la totalité des dégâts, chaque bout de mon corps sans exception rappelle l'accident et cette douleur. J'enfile une chemise de nuit, et enroule mes bras autours de mon corps, espérant ainsi me protéger de tous ces souvenirs. Je suis affreuse, la moindre personne qui me verrait prendrait peur.
Je jette un dernier coup d’œil dans le miroir, pousse un dernier soupire et sort de la salle de bain. Je me rends dans ma chambre. Je me couche et ferme les yeux attendant le sommeil, il vent étrangement vite, trop vite peut être. Mon cerveau s'empresse de s'endormir car dans mon sommeil je retrouve ce que j'ai perdu, ma vie d'avant et évidemment Alexeï. Mais mon sommeil est aussi enclin à me faire basculer dans ces cauchemars, ceux la même qui on hanté mon enfance et qui depuis l'accident on mutés.
Je suis dans une pièce toute noire, je suis une enfant, trois ans maximum, je suis blottit dans un coin de la pièce, me balançant d'avant en arrière. Une silhouette se rapproche, je gémit et commence à me débattre. Je commence à me tordre dans mon sommeil, je bouge luttant contre quelque chose que j'ignore, je donne des coups dans le vide et m’agrippe à mes draps. Je cris dans mon sommeil, peut être dans la réalité aussi. Je regarde autour de moi, le sol est couvert de sang, je hurle maintenant :
- « Pitié ! Nan ! Nan ! »
La silhouette se rapproche, je pousse un nouveau cri et une main s'abat sur moi. Je ferme les yeux.
Mon rêve change, me revoilà dans la voiture, Alexeï est à mes cotés, il me sourit, me dévore du regard. J'aime ce rêve car je peux en profiter pour revoir mon amour perdu. Je le dévore du regard, puis mon regard se pose sur le paysage qui défile par la fenêtre, les rues bien connues de cette ville où j'ai étudié. Subitement l'autre voiture arrive dans mon chant de vision. Je hurle :
- « Alexeï attention! »
Mais il est trop tard, la voiture entre en contact avec la notre dans un bruit horrible de tôle. Je suis propulsé contre le pare brise. Je tourne la tête vers Alexeï et je vois le sang, je gémis.
- « Nan Alexeï, pitié nan, tous sauf ça Alexeï ! »
Ma voix se confond en sanglot, et bientôt je suis en pleur. J'ai alors la désagréable sensation de chuter et alors même que je me réveille cette sensation est toujours présente.
Je me redresse dans mon lit, pleine de sueur et encore envahit par cette affreuse sensation. Avant quand je me réveillais effrayé, Alexeï était déjà réveillé, il me souriait et me serrait contre lui. Maintenant je suis seule face à la terreur de la nuit. Je me lève, non sans trembler, et je vais dans la salle de bain, je m'agrippe à l'évier et passe un peu d'eau sur mon visage. Je me regarde de nouveau dans le miroir, je contemple mon visage si blessé et je me demande pourquoi j'ai survécus, pourquoi la vie n'a pas quitté mon corps comme elle la fait pour Alexeï.
Brusquement, un petit bruit se fait entendre, je redresse la tête. Je mets quelques secondes à réaliser que c'est quelqu'un qui toque à ma porte. J'hésite, qui cela peut être ne pleine nuit. J'ai un peu peur, je suis seule face à l'inconnu et je ne connais pas suffisamment l'endroit pour fuir si cela est nécessaire. Je pousse un long soupir avant de me diriger vers la porte. Ma main hésite puis finit par attraper la poignée, l'autre agrippe la clé et la tourne. J'ouvre la porte et découvre un de mes collègues dans le couloir. Je le regarde intrigué et finit par demander d'une voix tremblante :
- « Oui ? »
| |
|
Mar 17 Juin 2014 - 17:29 Pour ceux dont l'ectoplasme est d�fonc�, veuillez rajouter "End" dans le bac � viande de votre ventricule gauche. Okey.  | Date d’inscription : 04/10/2013
Messages : 348
Puf : Crayon | sale moule | laulau | lolotte
Âge : 26
|
|
Mar 17 Juin 2014 - 18:37 | |
|
Mar 24 Juin 2014 - 17:19 - Nuage Imaginaire a écrit:
- [15:46:10] Reine Elfique : Nage droit d'vant toi nage droit d'vant toi j'm'appelle Doris j'raconte ma vie j'habite le récif j'aime pas le rosbif, qu'es ce que nous faisons ? Nous nageons nageons !
xDDDD désolée Môman Spirituelle pour cette affiche involontaire. ♥️ ALORS SA. Je l'avais pas vue TT MEUCHANTE, MALHAUTRUS ! CANGRE ! SALIGOING ! | |
|
Mar 24 Juin 2014 - 17:36 - Spoiler:
Chaque seconde compte pour d�sint�grer ma bulle de chewing-gum.
J'ai failli mourir de rire  | |
|
Mar 24 Juin 2014 - 17:51 Il se trompait. Il les avait renié. Dans sa lente décadence, dans à chute, dans son agonie. Il ne leur avait pas adressé une prière. Il faisait parti de ces être qui ne priaient que lorsqu'ils en avaient de besoin. Portant, les étoiles s'étaient penchées sur lui. Elles lui avaient accordé les neuf vies. Seul sept vies, sept souvenirs, sept vertus se trouvaient encore en lui. La vie s'y accrochait. Le destin était favorable à ce déchet de la société.
| Date d’inscription : 22/12/2011
Messages : 4254
Puf : Sunny || Failariel
Âge : 25
Multi-comptes : Empereur des Séraphins (vent) - Écaille du Caïman (ombre)
|
|
Jeu 26 Juin 2014 - 19:10 +33635928035
Je ne sais pas à qui il appartient mais silvouplé ne jouez pas avec. D8 | |
|
Jeu 26 Juin 2014 - 19:16 | |
|
Sam 28 Juin 2014 - 19:57 Si les dauphins disparaissaient vraiment demain, comme dans la série du Guide du voyageur intergalactique, je pense que leur dernier message serait «on vous emmerde», plutôt que «salut, et encore merci pour le poisson», comme l’avait imaginé Douglas Adams. | Date d’inscription : 26/02/2014
Messages : 1480
Puf : Basile
Rang EÉF : Guerrier
Âge : 23
Multi-comptes : /
|
|
Sam 28 Juin 2014 - 23:50 | Date d’inscription : 22/12/2011
Messages : 4254
Puf : Sunny || Failariel
Âge : 25
Multi-comptes : Empereur des Séraphins (vent) - Écaille du Caïman (ombre)
|
|
Sam 28 Juin 2014 - 23:54 | Date d’inscription : 26/02/2014
Messages : 1480
Puf : Basile
Rang EÉF : Guerrier
Âge : 23
Multi-comptes : /
|
|
Dim 6 Juil 2014 - 16:11 Veux tu voir ma belle quenouille si gentille que j'ai réussi à dompter ? Non. Car c'est impossible. Ah, mais impossible ça n'est pas français ! Alors je dis "impossible" en anglais. Et pourquoi it's "impossible" ? Because je n'en ai pas. Au revoir et ravie de t'avoir fait perdre quelque temps de distraction. | |
|
Dim 6 Juil 2014 - 21:14 | |
|
Lun 7 Juil 2014 - 0:23 | Date d’inscription : 07/04/2013
Messages : 1348
Puf : Kiri [me supprimez pas, je passe encore 09/03/18]
Rang EÉF : Vétéran
Âge : 22
|
|
Lun 7 Juil 2014 - 5:21 | |
|
Mar 8 Juil 2014 - 21:31 | |
|
Ven 11 Juil 2014 - 23:29 :Yepee: :Yepee: :Yepee: :Yepee: :Yepee: :Yepee: | Date d’inscription : 26/02/2014
Messages : 1480
Puf : Basile
Rang EÉF : Guerrier
Âge : 23
Multi-comptes : /
|
|
Ven 18 Juil 2014 - 19:26 Après l'acte elle le ligota a un arbre et se mit a faire la danse du feu puis un orage éclata. La foudre tomba sur l'arbre et il s'enflamma. La folle s'en alla et le gaulois attendit que le feu brûle la corde et se jeta dans le lac non loin avant de se rendre compte que sa chair avait brûlé et s'était transformée en Pétosaurus Magnus Ridikikus qui en gros était un dinosaure blanc avec des plumes chelous. Il réussit à s'envoler mais se fracassa la gueule (quoi ? C'est un animal, non ?) contre une montagne qui était plus grande que les autres. C'était en faite une montagne qui avait ingéré un haricot magique, et depuis elle ne cessait de monter monter monter vers le ciel jusqu’à cacher le soleil ce qui eut pour effet de tuer toute forme de vie végétale, et ce petit à petit. Le gaulois, courageux escalada la montagne pour aller cherche le grand magicien qui lui donna une bourse remplie de vers à soie. Il l’empochât. Puis il redescendit la montagne a dos de lama qui crachait du feu et qui bavait du sang de chauve-souris mangeuses de pommes. Il se faisait rattraper par des dragons roses fluos mangeurs de crottes de souris pourries qui vole comme des faucons qui vomissent des arc-en-ciels. Alors il se mit à fouetter son destrier avec une patate mijotée dans de l'eau froide et un fouet pailleté, malheureusement le lama trébucha et se mit à dévaler la pente. Ensuite, le lama s'enfuit en vomissant des arcs-en-ciel et des paillettes, ces dernières le faisant éternuer des microbes magiques qui mangent les mini-licorne magiques qui volent dans le ciel pour calmer ses pulsions sexuelles de mâle dominant. Et les femelles licornes, toujours prêtes à rendre service, donna un pouvoir magique au chevalier qui était celui de transformer des personnes en arbre. Ce chevalier s'en fichait et les transforma en arbre, de jeunes bouleaux qui bougeaient dans les airs. Sauf qu'un bouleau était moitié licorne qui faisait un bruit de canard toutes les cinquante secondes, mais un bruit de vilain petit canard non je jure, et ce bouleau à moitié licorne au bruit de vilain petit canard fit... des choses à un arbres. Cet arbre en question n'en pouvait plus de supporter les bruits incessants des canards qui le narguaient. Il décida donc, quelques bruits de canard plus tard, de claquer ses branches au sol pour le faire fuir. Mais il revenait à la charge, prêt à tout défoncer. Quand soudain, un forestier arriva avec une scie en or, et il coupa l'arbre canard qui miaula comme un chat et donna naissance à une licorne arc-en-ciel. Cette dernière se mit soudain à danser la Macarena, trop heureuse de vivre. Le forestier la regardait, puis la tua avec sa scie en or car il en avait marre car elle dansait la macarena très mal. Mais il n'avais pas prévue qu'elle ait redonner aux autre licorne qui mange des plumes de pélicans. Les pélicans se rebellèrent en vomissant du vomis arc-en-ciel sur eux. Et apparemment, ils adoraient ça. Depuis ce jour, ils continuent de faire ça tout en
Oui je flood D: | |
|
| |
|
Le presse papier |
Accueil
