30 lunes » morte
Ancien chef de la rivière.
Femelle
Ancienne chatte domestique
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Noms anciens:
Etoile Majestueuse
Ombre Majestueuse
Nuage Ombragé
Boule d'Ombre

Etoile Majestueuse est une magnifique chatte au pelage d'un blanc impeccable. Celui-ci est d'un poils long et  doux très appliqué. Elle a une longue queue touffue qui est droite et qui brasse les airs. Ses oreilles sont fines. Elle est de taille normale et de poids léger. Elle est assez agile, et toujours très attentive, scrutant la vie de ses jolies prunelles bleues.

Etoile Majestueuse est une chatte assez normale. Avant devenir plus responsable elle était assez égoïste. Maintenant elle se préoccupe beaucoup moins d'elle. Elle reste néanmoins susceptible. La chef est aussi curieuse et adore le nouveau et l'aventure. Avant cela lui avait coûté quelques ennuis, mais son devoir de chef ne pouvais plus lui accorder ce genre de découverte.

Ombre Majestueuse naquis chez les bipèdes auprès de sa mère. Ces bipèdes à elles ne voulais garder que 2 chatons, et ils étaient 3. Ombre Majestueuse allait être donner quand son père l'emmena au camp de la Rivière. Son père était très apprécier, donc après mainte et mainte efforts le chef ne pouvais pas laisser un chaton entre les mains de bipèdes. Alors il accepta. Ombre Majestueuse eut du mal à montrer sa fidélité pour son clan, car personne n'avait oublié son passé. Mais apprentis elle se fit pleins d'amis et maintenant Ombre Majestueuse est assez apprécier par tout le monde. A présent Ombre Majestueuse est devenue chef du clan de la Rivière. Elle a fait beaucoup de rencontres qu'elle n'est prête à oublier et espère en faire d'avantages...

Ami(e)s Proches:
*Ange de la Mort ♥ (disparue)
*Brume Illusoire. ♥

Apprenti:
*Nuage de Coton

Ami(e)s:
*Plume de Braise
*Etoile Gothique
*Nuage de Rêve
* Éclat de Rose
*Rêve Immortelle

Neutre:
*Folie Meurtrière
*Feuille de Chêne
*Patte de Cerise

Ennemi(e)s:
*Nuage d'Aurore

6 LUNES
Solitaire
Ancienne apprentie du clan du vent.
Femelle
Origines inconnues

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Noms anciens:
Nuage Utopique
Petite Utopie

Nuage Utopique est une petite chatte assez jolie. Elle a un beau pelage long et gris toujours soyeux. Elle est tachée de blanc au bout de ses oreilles et de son museau ce qui la rend très mignonne. Ses prunelles sont d'un magnifique vert et ces moustaches sont blanches et longues. Mais sous cet amas de fourrure grise, Nuage Utopique n'est qu'un sac d'os dut à ses anciens mauvais traitements aux près des bipèdes.

Quand on dit que Nuage Utopique est toujours dans son monde ce n'est pas un mensonge. Trop malheureuse à cause de son passé elle s'est crée un monde parfait à elle et a remplacé la réalité par celui ci. Par conséquent, elle est réservée, souvent toute seule. Ce qui ne l'empêche pas d'être vraiment très gentille et surtout attentionnée. Elle est toujours discrète ce qui peut être une qualité comme un défaut. Elle est aussi très peureuse, très craintive pour cause de la maltraitance des bipèdes à son égard. Nuage Utopique est une chatte très attachante.

« Tu cours toujours, tu cours loin, très loin, loin du malheur, loin de cette vie. Tu t'es échappée, tu t'es enfuis de cette maison, de cet enfer, de ces cruels bipèdes. Mais que vas tu faire à présent ? Seule dans un endroit qui t'es totalement inconnu. Abandonnée à toi même, toi jeune chatonne de 3 lunes. Comment vas tu survivre ? Mais tout sera moins pire, l'enfer ce trouve chez ces bipèdes, les coups de bâtons, les attaques de ce chien, les cris, les coups de pieds. Tout ça à cause d'eux ! Tout ses sentiments que tu ressens à présent , seule et apeurée. Existe-il un endroit où tu n'auras plus besoin de te cacher ? Un endroit où tu te sentiras enfin chez toi ? Un endroit où tu retrouveras ta vivacité d'avant ? Ta détermination, ton courage et ton assurance. Mais cela remonte à loin, tu étais petite, tellement que maintenant plus aucun souvenirs ne t'en reviens, juste quelques uns, flous et incertains. Tu ne te rappels que d'une chose dont tu es absolument sûre, ce sont tes parents qui t'ont abandonné à ces bipèdes, ils croyaient que ton bonheur était avec ces êtres étranges et cruels, et bien ils avaient faux, faux sur toute la ligne.



Voilà maintenant quelques jours que tu vagabondes, seule sans nourriture, sans abris. Ton énergie faiblis et tes pensées ne sont plus rien, ton seul souhait à présent est que tout ce termine, de toutes les manières qu'il soit. Tu ne veux plus continuer à vivre ce cauchemar, tu ne supportes plus rien, même pas tes propres bruits de pas. Tes yeux sont fatigués, ton corps est d'une maigreur affolante et dans ta tête plus rien ne fonctionne correctement. Tu marches continuellement sans jamais t'arrêter, toujours au même rythme, c'est devenu machinal. Mais tu ne remarques même pas que ton corps ne demande qu'une chose, le repos. Non, tu es rentrée dans une sorte de rêve et la réalité n'est plus qu'apparente. Tu ne désires qu'une chose, marcher. Marcher sans trop en connaître la raison. Marcher jusqu’à ce que votre corps ne le supporte plus et qu'il vous abandonne, vous laissant à terre sans avoir encore la force de crier, d'appeler à l'aide. Jusqu'à ce qu'il vous laisse mourir ou que d'autres chats vous sauvent.



Tu es maintenant dans le clan du Vent, sous le nom de Petite Utopie. Un reine a accepté de te donner du lait. Tout est redevenu normal, enfin plus ou moins. Tu n'es plus la même du tout. Tu restes toujours dans ton coin. Tu penses à un monde magnifique où personne n'a mal, où personne n'ai abandonné. Un monde coloré, où le soleil brille tout les jours, où la nuit est belle. Un monde où rien ne fait peur. Le paradis. Au début tu ne rêvais de lui que la nuit, dans ton sommeil. Mais maintenant, ce paradis revient aussi quand tu es consciente. Quand tu es dans la clairière et que tu regardes les autres chatons jouer ensemble toi tu rêve de se monde pourtant si réel. Et quand tu bouges dans ton monde, ton corps bouge aussi dans le vrai monde, celui où tu es née, celui qui te fait peur. »

Famille:
Mère:
Père:
Frère(s): Petit Lagon
Sœur(s):
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Mère adoptive: *Flamme Rousse
Soeur(s) adoptive: *Petite Symphonie

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Compagnon: Phénix
Mentor: Seigneur des Edelweiss
Protectrice: Perle du Lac
Ennemi(e)s: Petite Brise
"Model": Oiseau Hivernal

O Lune
Chaton du clan du Vent
Mâle
Sang-mêlés, rivière & vent.
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Noms anciens:

Magnifique, il est magnifique. Ce serait être complètement menteur que de ne pas l'affirmer, ou jaloux, être jaloux. Mais qui ne serait pas envieux de ces magnifiques yeux ambrés qui ne daigne pas même vous regarder ? Qui ne pourrait pas démontrer que la taille de son corps est parfaite, finesse, agilité, puissance, musculature. Tout semble avoir été dessiné, tout calculé pour laisser échapper des murmures sur son passage, peut être pas sa prestance, sa frime. Par sa confiance indéniable en lui même, par sa conviction de supériorité. En attendant, il fait tout pour la manifester, il fait tout pour ne pas passer inaperçu, déambulant la queue droite, la tête réellement placé le regard tendue vers les environs, sans aucun regard pour les autres. Ces poils sont d'un lissage impeccable, court et bien soigné, gris, déployant considérablement la volupté de ces yeux détachés. Son visage est proportionnel au reste de son corps, d'une taille moyenne, proche du minime, oreilles, museau, yeux, moustaches..

Et pourtant, une simple description d'une pensée d'un narcissique pourrait déformer la réalité, c'est vrai. N'est-il pas vraisemblablement banal par sa taille tout à fait dans les normes, par ces poils courts gris, par son visage trop parfait, sans aucune caractéristique, n'y a t'il rien d'autres à redire sans trop changer la réalité ? Car manifestement, il n'a rien de particulier, il est beau, mais le terme magnifique serait il approprié ? Il a certes tout pour lui, il n'y a aucun défaut à apporter, mais magnifique serait le porter vers les cieux, et la ce serait un faute encore plus grave.

La bonté lui est inconnue, il ne saurait l'expliquer ni même l'employer. Il est de ceux que l'on appellerait des sans-gênes. Ceux qui se croient tout permis, ne dépendent que d'eux même et ne se posent pas de questions quant à leurs actes. Ceux qui se savent les meilleurs et qui en abusent fortement, ceux qui traînent des insouciants derrières eux seulement pour paraître plus impressionnant et respecté. Petit Pingouin fait parti de ce genre de personne. Il est narcissique, ne pensant qu'à lui et seulement à lui. Ne désirant de bonnes choses que pour ses propres besoins. Il n'est pas méchant, juste très égoïste, il est aussi capable de réfléchir, de faire des plans ne serait ce que pour pouvoir faire rire les autres et ainsi passer pour une personne à apprécier, à admirer, à suivre. Il lui arrive aussi d'être très gentil, amical. Il ressent des sentiments, mais la pitié n'est pas dans son caractère. Seul il est gentil et agréable, avec ses passionnés il devient méchant et narcissique.

Sous les pénombre de la nuit, sous un vent fort et frais, une chatte au pelage d'un blanc pur s'avance tant bien que mal, portant dans sa gueule trois boules de poils toutes nouvellement nées. L'une d'elle gémit, puis l'autre, et enfin tous ces petits miaulements sont entraînés par d'autres, aigu et léger, portés par les mouvements du vent, et oubliés, remplacés par d'autres identiques. Les temps s'écoulent, longtemps, cela pourrait paraître durer une éternité. Enfin, la chatte s'arrête, elle pose avec l'attention d'une mère ses rejetons sur le sol et patiente, collée à eux pour les réchauffer. Autour d'elle, autour d'eux, des grands chênes, une pierre étalée sur une longueur importante, au centre d'une clairière givrée. Au loin, le murmure du ruisseau se laisse entendre, puis, le temps d'un souffle, d'un instant, une ombre s'approche, un mâle au pelage tigré. Les deux guerriers s'échangent un regard, un regard emplie de secrets, de sentiments. Il attrape maladroitement les trois chatons, peinant à les garder soigneusement dans sa gueule, craignant de les échapper. Puis, le mâle à l'allure concentrée repris le chemin de son arrivée, arrivant à avoir assez confiance en lui même pour accélérer le pas, sous les gémissements des petits chatons, de ses chatons. Continuant ainsi son chemin, il traverse l'entrée d'ajonc gardant le camp, le camp du vent. Rapidement et silencieusement, dans un noir absolu, sans étoiles, il traverse la clairière pour entrer dans une tanière, s'approchant d'une reine en se gardant de réveiller les autres, observant ses deux petits chatons collés et endormis contre son flanc, il y déposa ses propres chatons. Ayant finit de murmurer quelques mots à la reine, il s’efface, s'en allant avec un dernier regard pour ses petits, ces derniers se précipitant contre la chaleur corporelle de la reine et se nourrissant avec son lait. Oubliant déjà ce trajet si important dans leur vie, ou ne se souvenant pas assez de choses pour comprendre...

Mère: Brume Illusoire
Père: Constellation du Tigre
Frère: Patte Libre
Sœur: Petite Névée
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Mère adoptive/Tante: Nuée de Plumes
Père adoptif : Révérence du Paon
Frère(s)/Soeur(s) adoptifs: Patte Aquatique & Patte Polaire

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19 LUNES
Guerrier du clan de la Rivière
Mâle
Origines 100% rivières

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Noms anciens:
Nuage du Poisson
Petit Poisson

Poisson Rouge n'est ni imposant par son caractère ni par son physique si peu avantageux. Plus petit que la norme, il ne se démarque pas assez des images enfantines qu'il renie pourtant et ne peut donc pas être pris assez au sérieux. Ce n'est cependant pas un problème qui l'embête énormément, il se passera bien de savoir ce que les autres pensent de lui, de savoir qu'ils l'écoutent ou non. Il ne favorise personne par le physique et ce dernier élément l’indiffère au plus haut point. Que son pelage d'une douce rousseur dégradé d'un blanc pur soit accompagné de ses magnifiques prunelles azurées ne l'intéresse pas, c'est à ce demander même si l'importance de son apparence lui est même inconnue. Que sa taille soit petite, que ces moustaches soient blanches et son nez rose. Que ses pattes soient courtes, qu'il soit maigre et pas musclé. A quoi bon essayer de ressembler à quelque chose que l'on est pas ? Et par l'inverse, à quoi bon ne pas apprécier quelque chose que l'on est ? Cette trop grande importance qu'à l’apparence physique détruit une âme. Poisson Rouge ressemble à ce qu'il est. Il n'est qu'une silhouette parmi d'autres.

Il marche calmement, paisiblement, le vent siffle entre ses poils et la poussière s'élève sous le poids de ses pattes. Le regard évadé et terne, le visage décontracté d'une quelconque expression, il déambule sur le sentier effacé. Seul le temps pourrai nous montrer une trace de son passage, aussi inconnu, ignoré et banal que celui des autres de ce monde.  Toutes ces futilités de l’apparence, de la puissance le répugnent, il préférera s'enfuir de cet univers où l'on favorisera l'importance à l'être vivant. Il souhaitera marcher en suivant le cour du temps, en suivant le cour des événements et peu lui importera de savoir qu'il aura marqué ou non une légère empreinte de son trajet sur cette terre, car selon lui, tôt ou tard, chacun rencontrera le vent qui balayera sans aucun regret les traces d'une quelconque existence. A quoi bon construire une bêtise qui s'évadera à la première faiblesse. Autant vivre sa vie selon ses propres plans, ses propres plaisirs, il passerai des journées à penser, à relativiser  si l'on ne se donnait pas la peine de l'interrompre. Une certaine sagesse l'habite, chacune des phrases qui passeront la barrière de sa langue seront d'une finesse aiguisée. Chaque mot trouvera une place organisée dans les formulations de ses phrases qui donneront un sens des plus justes aux intentions recherchées. Les seules attributions négatives que l'on pourrait lui remettre seront celles d'un timbre de voix indissociable en toutes circonstances. Une certaine insensibilité aux propos d'autrui , il sera difficile pour lui d'exprimer ses sentiments aux autres, il préférera les garder au fond de lui, et jamais personne ne pourra percer ce qu"il ressent vraiment, à part s'il en décidait autrement. L'habitude de certains pour dire ce que l'on ressens à chaque personne, qu'elle soit proche ou inconnue n'est pas sienne, il se réserve une vie et des sentiments personnels qu'il ne juge pas nécessaire de dévoiler au grand publique. Étrangement, les chatons ne lui seront que de mauvaises compagnies, il se répugnera de les écouter bavarder des quelques illusions de l'insouciance, l'immaturité ainsi que les futiles puérilités l’ennuieront au point où il favorisera la solitude. Autrement, il est comme chacun des autres, il use des manières d'usages envers chaque guerrier, une terrible banalité sociale dont chacun, un temps soit peu éduqué à vivre en communauté, sera livré à pratiquer.


« Nous nous ressemblons tous dans nos manières, seules nos pensées seront capables de nous dissocier de la masse connivente. »

Un matin comme les autres, alors que certains s'étendent encore sur leurs litières de mousses, que d'autres encore s'entraînent, liant, chaque jour encore plus, les relations d'un mentor et de son apprenti, que les anciens discutent tout en dégustant les poissons que les guerriers leurs avaient amené, que le chef et son lieutenant organisent les prochaines patrouilles, deux minuscules silhouettes accourent hors de la pouponnière et roulent dans la terre poussiéreuse du camp de la rivière. L'un d'eux, dont le pelage brille d'un gris étoilé s'élance sur le deuxième tout en s'écroulant de rire. Ce dernier se détache du pelage de sa sœur par un pelage enflammé de roux. Leur simple univers semble se détacher de celui des autres, ils s'échangent de petits coups de pattes sous le regard bienveillant de leur mère, Muse Sylvestre, une femelle au pelage identique à celui de sa fille. Elle rêve à la famille qu'elle a, aux prochains merveilleux souvenirs qu'elle partagera à leurs côtés, au futur de ses enfants qu'elle aime plus que sa propre vie. Elle rêve au bonheur de ses enfants qui est le sien. Elle ne souhaite que leur bien-être. Alors, elle reste là, assise face à eux, à les regarder exprimer leurs jeux d'enfants, à les voir imaginer et rêver du futur, alors elle ne bouge pas et admire ses deux petites vies s'épanouir.

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Cette fin d'après-midi fut calme et tranquille. Nuage du Poisson rentrait d'un entrainement avec son mentor et sans même daigner avancer d'un pas de plus vers le tas de gibier, il s'écroula de fatigue au côté de ses camarades. Il écoutait d'une oreille leurs histoires et s'évadait plutôt dans ses pensées. C'est pourquoi, quand un cri perça le silence de la clairière, il ne réagit pas immédiatement. Puis, alors qu'un de ses amis lui soufflait que le bruit provenait de sa sœur, Nuage Parme, il se réveillait enfin, et maladroitement se relevait pour la rejoindre le plus rapidement possible. Elle n'avait pas fière allure, de l'eau s'écoulait le long de son pelage, et celui ci se plaquait à sa peau de telle sorte que sa minceur se détaillait invariablement. Nuage du Poisson écoutait sa sœur, et ce qu'il comprit le fit reculer de plusieurs pas. Il regardait toujours sa sœur, mais petit à petit, une brume lui troubla la vue, et plusieurs larmes délicates tombèrent le long de son museau. Dès l'or, bien que les guerriers, dont leur père et Nuage Parme retournaient au lieu de l'incident, Nuage du Poisson lui ne bougeait plus. Il vit le temps défiler à la fois trop rapidement et pas assez vite. Il recula d'avantages lorsque la patrouille rentra, traînant derrière elle, le corps sans vie de Muse Sylvestre .

Ce qu'il se passa par la suite fut assez vaste, il se souvint toujours de la vue de sa sœur, de sa version des faits, de sa maladive détresse. Il se souvint de la vue de son père effondré. Il se souvint de sa mère, dont sa sœur l'avait désormais privé. Il se souvint également de tous les bons souvenirs qu'il avait passé avec sa mère, mais il oublia tout ceux qui le liaient à sa sœur. Il fuyait son regard, il fuyait ses remords. Il ne pouvait s'empêcher de penser que sans sa folle peur de l'eau, tout cela ne se serai jamais produit, et que sa mère serai toujours à ses côtés. Mais maintenant il devait accepter le fait qu'il avait perdu sa mère et qu'en même temps, il venait de perdre sa sœur.

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Le jour où leur père mourut à son tour, laissant Écume Parme et Poisson Rouge seuls, plus jamais les choses ne revinrent à la normale. Poisson Rouge s'obstinait à oublier l’existence de sa sœur, il se refusait même d'y penser et il continuait sans relâche à vivre sans elle comme si elle n'avait jamais existé. Elle s’effaçait même de ses souvenirs et il ne finit par la regarder qu'au travers de Muse Sylvestre et de la douleur qu'il éprouvait.


«  Nous ne devons jamais verser de larmes.
Les larmes ne sont rien d’autre que la défaite du corps contre le cœur. Elles constituent la preuve que garder un cœur ne sert à rien d'autre qu'à s’affaiblir. »

Famille:
Mère: Muse Sylvestre (morte)
Père: PNJ (mort)
Sœur: Écume Parme