CHARACTER



Nom & surnom : Méphistophélès & Méphisto. Âge : 26 Lunes. Sexe : Masculin. Clan & Rang : Solitaire. Origines : Domestiques. Le but de ton félin ( s'il en a un ) : A voir au fil des RP.




PSYCHOLOGIC



Personnalité | 3 lignes minimum | : Méphistophélès se montre être un gentleman distingué, poli, prévenant et calme. Avec les demoiselles, cependant. Mais avec les jeunes damoiseaux, par contre, il est imbuvable. Presque exécrable, insupportable, mais tout en restant aimable verbalement. Il n'est pas du genre à se laisse sombrer dans la violence aussi facilement et se montre même d'une patience remarquable. Nullement du style à répondre aux provocations, toute tentative à le vexer sera tout aussi fortuite qu'inutile. Mais lui, par contre, n'aura pas scrupules à vous envoyer des piques déplaisantes, et parfois déplacées si vous l'agacez trop. Méphisto est plutôt dans cet esprit « je vais où je veux quand je veux et si je le veux ». Alors bien que vous réussissiez un jour à le chasser de vos terres, rien ne garanti le fait qu'il n'y sera pas le lendemain. Il y a même de fortes probabilités pour qu'il revienne de-nouveau. Que vous soyez contre lui est complètement égal, tant qu'il peut passer cette ridicule petite frontière invisible inventée par quelques soi-disant clans sans difficultés. Et puis, se cacher, c'est comme une seconde nature chez lui. Se faufiler silencieusement dans les buissons, évitant de se mettre dos au vent, bondir dans un arbre, plonger dans un lit de rivière, ça, il sait parfaitement faire. Et pas qu'un peu. Il semblerait que la lâcheté soit l'un de ses attributs. Bien que se répugnant au combat, Méphistophélès n'en est pas moins un combattant dangereux quand il s'en donne la peine – surtout quand il n'a pas le choix. Cependant, dès qu'une situation devient électrique, il cherchera à mettre les voiles de manière intempestive – ou pas – de façon à se trouver loin dès que l'orage éclatera. Se refusant à faire courir tous risques à ses splendides oreilles, il n'osera même pas pointer le bout de son nez dans une bataille, à moins que l'on l'y pousse. Mais pour cela, bonne chance, mes bons amis. Sachez qu'il n'est pas poltron. La peur ? Il ne connaît pas. Du moins, ne semble pas connaître, car il est toujours assez confiant et assuré. Une vivacité d'esprit qui lui sauve parfois magistralement la mise, mais qui peut aussi lui coûter cher. Ne dit-on pas, d'ailleurs, que tout diable est protecteur ? Oui, étrangement protecteur quand il a sut se trouver de quoi égayer ses journées parmi ses compères félins. Étrangement sympathique, aussi. Alors, cet air insupportable ne serait qu'une façade ? En quelque sorte, mais sachez qu'il ne supporte que la compagnie de belles et jeunes demoiselles. Rares sont ses amis mâles. De plus, comme dit un peu plus haut, il n'est ni un quelconque Casanova ou Don Juan, mais c'est le mystère qui l'entoure qui attire les dames. Pas tant le physique ni la psychologie, finalement, mais bien l'impression qu'il dégage. Et puis, même, dans le fond, il n'est pas bien méchant ~ Défauts : • Lâche, • Exécrable • Je m'en foutiste, • Moqueur. Qualités : • Attentif, • Protecteur, • Vif, • Gentleman.




STORY



Histoire : « Dis-moi qui tu es, même si tu l'ignores. » Dire qui on est quand on l'ignore n'est pas une tâche bien facile. Il faut alors se créer son univers, sa vie, sa destinée. Il faut tout construire. Ou reconstruire, si destruction il y a eut. Dans le cas de Méphistophélès, et comme dans d'autres, c'était le simple fait d'être orphelin qui lui avait valu cette phrase énigmatique, mais qui fut comme un déclic. Donc, il lui fallait tout former de lui-même. Un enfant, même adopté, prend les allures de ses parents. Lui, il n'en avait pas. Donc n'était rien, à ses propres yeux. N'avait rien sur qui se reposer. Rien. Le commencement est toujours difficile, mais une fois lancé dans l'aventure, on a bien souvent du mal à s'arrêter qu'à continuer. Ce qui lui avait valu cette simple parole, c'était le mauvais temps. La pluie, en somme, l'avait poussé devant une vieille grange. Les planches craquaient sous le vent salvateur qui soufflait, la porte gémissait de manière stridente en s'ouvrant et se fermant alternativement, claquant de temps à autres pour recommencer son mouvement de balancier. Continuel. Angoissant, presque. Le jeune chat s'avançait silencieusement. La vieille bâtisse était remplie de foin fraîchement coupé, à la douce odeur de campagne, la douce odeur de tranquillité. Celle qui repose, celle qui apaise. Celle que tout le monde est censé aimer. A ce moment-là, il n'avait ni nom, ni avenir. Tout se résumait à un passé funeste : né de parents inconnus, tout ce qui lui avait été un semblant de famille fut les bêtes à deux pattes qui le trouvèrent là, perdu au milieu de la ville. C'est triste. Mais c'est ainsi. Cependant, ils étaient partit en catastrophe, l'oubliant dans son panier. Tout ce qu'il avait put récupérer, c'était la montre à gousset qui était pendu à son cou et qui, à l'époque, émettait encore du bruit. C'était comme le tempo qui guidait ses pattes, qui tapaient à ce rythme-là le sol. Mais un jour, la montre s'est arrêtée. Mais nous n'en sommes pas encore là. Viendra le temps où je vous raconterai cela. Mais chaque chose à son temps. « Hey. » Une unique voix. Grave, rapeuse, profonde. Qui retentit depuis les méandres des planches de bois plongées dans l'obscurité la plus totale. Le chaton de nuit douta de l'avoir bien entendu, et s'installa calmement sur un petit tas de foin un peu à l'écart des courants d'air. « Hey, toi là. » Une nouvelle fois, celui qui allait bientôt s’appeler Méphistophélès ne cilla même pas. On entendit comme un feulement d'exaspération. Et bondissant comme un beau diable, un vieux matou au pelage tigré et au regard peu sympathique atterrit presque sous son nez. Il venait visiblement d'une poutre, au plafond. « Oui, toi, là. Tu es sourd ou tu m'ignores juste ? » grinça-t-il de sa voix aigre en battant furieusement l'air de sa queue, mais se calma cependant, reprenant d'un air plus doux : « On peut savoir ce que tu fais là ? » Méphistophélès le regarda sans broncher, puis répondit : « Perdu. Je me suis perdu. » « Perdu ? Original, dis-moi. » railla le doyen en s'asseyant très simplement. « Donc. Peux-tu me dire comment tu t'es 'perdu', petit ? » « A vrai dire, à la base, je ne sais même pas où je suis tout simplement. » grogna le petit avec mauvaise humeur. « 'Fallait le dire plus tôt. » marmotta l'autre en se léchant une patte avec une flegme visible. « Ici, tu es à Cerfblanc, du côté de la ville. Tu as dû passer toute une série de barrière, normalement. » Il s'arrêta un instant de parler, ayant capter toute l'attention du chaton. « Bien, bien. Tu as pu remarquer que ces barrières donnaient sur la forêt, n'est-ce pas ? Eh bien voilà. Tu es à la lisière de ces bois, sur un territoire ou ni toi ni moi n'avons normalement le droit d'aller. Mais comme j'ai une soif inégalable de risques, j'ai élut domicile dans le coin, malgré ce que pourront dire ces pauvres … Otoctones. » « Otoctones ? » « Indigènes. » « Ah. » Le vieux chat s'esclaffa un instant. « Non, en fait, tu es sur les terres d'un groupe de chats se nommant le Clan du Tonnerre. Ils n'apprécient pas trop les Solitaires – les chats comme moi, quoi – et les domestiques. » « Ah, je vois. » « Mais dis-moi plutôt. Qui es-tu ? » Le petit réfléchit. « Je ne sais pas. » « Jenesaispas ? C'est pas un nom, ça. » « Non, non. Je dis juste que je ne sais pas. » « Tu ne sais pas qui tu es ? Enfin voyons. Regarde-toi : tu es un chat. Un chat, c'est déjà ça. Mais ne me dis pas que tu ne sais. Si tu m'avais dit : 'je suis un chat, mais je n'ai pas de nom', j'aurais rien dit. Mais là … » Il soupira : « Dis-moi qui tu es, même si tu l'ignores. » Le petit grogna, froissé : « Puisque je vous dit que je ne sais pas. » « Demain soir, tu as intérêt à savoir. Sinon, je ne te laisse pas dans ma grange. » Il s'inclina au-dessus de lui. « C'est compris ? » Puis il s'éloigna, sauta sur un tas de foin et regagna sa poutre plongée dans l'obscurité. « 'Gaffe, je t'observe. » * * * Le ciel était bleu, les oiseaux chantaient haut dans les arbres. C'était un temps superbe pour se fritter, mais là n'est pas la question. La pluie avait cessée, laissant un simple sol détrempé. Le chaton s'était levé assez tôt, mine de rien, et avait commencé à errer dans les environs. A un moment, lassé de cette errance inutile, il se coucha dans un coin. « Dis-moi qui tu es même si tu l'ignores. » C'était d'une philosophie … Compliquée. Dire qui l'on était sans même le savoir. Cela voulait donc dire qu'il fallait qu'il s'invente sa propre destinée, non ? Il cala la sa tête contre ses pattes, fatigué. Hm ... Le doux tic-tac retentissait à ses oreilles, la montre à gousset indiquait les treize heures et quelques poussières. Il soupira. Trouver qui il était … C'était dur, surtout quand on n'avait pas d'idées. Allons, allons … Concentre-toi un peu, veux-tu ? Tu étais le « petit chat » d'une jeune deux-pattes, non ? Ne t'a-t-elle jamais racontée d'histoire ? Il ferma les yeux, tenant de se remémorer sa « douce » enfance. Si. Il y en avait bien une, oui. Elle lui avait bien parlé, oui. Mais il n'avait pas vraiment compris, bien que deux mots lui étaient revenu assez souvent : Faust et Méphistophélès. Après, le reste n'était qu'une brume d'incompréhension totale. Le deuxième truc … Qui lui semblait être un nom, lui plaisait assez, mais il n'inspirait pas la confiance. C'était justement ce qu'il cherchait. Mais qui était ce « Méphisto-machin » ? Ça, il ne le savait pas … Bah. Il s'en foutait, après tout. A cet âge-là, il était déjà froid et énervant, donc bon. Il ne se cassait pas vraiment la tête. Un vieux fou lui avait juste dit : « Trouve-toi un nom et une existence », après tout. Pourquoi s'embêter à chercher des explications, hm ? Il bailla à s'en décrocher la mâchoire. Bien. Il était Méphistophélès. * * * « Ah. Tu es là, toi ?é « Ma présence n'est pas appréciée ? » se hérissa Méphisto, mais il changea vite de sujet, sur le pas de la porte. « J'ai trouvé. Je suis Méphistophélès. » « Méphisto-quoi ? Tu n'aurais pas pu trouver un truc un peu moins compliqué ? C'était trop te demander ? » « Méphistophélès. Mais Méphisto ira beaucoup plus vite. » Le vieux matou se coucha sur son tas de foin. « Méphisto. Je vois. Et la vie que tu souhaites avoir ? » « Une vie de liberté, sans contraintes, sans rien pour m'entraver. » « Bien, bien. Tu es donc un Solitaire dès maintenant, si j'ai bien compris. Tu souhaites rester ici ? » « Pendant un temps, oui. Mais après, je partirai dans les terres environnantes. » « Comme tu veux. Mais sois prévenu : je te rirai au nez si jamais je vois ton cadavre près de la route. » « Ca n'arrivera pas. » « Bien, bien, bien. Donc pour commencer, tu as intérêt à apprendre à chasser, je ne veux pas avoir un chaton à charge. » Il sauta de son perchoir. « Ensuite, et seulement ensuite, tu pourras rester ici autant de temps que tu veux. » Le tic-tac de la montre à gousset se tut. « Je suis l'esprit qui toujours nie, et c'est avec justice, car rien n'existe en ce monde qui ne mérite d'être détruit. » La suite est claire, non ? Devenu Solitaire, le jeune Méphisto se fichait totalement des autres Clans, donc allait et venait comme bon lui semblait là où il voulait. N'en déplaise aux « Indigènes ».




PHYSIC



Description Physique : « Douceur de l'Ange, tentation du Diable. » Méphistophélès est un félin au corps gracieux, entièrement recouvert d'une fourrure d'une noirceur incomparable, digne de la plus sombre nuit qu'il puisse un jour avoir lieu en terre de Cerfblanc. Nullement étoilé de quelques tâches de fourrure blanche, Méphisto se montre être l'incarnation même de la voûte céleste dans la pénombre la plus totale. Que le ciel est immense ... Le jeune est grand, juché sur ses pattes qui ont connues les ardeurs de la vie solitaire et qui sont devenues ferme et musculeuses ; arborant fièrement des griffes acérées et redoutables, bien sûr rétractables sous des coussinets d'une douce couleur de jais presque aussi poignante que le reste de sa morphologie. La légèreté de ses mouvements ne laisse que peu d’empreintes dans le sol, et si traces il y a, par leur profondeur, l'on peut deviner un individu peu encombré par son poids. La rudesse de la vie lui a appris à se limiter. Sa physionomie montre parfaitement qu'il est en manque de nourriture constant, mais son estomac, devenu trop petit pour accepter ou espérer le moindre repas, ne gronde pas sa frustration. Que le ciel est beau ... La douceur du pelage de Méphistophélès est digne de celle des femelles. Il y passe du temps dessus, faisant volontiers des pauses pour se lisser les poils d'un coup de langue rappeuse et fendue en son bout, unique vestige d'un combat avec un vieux matou peu sympathique et dont le nom lui a échappé depuis bien longtemps. Le ciel entend tout ... De fines oreilles triangulaires trônant sur son crâne, nullement abîmées. C'est sa fierté : faire attention à ses organes auditifs est dans ses priorités, étrangement, ce qui pourrait lui attirer quelques moqueries. C'est pourquoi vous ne trouverez ni cicatrices ni plaies délicatement ourlées ou recouvertes d'une sorte de duvet pelucheux. Ces précieux triangles ne sont pas déchirés non-plus. Le ciel voit tout ... Il voit tout d'un regard aux iris bleus glace, clairs, cristallins, qui saisissent tout ce qui l'entoure. Enfin, voyons, tout le monde sait que les félins ont une vue incroyable par rapport aux autres animaux de cette planète … Le ciel est paré ... Paré d'étoiles, normalement. Mais chez Méphistophélès, il est plutôt paré d'une chaînette solide retenant une petite et vieille montre à gousset arrêtée depuis quelques années déjà. L'on n'entend plus aucun « tic-tac » qui sort du délicat boîtier d'argent. L'on entend plus que le silence. Le vide. Le néant. Le chaos, peut-être. La métaphore du temps est assimilé à la vie. Une montre qui s'arrête signifie clairement une perte de contrôle des précieuses heures, minutes et secondes. Ici, les trois aiguilles sont fixées sur trois nombres certains : « cinq heures cinquante minutes et cinquante-sept secondes ». Cette donnée vous est familière ? Le tic-tac d'une horloge est l'allure de son balancier, dit-on toujours. Le silence de cette montre est le tempo de la queue de Méphistophélès, qui battra une mesure qu'il sera le seul à entendre, et ce en toute circonstance. Nous n'avons pas là un Casanova, mais bel et bien un jeune individu qui sait se faire désirer auprès de la gente féminine, tout simplement. Pas réellement un Don Juan non-plus. Vous verrez bien.




YOU

Votre PUF : Elvenstein.

Votre Âge : A la pêche aux moules, moules, moules. (A)

Penses-tu être actif sur LW ? : Oh que oui.

Comment as-tu connu LW ? Est-ce un deuxième/triple compte ?: Tch. Non. Je connais LW depuis biiiien longtemps.

Kit utilisé : Hiver en Avatar, signa en cours.

As-tu lu toute la partie Règlement & Histoire ? : ... Vous l'avez refaite, à ce que je vois. Lue.

Alors donne-moi les codes cachés - héhéhé - : Oui Madame ♫

Que penses-tu de LW ? Un conseil pour le forum ? : Franchement ? Ça fait du bien d'être de retour à la " maison ". J'aimais, j'aime et j'aimerai toujours LW pour les excellents moments qu'il m'a amené, ainsi qu'une toute première expérience RP qu'il m'a fournit.

Autre Chose : Vous n'aime. (L)

C'est Devil - ou Crisis, si vous préférez -. Ça te parle ? Parce que moi, j'sais très bien qui tu es. (8
Sinon, merci.

Re-Welc' alors :33
J'ai validé les codes, il te manque encore l'histoire et le kit, me je pense que tu le sais déjà x) Je te donne pour date le 14 août. Enjoy ♫

Bienvenue. (:

Gaman a écrit:

Elvenstein... j'ai déjà vu ce pseudo sur W.A. °O°'

Coco, MP.
Gaman, c'pas possible, sur WA, j'ai " Rätsel " comme pseudo. Tu dois confondre - une nouvelle fois °° - ... Et tu sais que j'aime toujours autant ton lapsus d'hier soir ?

Sinon, merci à vous. x)

Je maintiens, Gaman : tu dois confondre. (8
Bref. L'Histoire arrive dans peu de temps ~

Merci à tous, en passant. (A)

Re-bienvenue ma poule. 8D ♥

Wave Merci mon poulpe. ♥ 8D
Moby Ma soeur va très bien, je lui transmettrai tes ... Euh ... Salutations, nous allons dire. (8 Ça fait aussi autant plaisir de voir que tu vas bien. ♥
Fly Mercurri. ♥

... J'ai connu pire. 8D

& Merci, Plume de Fauve. :3

Bon. Je suis un peu en retard. Mais c'est terminé.
La signature viendra un peu plus tard. ~