Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
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Et si je re-tentais le diable? O______^ => Perle => Guerrière
Invité
Invité
Lun 26 Sep 2011 - 19:12
Demande de
Nuage d'Océan


  • Pseudo de ton double & triple compte : Rubis
  • Puf : Océany' le plus souvent
  • Âge : 14 ans
  • Depuis combien de temps sur le forum ? :
1 an et 8 mois environ - il me semble -

* Juste pour info: je repasse mon E.É.F pour m'améliorer ^^
Anonymous
Invité
Invité
Lun 26 Sep 2011 - 19:25
Je vais te le donner (:
Anonymous
Invité
Invité
Lun 26 Sep 2011 - 19:30
Prends ton temps ^^
Anonymous
Invité
Invité
Lun 26 Sep 2011 - 19:34
Ton thème sera :

« Et si j’erre en ceci, si mon tort est prouvé, Je n’ai jamais écris, nul n’a jamais aimé »
( Shakespeare )

Consignes :

- Ecrire a la première personne du singulier et au passé
- Incarner un humain de sexe et d'age libre
- Montrer a travers ton texte à quoi te fait penser les paroles ci-dessus
- Un fin heureuse

Conseils :

Il n'y a pas beaucoup de consignes car c'est un thème vague et justement plutôt dur. En fait tu dois réaliser une histoire sur la phrase « Et si j’erre en ceci, si mon tort est prouvé, Je n’ai jamais écris, nul n’a jamais aimé »tu n'es pas obligée de faire apparaître cette phrase dans ton texte. Aussi tu l'interprète comme tu veux et à travers ce que tu veux. Il faut juste qu'en lisant le texte on trouve ton interpretation de la phrase et le sens que tu lui donnes.

Bonne chance tu as jusqu'au 17 Octobreje suis ouvertes a n'importe quelle question =)
Anonymous
Invité
Invité
Lun 26 Sep 2011 - 19:47
Wolà!
Ça va pas être de la tarte (:
Et pour une fois que je comprend tout xD
Bon, je m'y met direct (;
Anonymous
Invité
Invité
Mar 25 Oct 2011 - 15:25
UP !
Anonymous
Invité
Invité
Mar 25 Oct 2011 - 18:35

Pour commencer, excusez moi du retard - panne d'internet la 17, comme par hasard U.u-
Ensuite, j'ai essayer de faire une belle mise en page. Mais, bon, le graphisme et moi...è.é
Résultat des courses?


  • Pas de musique - ça fait buguer mon ordi... Vive la version préhistorique!
  • Une mise en page banale
  • Une histoire tout aussi banale surement truffée de fautes TT

Bref, voilà mon interprétation de ces vers -une interprétation surement fausse d'ailleurs x)-, et bonne chance au correcteur D8


Sans toi...


Mieux vaut être détesté pour ce qu'on est, qu'aimé pour ce qu'on est pas




Je posai mes clés sur la plan de travail et passai une main lasse dans
mes cheveux. La journée de travail que j'avais eu avait été épuisante,
et le grognement furieux de mon estomac me rappela que j'étais affamé.
Je me tournais vers ma femme qui cuisinais, le visage nimbé de soleil.
Sa robe blanche, ceint au ventre d'un ruban lilas, voletait à chacun de
ses gestes. Une vague d'amour monta en moi, et je me rapprochais d'elle
pour enlacée sa taille délicate. Ma main caressa le tissu léger de sa
tunique estivale, mon nez se nicha dans son cou soyeux, et la fatigue
que j'éprouvais encore quelques instants plus tôt s'évapora dans la
chaleur des ces premiers jours d'été.
Mes lèvres s'animèrent. Tu sens bon disaient elles tout bas.
Il me semblait qu'il émanait de sa peau l'odeur du pain d'épices... Une simple illusion?
Un papillon entra par la fenêtre, petit être éphémère, dont la vie aussi
courte soit elle, était auréolée de couleurs chatoyantes.
La baie diffusait les rayons fauves du soleil, et un oiseaux prit d'euphorie poussa une trille un peu trop joyeuse.
Le ciel avait cette belle couleur entre le bleu cobalt et le bleu des myosotis.
En cet instant, le bonheur eut pour la première fois une signification.
Mais alors, comme le papillon, le bonheur est fragile, et il fut vite brisé par la sonnerie du téléphone.
Claire me repoussa gentiment,le soleil déclina, assombrit par un nuage
isolé, le papillon voleta une dernière fois dans la cuisine, puis sortit
à la dérobée.
Je poussai, tout bas, un soupir d'accablement, allai décrocher
l'appareil à la sonnerie lancinante et répondis avec sécheresse, déçu
par la rupture de la sérénité.

« Allo?!

- Loïc? »

Je passai de la colère à la surprise.

« Papa?

- Loïc, ta mère vient de mourir. »


*


Cela faisait longtemps que mon "ascendant" et moi ne nous parlions plus. Non
pas que je ne veuille pas lui adresser la parole, mais plutôt que lui le
refusât.
L'affaire remontait à quelques années en arrière, au moment où j'avais
choisis ma voie. Je me souvenais encore de sa colère lorsque je lui
avait avoué que je préférais être professeur qu'avocat, comme lui le
rêvait.
Mais si son exaspération m'avait attristé, c'est surtout le dégoût que
j'avais lu au fond de ses prunelles mordorées qui m'avait marqué.
Je vouais à mon père une véritable adoration, et si aujourd'hui c'était
encore le cas, elle était enlaidie par le mépris dont il avait fait
preuve ce jour-là.
J'étais là, amoureux épris de son pire ennemi, écœurement lié à l'affection.
Le décès de ma mère l'avait poussé à rompre le pacte silencieux qu'il avait instauré entre nous.
Restait à savoir qui de lui ou moi allait continuer à briser les chaînes du silence.



**



Nous étions tous là, réunis. Tâches noirs dans le ciel délavé.
Et le pâle soleil veillait sur nous, veillait sur nos larmes, veillait,
coincé dans le firmament au milieu des nuages. Amis, connaissances,
famille, chaque personne qui avait effleuré la vie de ma mère se tenait
devant la tombe, la mine respectueuse et le nez bas.
Le prêtre psalmodiait à voix haute, et faisait de grands gestes à côté de mon père.
Mon père. Mis à part ses nouveaux cheveux gris et les rides qui
creusaient son visage fatigué, il n'avait pas changé. Toujours cet air
supérieur qui vous donnait l'impression d'être une larve.
Le chœur se mit à chanter et doucement le tombeau de bois descendit,
emportant le corps de ma mère dans les tréfonds de la terre endormie.
Une larme solitaire roula sur la joue de mon géniteur. Il la cueillit du bout des doigts avec dignité.
Je ne pris pas cette peine pour cacher les sanglots lourds qui sortaient de ma poitrine.
Pour la première fois depuis des années, je redevins un gamin. Un gamin emporté dans la tornade des tourments de la vie.


***


Trois mois étaient passés. Suite à une broutille avec Claire, j'étais sorti faire un tour en ville.
L'air était lourd, et d'épais nuages noirs annonçaient la venue
imminente de l'orage. Les gens se pressaient dans les rues; les hommes
tenaient leurs journaux sous le bras, les femmes faisaient claquer leurs
talons - qui rivalisaient de hauteur - sur le macadam.
Je redonnais des cours depuis deux semaines et déjà les vacances paraissaient loin.
Au coin de la rue, une jeune fille remonta élégamment sa jupe
inexistante en secouant ses longs cheveux noirs, cramés par
l'utilisation massive du lisseur. Non loin, un homme en costume
téléphonait en cherchant visiblement quelqu'un. Un vieillard le bouscula
par inadvertance et fut aussitôt engloutit par un flot d'injures toutes
pires les unes que les autres.
Une femme trop maquillée les regardait perchée à son balcon, une cigarette scotchée aux lèvres.
Je dévisageais le monde, et les humains qui le peuplaient, et les humains qui y valsaient comme autant de danseurs maladroits.
Et alors, j'eus une pensée bien étrange. Une pensée absurde et tentante à la fois. Une pensée que je risquais de regretter.


****


Mais qu'est-ce que j'avais fait encore?
Pourquoi étais-je venu?
J'avais l'air ridicule, là, debout devant sa porte. Ma main flottait à
mi-chemin de la sonnette. Je tremblais un peu; plus de peur que de
froid.
Et si j'apercevais la haine dans ses yeux?
Avant que je n'imagine quoi que ce soit, ma main finit le trajet et appuya sur le bouton fatal.
Trois notes retentirent doucement, douce mélodie avant la tempête.
Le bruit des pas résonna dans ma tête mêlé au son affolé de mon cœur.
Alors, la porte s'ouvrit. Alors il se tint devant moi, droit comme un
"I". Alors son regard glissa sur moi, comme la pluie sur les toits. Il
m'ignorait. J'étais là, mais absent.
L'orage gronda, et l'écho de ma propre tristesse répondit au fond de moi, tandis que je faisais demi-tour.
Quelque chose me tomba sur l'épaule. Par réflexe, je me retournais, et
soudain, je me retrouvai plaqué contre un torse soulevé de sanglots.

« Loïc, Loïc, ne me laisse pas... Ne laisse pas le noir revenir, fais le fuir, s'il te plaît! »

La voix de mon père n'était pas reconnaissable sous les larmes.
Lentement, mes bras entourèrent mon père. Je le serrais contre moi.
Quelle étrange sensation... J'avais l'impression de revivre, de
retrouver une partie de moi.

« Papa! Papa, je ne te laisserais plus, plus jamais! »

La pluie se mit à tomber.
Je ne cherchai pas à me mettre à l'abri. Lui non plus.

« Excuse moi, pour tout. Je suis minable. Ta mère est partie, et elle
voulait nous voir réconciliés. Je l'ai déçue. Ça fait des jours que je
vis dans les ténèbres. Elles recouvrent tout, les ténèbres. Je ne mange
presque plus, je vis comme un fantôme. Elle n'est plus là et tout est si
silencieux! J'erre dans la maison, seul et...

- Tais-toi! Maintenant que je suis là, tout ira mieux. Bien sûr, je t'en
veux encore... Je ne peux pas effacer toutes ses années d'un coup,
comme ça. Mais on y arrivera. Un amour n'est jamais complètement raté.
Recommençons. »

Le froid de l'eau transperçait ma veste, et je tremblais, debout sur le
perron, enlaçant mon père aussi trempé que moi. Je relevais la tête, et
nos regards se croisèrent. Ses prunelles mordorées semblaient demander
pardon, pardon pour le mal, pardon pour ma douleur, pardon pour toi,
pardon pour tout...
Un sourire naquit sur mon visage, pardonnant les erreurs de mon père. J'avais fait les miennes aussi.
Un coup de tonnerre résonna dans le firmament où il régnait pour le
moment, et le mot «merci» s'échappa des lèvres de mon papa et s'envola
dans le ciel sombre.
Anonymous
Invité
Invité
Mar 25 Oct 2011 - 18:46
Je déplace (;
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 27 Oct 2011 - 11:30
Je me charge de te noter, je fait ça au plus vite =)
Anonymous
Invité
Invité
Lun 31 Oct 2011 - 14:20
Nota de Nuage Océan


Mise en page :



Bon... je suis assez déçu sur ce point, et je constate que ce n’est vraiment pas ton point fort, mais on a tous des points de faiblesses. Tout d’abord c’est vrai que t’a mise en page est simpliste, en plus je n’aime pas trop l’écriture blanche. Elle ne rend pas très bien sur fond jaune, et à vrai dire ça me donne mal aux yeux. Le texte est centré, il aurait été mieux justifié, car je n’aime pas trop le centrage ce n’est pas très esthétique. Après je comprends que tu as du mal à grapher mais tu peux toujours demander à des connaissances ou tout simplement dans un atelier Wink. Le titre est bien placé, quoi qu’il soit plus gros il rendrait mieux. Le sous-titre est propre, souligné, nickel chrome. Super pour les lettrines, elles se démarquent bien du texte. Les dialogues sont d’une couleur différente et en gras donc super ! C’est vraiment dommage pour la musique, mais c’est vrai que tu n’y es pour rien donc je ne t’enlèverai pas de point sur la musique. Les petites étoiles séparent bien les paragraphes. Tu aurais pu mettre quelques images, même non grapher, cela agrémente le texte, ce n'est que mon point de vue, ce n'est pas quelque chose qui enlève des points mais un point bonus diront-nous. C’est vrai qu’on peut mieux imaginer les scènes, comme dans un livre illustré. Tu aurais pu aussi essayer de changer la police, mais ce n’est pas non plus très important. Tu as aussi changé les textures (gras, normal...), c’est très bien. Pour mieux t'aider à la mise en page je vais te donner quelques exemples comme:

.Un titre simple en noir ou en image que tu peux demander en atelier.
. Un texte justifié, écris en noir (gras ou pas gras comme tu veux) et si tu veux tu peux rajouter ce précieux code :
Code:
<blockquote>

Ces conseils te permettront de faire une mise en page classique, mais après tu peux très bien rajouter des images ou de la musique même si j'ai vu que ton ordi bug ^^.


-> Conclusion : Une mise en page très simpliste, le texte en blanc centré ne met pas du tout en valeur le texte.

Orthographe et Conjugaison



Déjà quand tu dis : « Une histoire tout aussi banale surement truffée de fautes TT » ce n’est pas très optimiste, en plus de ça quand on présente un texte la moindre des choses c’est d’avoir vérifié un minimum l’orthographe. De plus tu le sais que tu peux faire mieux, tes fautes sont bêtes, et je suis même sûre qu’il y a des fautes de frappes. Ces fautes peuvent vraiment être évité et on a l’impression que tu t’en fiches complètement. A ton dernier EEF tu as fait quelque chose de bien, et normalement quand on fait un EEF pareil, au prochain on a envie de faire encore mieux, mais là je ne vois pas trop ta volonté, ou alors je n’y comprends rien. Bah je ne vais pas te corriger toutes tes fautes, parce que ça serait un peu long quand même, donc je vais prendre les erreurs que tu fais le plus de fois :
Alors déjà les accords, un truc assez simple est basique, il suffit juste de reprendre le sujet, ce n’est pas sorcier ; donc voici quelques-unes de tes fautes d’accords :


« Je me tournais vers ma femme qui cuisinais, le visage nimbé de soleil » -> cuisinait avec un T car c’est la femme qui cuisine.

«Claire me repoussa gentiment, le soleil déclina, assombrit par un nuage isolé, le papillon voleta une dernière fois dans la cuisine, puis sortit à la dérobée » -> dérober avec ER car il est suivi d’une préposition (à).

« La baie diffusait les rayons fauves du soleil et un oiseaux prit d'euphorie poussa une trille un peu trop joyeuse. » -> Oiseaux bah sans X tu ne parle que d’UN seul oiseau.

« L'affaire remontait à quelques années en arrière, au moment où j’avais choisis ma voie. » -> choisi sans I car on n’accorde pas avec l’auxiliaire avoir, à part s'il y a un accord avec un objet direct.

Fautes de frappes :


« Sa robe blanche, ceint au ventre d'un ruban lilas, voletait à chacun de ses gestes. Une vague d'amour monta en moi, et je me rapprochais d'elle pour enlacée sa taille délicate. Ma main caressa le tissu léger de sa tunique estivale, mon nez se nicha dans son cou soyeux, et la fatigue que j'éprouvais encore quelques instants plus tôt s'évapora dans la chaleur des ces premiers jours d'été. » -> des ces bah ça ne va pas on dit DE ces.

« Je posai mes clés sur la plan de travail et passai une main lasse dans mes cheveux. » -> LE plan car plan est masculin.


-> Conclusion : Franchement c’est légèrement décevant toutes tes fautes peuvent s’éliminer en trois relectures (fautes d’accords, de frappes ...). C’est quelque chose de simple mais qui peut vite faire descendre ton niveau si tu ne le fais pas.

Qualité d’expression et syntaxe :




Franchement bravo sur ce point-là ! Tu as un vocabulaire très développé, ce qui agrémente bien ton texte. Tu as des phrases poétiques, j’aime bien le moment où tu parle du papillon. Le titre est joli, et le sous-titre aussi, il correspond bien au texte. La ponctuation est bien placée, ça se voit que tu as lu à voie haute, enfin j’espère car c’est indispensable. Tes phrases sont n’y trop longues, n’y trop courtes, elles sont parfaites. Ton vocabulaire est varié, mais sur certains points tu aurais peut-être approfondir et là, se serait parfait. Il n’y a presque aucune répétition, à part quelques-unes qui donne un style. Tu aurais peut-être plus décrire les sentiments, approfondir comme je t’ai dis plus haut. Approfondir ton vocabulaire te servirait à plus faire vivre ton texte au lecteur, qu’il puisse ressentir, car tu n'as pas beaucoup de figures de styles à part au moment du papillon. (métaphore, amplification, comparaisons...). Voici quelques exemples:

"la vie est si courte, éphémère. Je ne représente q'une simple poussière dans ce monde si brute, pourquoi ne pas en profiter ?"

Quand tu parle à la fin de la rencontre avec ton père tu peux exagérer sur ces larmes, exemple:
"Des larmes, si précieuse, comme le plus beau bijoux au monde. Elles effleuraient son visage brut."


-> Conclusion : Un vocabulaire bien utilisé qui aurait pu être plus approfondis dans les émotions et les sentiments.

Respect du Thème & Cohérence du texte :




Tu as bien respecté ton thème et je n’ai presque rien à dire. Franchement ton interprétation est bien faite, la fin est heureuse comme voulu. Même si l’histoire est quand même un peu banale, on s’y attend un peu. Après ce thème était vague donc chacun en fait son interprétation mais je l’aurai peut-être pas vu comme ça. Les consignes sont toutes respectées, rien à dire là-dessus.

Pour le rang...


Petite Guerrière !

C’est vrai que ton texte est bien mais si on devait interpréter ton niveau en une phrase elle serait : « Tu as la tête mais pas le corps ! » C’est vrai ton texte est bien avec un bon vocabulaire mais l’apparence de la mise en page et les fautes d’orthographe, gâche un peu tout sans être trop sévère. C’est dommage de ne pas avoir voulu viser plus haut après ton ancien EEF, vraiment dommage. Aussi approfondi un peu ton texte et il serait splendide, voilà tout Wink.
Tu peux donc repasser ton EEF dans un mois à partir d’aujourd’hui ! Et surtout pense à viser un peu plus haut la prochaine fois ! Bravo !
Anonymous
Invité
Invité
Mer 7 Déc 2011 - 22:32
    Euh... Est-ce que Nuage d'Océan a consulté sa notation?
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 8 Déc 2011 - 16:40
Oui Rain' on en a parler sur la CB
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 8 Déc 2011 - 22:42
    Ok. Alors je lock et déplace.
Anonymous
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