Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
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La nuit tout les chats sont gris with Patte de Granit
Invité
Invité
Mer 31 Aoû 2011 - 11:22

La nuit, toute chose prend sa forme et son vrai aspect. De même qu'on ne distingue que la nuit les étoiles du ciel, on aperçoit alors sur la terre bien des choses qu'on ne voit pas le jour.
Selma Lagerlof





Le vent. Une sensation étrange, et pourtant si familière. Une musique sans notes, sans mélodie, mais plein de rythmes. Un rythme sourd et lent qui s’écrasait sur un petit corps beige. Les bourrasques traversaient le temps en emportant mes souvenirs, mes rêves, mes cauchemars. J’étais là, en plein milieux, en plein milieux du cœur de la tempête. Elle me faisait mal, mal jusqu’au plus profond de moi-même, dans les entrailles de mon corps. Elle soufflait entre mes poils, elle les ébouriffaient, elle les transformaient. J’attendais, sur le moment on aurait put me prendre pour un rocher, un tout petit rocher doux. La pluie commençait à tomber, à glisser sur mon corps en transe. En transe de cette musique douce, la mélodie avait rejoint le rythme pour ne former qu’un, une seule musique douce. Le bruit des gouttes sur la surface des petites flaques sortait un son innée, qu’aucun grand musiciens n’aurait put reproduire. Mon corps tremblait de froid, je ne savais pas si mon corps était encore vivant en tout cas ma pensée l’était. Étais-je en train de rejoindre le clan des Etoiles ? Je ne le savais pas de toute façon j’étais bien ici. Je l’attendais, je pourrais l’attendre des heures, nos retrouvailles feront toujours oublier l’attente. Les retrouvailles ont un pouvoir magique, on les croirait venue des contes des anciens, des histoires si nobles, magiques, qui font rêver et oublier le passé.


Soudain un corps chaud se posa sur moi. C’est bon, je crois que j’ai rejoins le clan des Etoiles. Je fermais mais yeux et les rouvris. Le temps d’un instant la clairière qui s’étendait devant moi était devenu verte et pleine de lumière, remplie de chaleur et de couleurs vives. Mais la réalité revenait vite. Le ciel gris était présent devant mes yeux, laissant à peine transparaître la magnifique lumière venu d’ailleurs, une lumière si lointaine et pourtant si proche de moi. Le corps chaud se déplaça et arriva devant mes yeux. Je le reconnue, ce chat était Patte de Granit, un chat qui comptait beaucoup pour moi, le seul mâle que je connaissais si proche. Il me prononçait des mots que je ne comprenais pas, des phrases sans paroles, vides. Il partit je le suivis loin, il aurait pu m’emmener loin, je l’aurais suivit, j’aurais put passer tout les territoires, je ne m’en serais pas rendus compte, avec lui je me sentais en sécurité. Ce jour là je le voyais autrement, je le voyais comme je ne l’avais jamais vue.


On arrivait devant une grande maison en verre, je crois qu’on l’appelait la serre. C’était magnifique, on y était à l’abri en se sentant dehors. Le vent sifflait à travers les vitres carré qui formait cette maison de glace. Quelques gouttes passait à travers, elle tombait en formant de petite flaques au sol, un sol froid formé de béton. Il était là devant moi, il me regardait de ces beaux yeux verts. D’habitudes je le voyais toujours avec ma sœur mais la nous étions deux, nous étions deux en ne formant qu’un, voilà ce que nous étions. Je ne pensais qu’a lui, je voulais le voir, le sentir, me blottir dans sa douce fourrure. Je ne pouvais sortir aucun mot, je le regardais. Je le regardais de mes yeux bleus azur, des yeux uniques apparemment, des yeux de cristal.


La lune était au dessus de nos têtes, elle était plaine et laiteuse, remplies de troues comme mon cœur d’enfant. Lui était là en face de moi, il était le seul à pouvoir refermé ses cratères de mon passé. La lune était elle aussi magique, elle avait un pouvoir, elle fabriqué une ambiance, différente du soleil, une ambiance douce, froide et mystique alors que le soleil dispersé une ambiance chaude, agressive et pleine de lueur. Une différence qui pouvait aussi changeait nos émotions, comme là, c’était la première fois que je le voyais la nuit. Et le pouvoir de la lune était d’aimanté, d’attirer, je pense que c’était ça, quelques chose se passait mais je ne comprenais rien, vraiment rien. Il me regardait et moi je restais la bête sans rien faire, si ! Je pensais mais lui ne pouvait pas lire dans mes pensées, il fallait donc que je parle.
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 1 Sep 2011 - 12:22
La nuit tout les chats sont gris

"Une histoire d’amour, une histoire d’attente,
L’histoire d’un temps figé sous une pluie battante.
Un temps où les anges rêvent, meurent,
Où le silence souverain se remplit de battements de cœur.
Où l’à venir est éternel.
Où après la pluie…
L’oiseau s’envole."
de moi

Cette nuit là, sous cette pluie, je marchais. Je ne sais pas trop où j'allais mais je savais que je rejoignais celle que j'aime depuis longtemps. Je ne peut pas l'oublié, je ne peut me passer d'elle.
Je marchais, plus je me rapprochais d'elle plus je me sentais fort, fort a l'intérieur. Une force impossible a décrire. Je ferrais n'importe quoi pour elle. Je marchait encore et encore la pluie tombait de plus en plus fort. Il était parfois impossible d'éviter les flaques d'eau qui se formait, mais je continuais pour elle, pour celle que j'aime.

Quand je sentis enfin son odeur le joie m'envahis je courrut jusqu'à elle. Elle était trampé mais toujours aussi belle je lui dit de me suivre pour se mettre a l'abris. Je n'était pas sur qu'elle me compronnais avec la pluie qui tombai, mais je savais qu'elle allais me suivre.

Je savais que pas loin d'ici il y avait cette maison blanche transparente et que l'on pouvait si habriter. J'en prennait la direction, je me retournai elle était toujours là a me suivre. Nous étions ensemble, nous marchions ensemble, que de plus a demander apart le beau temps!

J'avais enfin la maison en vue. Nous avons continuer et nous sommes rentrer a l'intérieur par un petit trou dans une fenêtre, je crois que sa s'appelle comme sa!

Je me suis installer au millieu de la végétation tout en cherchant a savoir si il n'y avait personne. Coeur de Sable semit devant moi et je la regardais dans le plus profond de ses yeux je voyais la joie mais quelque chose d'autre, mais je ne sais pas trop quoi. Je la regardais. Je voyais qu'elle voulait me parler mais aucun son ne sortais de sa bouche. J'entendais que la pluie tombé sur le toît transparent de la maison de glace.
Anonymous
Invité
Invité
Ven 2 Sep 2011 - 12:20
Magical night



Les mots ne sortaient pas, j'aurais préférer les écrire mais cela était impossible, alors je me lança:

- Patte de Granit, je...je ne sais pas ce qui se passe mais je me sens bien avec toi.

Voilà mes mots étaient sortis, je me sentais mieux, beaucoup mieux. Mon ventre nouait se desserra, mes pattes crisper s'allongèrent. Pendant ce temps qui m'était parut long, très long, les minutes étaient devenue des heures mais pas des heures d'attente interminable non, des heures de bonheurs, oui c'est ça des heures de bonheur.

La tempête s'était calmé, la musique rapide et entraînante était devenue longue et douce comme les berceuses que l'on compte aux enfants. La musique ne faisait plus battre mon cœur à une vitesse folle et entraînante mais elles faisaient battre nos cœurs. Je ne sais pas pourquoi mais il ne m'avait rien dit, rien, mais je connaissais la réponse en mon fort intérieur, je la connaissais comme si nous avions toujours ressentie ces sentiments cachés au fin fond de nous mais sans les sortir, comme si nous pouvions lire à l'intérieur de nos pensée. Maintenant le temps passait à notre vitesse. Je me rapprochais de lui son corps était froid, sans doute comme le miens, mais je ne le ressentais pas, je ne ressentais pas les léger coup de vent traverser mon corps en total léthargie.

Je m'avançais vers lui les petits bouts de verre dansaient sous mes coussinets, il ne tranchait pas, il ne m'agresser pas, non il me caressait mes pattes. Comme si tout les bouts de verre représentait tout les cœurs brisés et qu'ils renaissaient sous nos yeux. Je les voyait dans mon esprit se levaient pour rejoindre les vitres, pour se reconstituer. Mais il fallait revenir à la réalité, je cligna des yeux et je me crus dans un autre monde, un monde remplie de cœur vide de sens, un monde remplie d'hypocrisie. Je ne voulais pas le rejoindre mais je crois que je n'avais pas le choix.

Le jour commençait à se lever, comment pouvait-il être possible, j'y avait donc passait la nuit, une nuit magique, une nuit avec l'être que j'aimais. Le devoir m'appeler, le devoir de rejoindre mon clan m'appeler. La chasse, les patrouilles, un bonheur. Mais lui, s'était un solitaire, aucun devoir ne l'appelait, il aurait bien voulut rester avec moi, je le lisait dans ces yeux, dans ces beaux yeux vert émeraude.
Anonymous
Invité
Invité
Dim 4 Sep 2011 - 10:34
"C'est en regardant le ciel
Que j'ai compris que
Je n'était rien
Et c'est en te regardant
Que j'ai compris
Que tu était tous."

Je la regardais, elle me regardais. nous étions perdus dans un monde où parler ne sert a rien, nous étions dans nos pensée mais ensemble. La pluie tombai encore et je n'entendais que sa, elle tombai dans un rythme régulier comme un battement de coeur, j'écoutais. Puis j'ai entendue :

- Patte de Granit, je...je ne sais pas ce qui se passe mais je me sens bien avec toi.

Ses mots m'on fait du bien, très peut de gens me parlais comme sa, c'était peut être même la première fois. La première fois que qelqu'un me dit quelque chose de doux, d'apaisant. J'ai sentis mon coeur battre de plus en plus fort, il allais exploser. C'était a mon tour de parler mais je ne pouvait pas.

Je la regardais, elle me regardais. La pluie s'était arrêter la lune avait disparut, le jour allais se levé. J'avais froid, Coeur de Sable s'est rapproché de moi, elle s'est collé a moi. Quel bonheur sa chaleur me rechauffais et j'avais l'impression d'entendre son coeur battre avec le mien. Elle a regarder le toît transparent de la maison de glace, je l'ai regarder. Le jour allais se lever, elle devait retourner dans sont clan, elle était obligé.

J'aurais aimé la suivre resté pour toujours avec elle, mais s'était impossible. Moi solitaire je ne l'ai pas choisi, elle du clan de la rivière elle ne l'a pas choisi. Elle doit quitté son clan pour venir me voir, moi je doit faire quelque pas. Je suis libre, elle ne l'est pas. On n'a pas choisi comment on voulait vivre, mais on peut choisir avec qui on veut vivre pour toujours. Un jours notre secret sera dévoilé, je ne veux pas qu'elle soit banni pour aimé un autre chat qui n'est pas du clan. Mais la quitté est impossible.

Deux horizon différent, mais un point commun: notre amour éternel entre nous.

"J'ai souffert souvent,
je me suis trompé quelquefois,
mais j'ai aimé.
C'est moi qui ai vécu,
et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui."
Anonymous
Félin Légendaire
Élégance du Rat
Félin Légendaire
Dim 30 Oct 2011 - 2:35
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Élégance du Rat
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Invité
Dim 30 Oct 2011 - 21:13
[je vais voir avec Sably si elle veux continuer]
Anonymous
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