Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
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Tell me would you kill to save a life. || Esprit d'Enfant.
Invité
Invité
Mer 22 Juin 2011 - 15:59

Croyez - vous vraiment que c'est facile de vivre une vie seule, quand on voudrait ne se consacrer qu'aux jeux et au vin ? Nous n'avons jamais dis cela. Mais vous le pensiez. C'est faux. Nous n'avons pensé à rien sur le moment, sauf à fuir.Et c'est ce que nous avons fait. La menace était trop grande. Trop pesante... Trop... Etrange ? Mais oui, étrange, c'est ce mot là que vous avez à la bouche, Kashmir du Choeur des Anges du Sang. La fuite pour remédier à l'étrangeté. Et la solitude pour remédier à la peur. Mais, au final, dites moi, quoi pour répondre à la solitude ? Quoi pour répondre à la fuite ? La fuite contre la solitude ou la solitude contre là fuite ? Que choisiriez vous ? A votre avis ? A mon avis, vous êtes bien trop différente pour que je me risque à une réponse. Après tout, la réflexion commence par une question, à dit quelqu'un, un jour. Quelqu'un qui est... Peu m'importe. Pourquoi tenter de retenir un nom, puisque-ce que ce sera la phrase qui sera mise en avant ? Quand je dit que vous êtes différente. Exact, mon cher. Sauf que nous ne combattons pas cela. Nous acceptons et préservons. C'est bien pour ça que je vous respecte. Parce que vous conservez votre différence, que vous la cultivez, l'appréciez, parlez avec elle. Ne suis-je pas un pur produit de votre étrangeté ? Ne sursautez pas. Aux yeux des autres, vous n'êtes pas normale. Normaité, normalité... Que ce mot est bizarre en soit. Ces mots sont touristes dans notre tête. Qu'ils s'en aillent. Nous ne supportons que vous. Voilà ce qui fait que vous n'êtes pas comme n'importe qui. Vous parlez avec une "entité" que plus d'un aurait refoulé dans un coin de sa tête il y a longtemps ! Certes. Mais est-ce parce qu'un type de personne est majoritaire que les autres sont anormaux ?

...
Do you really want me dead or alive ?


Bien joué ! En effet. Et pourquoi ne serait-ce pas eux qui seraient étranges ? Le monde n'arrête pas de tourner pour autant. Et vous le savez. Et nous le savons. Pourquoi ne le saurions nous pas ? Que nous le voulions ou pas, la connaissance universelle se trouve dans chaque être... Même si chez certains, elle est plus enfouie que chez d'autres ? Arrêtez tout de suite avec cette image. Ils peuvent détruire ce qu'ils veulent si cela les enchante, tant que je ne suis pas leur cible. Toujours aussi opportuniste, ma chère, n'est-ce pas ? Oui. C'est tout à votre honneur, évidemment. Vous êtes un être si spécial que j'ai plaisir à converser avec vous. Votre sentiment est réciproque. Je le sais. (silence...) Dites-moi, à votre avis, suis-je une partie de votre conscience ou bien une entité extérieure ? Soyez honnête. Vous m'êtes étranger. Nous n'avions jamais eu autant de plaisir à parler avec nous. Gagné, encore une fois. Je suis une de ces âmes qui vous a fait si peur ce fameux soir où vous avez fui votre Clan. Je regrette de vous avoir fait si peur, d'ailleurs. J'aurais pu vous ravir votre corps il y a longtemps, mais je raffole de faire connaissance avec des gens comme vous. Cette expédition était prévue depuis un bout de temps, et je vous observais déjà avant. Vous me plaisez. Eh bien. Nous nous suiciderions immédiatement si nous n'avions pas appris à vous connaitre et à vous respecter. Quel âge aviez vous quand vous êtes mort ? Ce serait du gâchis. C'est bien ce que j'apprécie chez vous, Kashmir, votre manque flagrant de gêne. Si agréable. Répondez et donnez-nous également votre nom. J'entrais dans ma deuxième année quand je me suis suicidée, bien trop mal à l'aise dans ce corps qui me donnait l'impression de n'être pas le mien. Je me nommais et me nomme toujours Souvenir Cruel. Vous êtes une femelle. Bingo. Jackpot. Madame repart avec le voyage autour du monde. Me je préférerais que vous me parliez comme si j'étais un mâle, s'il vous plaît. J'ai fini par éprouver des sentiments envers vous qui ne sont pas ceux d'une femelle? Peu nous importe. Ne sommes nous pas anormaux ? Ne répondez pas... Nous sentons votre sourire.

...
Tell me would you kill to prove you're right.


Puis-je chanter une chanson dans une langue que j'ai apprise il y a peu de temps ? J'adore cela. Vous me surprendrez toujours, Kashmir. Kashmir, l'Impératrice. Difference.
-No matter how many deaths that I die, I will never forget, no matter how many lives that I live, I will never regret...
Votre voix est magnifique. Je sais.
Kashmir la Bienveillante, l'Impératrice, Difference des Choeurs des Anges de Sang, je vous aime.
Moi aussi, Etoile tombée du Ciel qui voulut rester à terre. Souvenir Cruel.

Un craquement dans les branches...
Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Juin 2011 - 19:11
L'esprit d'un enfant,
Grandit pourtant.

*
* *

~Le beau temps est au rendez-vous aujourd'hui. Ses rayons filtrent entre les branches des arbres et les feuilles aussi vertes que l'émeraude. L'air est chaud et embaume de parfums fleuris. Quand la féline sort enfin hors du camp, seule comme toujours. Ramassant quelques amas de mousse humides qu'elle ramène aux anciens de son clan. Enfin quand elle va chercher un campagnol sur le tas de gibier, tous les petits chatons lui disent bonjour, saluent son passage, et, heureuse, la guerrière leur répond tout sourire quand les petits repartent jouer entre les jambes de leur mère. Le rongeur dans la gueule la chatte s'en va apporter la proie à la guérisseuse. D'un mouvement de la tête celle ci la remercie, le museau plongé dans différente plantes médicinales. Toute guillerette, un sourire large qui lui arrive jusqu'au oreille, Esprit d'Enfant sors enfin du camp. Libre, seule, comme elle aime. Loin du chaut du camp et de tous ces félins. Son sourire s'estompe, elle qui aimerait être qui ne l'est pas, elle qui aimerait être elle-même mais qui est quelqu'un d'autre. Elle qui voudrait tant que son vrai sois-même soit comme la chatte que les autres croient être. Est ce qu'un jour elle arrivera à être elle-même ? Cette blanchâtre avide de liberté et de tranquillité, elle qui n'est plus une enfant ? Elle qui malgré ses airs solides et son sourire à remonter le moral, cache en elle un esprit fatigué, qui a souffert, un cœur meurtrit empli de haine et de trahison ? Ah la la tu n'auras jamais rien fait pour elle et pourtant, elle croit tout te devoir, elle t'aime tellement de l'avoir laissée en vie. Et pourtant c'est bien toi également qui 'la laissée dans l'herbe haute, sous le vent, agoniser lentement. Pendant que toi tu étais loin, très loin. Morte.

~Libertine s'en va, la tête basse, la queue traînant par terre. Un larme cristalline coulant le long de son visage. Seule trop seule. Elle qui le veut. Elle qui a tant besoin des autres. Trop besoin des autres. Mais elle ne fait rien pour être avec les guerrières. Tout le monde aime Esprit d'Enfant, libre, insouciante, solidaire et serviable. Mais même si personne ne la déteste personne n'aime la jeune chasseresse mystérieuse. Un cœur triste, voilé par un esprit d'enfant. Esprit qui n'a pas grandit, ou plutôt qui a trop grandit. Elle aimerait tant parler, pleurer en toute liberté. Et pourtant les seuls instant ou elle se sent bien c'est quand elle aide, quand elle écoute, quand elle console. Elle préfère écouter que parler, observer qu'agir. A croire qu'il n'y a que comme ça qu'elle oublie qu'elle non plus elle ne va pas bien.

~Esprit d'Enfant se met alors à courir. Sous ses coussinets elle sent l'herbe desséchée par la chaleur épouvantable du soleil. Son museau en l'air, ses oreilles dressées écoutant le chant des oiseaux. Toujours plus vite, toujours plus loin. Loin de ce camp qui ne la connaissait pas, loin de ce camp ou elle se sentait comme une intruse. Pourtant elle n'était pas rejetée. Et pourtant elle se sentait étrangère à tout cela. Car le camp ne la connaissait pas et pourtant elle connaissait la routine du camp. Elle rêve encore parfois du pré ou elle a naquit, ou elle a joué, ou elle a grandit. Ou elle a agonisé. Enfin elle quitte les frontières, elle n'est même plus sur les terres de son territoire. Et enfin elle se sent chez elle, libre. C'est a dire loin des ennuis loin des questions. Loin des lois. Et pourtant Libertine est reconnaissante au clan de l'Ombre ce camp qui 'la sauvé ce camp qui l'a nourri. Mais en même temps ce camp qui l'a amené plus loin de toi encore, ce camp qui ne l'a pas laissé mourir en paix. Enfin en paix. Ou en violence. Elle était bien avant, quand elle ne connaissait pas la mort, quand elle ne connaissait pas la vie, quand le seule chose qu'elle comprenait c'était sa propre existence. Ou pas. Parce qu'en fait même son existence elle ne la connaissait. Même sa mère elle ne la connaissait pas. Mais dans son esprit simpliste d'enfant, tout était normal, clair et limpide. Même si aujourd'hui tout est embrouillée sombre et incertain. Incompréhensible.

~Quand Libertine arrête enfin de courir, la souffle, court, ses muscles revigorés par un peu d'exercices, elle se rend compte qu'elle est arrivée au chemin de fer. Les rails en métal irritent ses tendres coussinets. Vite elle s'éloigne, et savoure enfin de sa douce solitude, se promenant le long du chemin, remontant la chemin de fer. Parfois elle se demande ce qu'elle serait devenue si elle était rester seule, si elle ne s'était pas fat attaquer, si seulement rien de tout cela était arriver... Elle n'aurait connu ni la mort, ni la vie, ni les clans. Elle marche toujours, complètement perdue dans ses pensées. Quand elle voit pas très loin d'elle une belle chatte à l'odeur inconnu, la fourrure bien blanche, soignée, ses yeux verts brillant, les soleil ondulant sur tout son corps, sur tout son être. Esprit d'Enfant s’approcha prudemment. Observant de plus en plus l’étrange inconnue.

    << Bonjour, je ne sais comment tu t'appelles, saches juste que je ne te veux rien, je passais par là par hasard. Je ne voulais point t'offenser. Et si ma présence te gêne je me retire. >> Dit-elle un sourire jusqu'aux oreilles.

Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Juin 2011 - 19:58
-To te right, to the left, we will fight to the death, in the edge of the earth... ♫
Tiens, une inconnue. Taisez-vous, Souvenir Cruel, et ravale ton ironie, nous vous prions. On ne dit inconnue que pour des gens qu'on ne connait pas. Très drôle, vraiment. Vous êtes marrante, dans votre genre. Nous pensez-vous folle ? Je vous ai déjà répondu. Vous n'êtes pas folle mais spéciale. C'est pour ça que je vous aime... Fermez-là, Etoile. Nous sommes capable de nous péter la gueule pour vous faire souffrir et vous le savez très bien. Ne vous ai-je jamais dit que j'étais sadomasochiste ? Après tout, je vous aime, ce qui revient à me faire mal puisque je ne pourrai jamais vous l'exprimer autrement que par des pensées ? Le soir de notre vieillée de guerrière, nous comptions faire un inceste avec Chant des Cigales, notre soeur. Ça ne m'étonne pas outre mesure de votre part. Pour la deuxième et dernière fois, fermez-là. Elle parle et je voudrais l'écouter. Je ? Je n'ai aucune importance face à mes semblables. Je vous aime mieux quand vous parlez à la première personne du pluriel... Très amusant, Souvenir. Vous nous agacez. Et gommez ce sourire moqueur qui flotte dans votre esprit.
" Bonjour, je ne sais comment tu t'appelles, saches juste que je ne te veux rien, je passais par là par hasard. Je ne voulais point t'offenser. Et si ma présence te gêne je me retire. "
Pourquoi riez-vous comme ça, Kashmir ? Cette question, parce que l'idée de "gêne" nous fait rire. Très bien. Allez vous lui répondre à la même personne que celle à laquelle vous me répondez ? Nous ne savons pas. Nous ne sommes pas très douée avec la parole... Vous ne voudriez pas nous aider ? Pas question ! Je n'ai pas beaucoup l'occasion de vous écouter parler et je veux vous entendre. Méchant... Réplique insuffisante. Tu baisses ta garde. Nous ne vous avons jamais permis de nous vouvoyez, à ce que nous savons. Tu ne m'as jamais permi d'occuper une partie de ton esprit... LA FERME !
-Don't leave me alone... ♫ No hope no love no glory, no happy ending... ♫ Nous vouloir quelque chose ? Vous rigolez ! En revanche, nous nous nommons Kashmir, nous n'aimons pas l'odeur qui flotte autour de toi. Elle nous rappelle un souvenir mille fois maudit. Mais vous ne nous semblez pas possédée. C'est déjà ça.

Je ne vous avait jamais vu sourire, Kashmir l'Impératrice du Choeur des Anges du Sang.
Mais c'est magnifique.

(j'espère que la qualité compensera la longueur I_I)
Anonymous
Invité
Invité
Dim 26 Juin 2011 - 20:16
[ rha je suis désolé de tarder autant les corrections d'EEF prennent tout mon temps x___x
Mais ne réponds pas j'éditerais ce message ^^ ]
Anonymous
Invité
Invité
Ven 22 Juil 2011 - 14:15
[ désolé je me vois dans l'obligation d'annuler ce RP j'y arrive vraiment pas -_-' ]
Anonymous
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