Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
Résultats du Concours d'EEF ▲ « L'enfer c'est les autres »
Garden
Félin Légendaire
Mar 27 Oct 2015 - 12:27
Top on the morning to you ladies ♥ On les attendait tous et ils sont enfin là : les résultats du concours de texte EEF. Pour en savoir un peu plus sur le sujet de base, c'est par ici ! L'ensemble du Jury EEF remercie tous ceux qui ont participé à la notation en plus de nous car nous n'étions pas assez nombreux, à savoir Pearl, Lou et plus particulièrement Apana pour son aide au calcul final des notations. Ensuite, je remercie ceux qui se sont inscrits et qui ont rendu leur texte. Thank you guys, you're awesome ♥ Ceux qui se sont inscrits mais qui n'ont pas rendu de texte vont recevoir un mp de ma part, à l'exception d'une personne qui se reconnaîtra °° Tout ce qui se trouve en-dessous n'est qu'un résumé de votre notation. Si vous souhaitez en obtenir l'intégralité, n'hésitez pas à vous manifester %D
Passons maintenant aux choses sérieuses. La notation a été réalisée sur un barème bien défini selon plusieurs critères sur 10. La moyenne de toutes les notes a été calculée afin de donner une note total à votre travail. Sachez que la note est objective et même si elle est basse à votre goût vous pouvez toujours vous améliorer, car certains d'entre nous ont noté relativement sévèrement.
Donc, comme grande gagnante du concours, nous retrouvons Tigresse avec une note finale de 9,4 sur 10. Elle obtient à l'unanimité le rang de Grande Vétérante, félicitations à toi ♥
texte de Tigresse:
Le Petit Chaperon Rouge
C'est un geste anodin que j'effectue pour ouvrir la porte. « Ouvrir la porte. » Cette phrase résonne étrangement à mes oreilles. Depuis quand ne l'ai-je plus prononcée ? La poignée s'abaisse sous ma main. Je retiens mon souffle, le cœur battant à tout rompre. Je m'apprête à sortir, chose qui me semblait si impossible auparavant que j'ai encore du mal à croire que je vais le faire. J'enroule les pans de mon chaperon autour de mon corps, de façon à couvrir chaque parcelle de ma peau, le visage à demi caché sous le fin tissu rouge. La porte est ouverte. L'enfer est derrière, et il attire tout mon être. Je retiens un gémissement de peur alors que je franchis la frontière qui me sépare de la mort. Des frissons me parcourent toute entière ; je sens la fin, si proche. Et je vis toujours. Grand-mère ne m'a donc pas menti.
Je viens d'une époque où le temps s'est arrêté. Le ciel a définitivement revêtu cette couleur sombre et impure qui me maintient dans l'effroi un peu plus chaque jour. Le simple son des éclats de rire, des voix plus ou moins joyeuses, ou même le ronronnement des voitures ; tout ces bruits, que l'on pourrait qualifier de néfastes. Ils n'ont plus franchi mes tympans depuis des années, si bien que j'en arrive à me demander s'ils ont jamais existé. L'air est irrespirable, épais et trouble comme le brouillard. On raconte qu'autrefois on pouvait sortir sans masque, sans la crainte saisissante de pouvoir mourir à tout moment. Plus rien n'a coulé ici depuis bien longtemps, ne serait-ce cette eau d'un noir d'encre qui tache les vêtements et que les nuages éjectent avec un bruit d'éponge qu'on essore. On raconte qu'autrefois on pouvait distinguer le soleil à travers les gouttes de pluie. Le soleil. Cet astre bienveillant s'est réduit à un songe, à un espoir aussi chimérique qu'éphémère que je me force à conserver au plus profond de moi-même.
Nous ne connaissons plus que le froid, l'étouffement, la peur… la mort. Oui, la mort. Elle plane furtivement au-dessus de nos têtes, telle un spectre se délectant de faire payer ses fautes à l'humanité. Il m’arrive de frissonner en croyant sentir son souffle glacial sur ma gorge… C’est d’ailleurs dans un état de panique instinctive que je longe la rue déserte. Des visages sépulcraux apparaissent aux fenêtres des habitations rongées par la moisissure. Ils regardent avec stupéfaction la pauvre folle que je suis, qui elle-même ne comprend vraiment pas d’où lui vient son courage. Elle s’arrête par moment, perdue dans la noirceur de ce sinistre décor, au bord de l’évanouissement. Une seule chose lui permet alors de retrouver la raison : le vulgaire bout de papier qu’elle tient dans sa main, trésor sans valeur apparente. L’air épais ralentit mes pas, m’oppresse et m’épuise. Sans masque à gaz, je n’aurais pas fait long feu. Les maisons défilent les unes après les autres ; il y en a à n’en plus finir. Je ne sais pas depuis combien de temps je marche. J’ai perdu toute notion des heures et des minutes, comme tout le monde ici. La vie ne se résume plus qu’à une attente cruelle de la mort, et je compte bien changer ça aujourd'hui. J’en suis capable, grand-mère me l’a dit. Bientôt, les bâtiments se font rares, jusqu'à ce qu’il n’y ait plus que quelques arbres rabougris dans mon champ de vision. Je m’approche dangereusement du bois. Quand j’étais petite et que sortir était encore possible, maman me répétait sans cesse de ne jamais m’en approcher, et que si j’osais désobéir, le loup me mangerait. Je n’avais jamais cru à ses histoires, mais ce jour-là, tout me semble possible. La simple idée de pénétrer dans les bois me terrifie. Un regard à gauche, un regard à droite : faire un détour serait trop long. Je n’ai pas le choix.
Je cours à en perdre haleine, encerclée par les arbres menaçants. L’angoisse me rend presque hystérique. Une larme coule sur ma joue, puis deux, puis trois. Soudain, mon pied heurte quelque chose et je me retrouve projetée au sol en l’espace de quelques secondes. Prise d’une horrible frayeur, je me tourne sur le dos, prête à affronter tout danger. Mais il n’y a rien : je suis sortie du bois ! Je me relève, soulagée, bien que je sache que je ne suis pas encore en sécurité. La maison de grand-mère est à deux pas. Je me précipite sur la porte et saisis le heurtoir, frappant cinq coups puissants et significatifs. Grand-mère me reconnaîtra forcément. Beaucoup de questions tourbillonnent dans ma tête et j’espère bien qu’elle saura y répondre. Je me colle à la porte, détaillant l’horizon d’un regard horrifié. Il n’y a que le néant à perte de vue. Je me retrouve plongée dans un silence inquiétant pendant lequel on distingue les battements frénétiques de mon cœur. La poignée s’abaisse au moment où je songe à rebrousser chemin. Puis le visage creusé de grand-mère se profile dans l’entrebâillement de la porte.
« Entre vite, ma chérie » ordonne-t-elle d’une voix pressante. « Nous n’avons pas une minute à perdre ! »
Je m’exécute alors qu’elle claque la porte derrière moi et me retrouve face à son visage familier, qui me regarde avec bienveillance.
« Grand-mère ! »
Les larmes aux yeux, je me jette dans ses bras. Elle essuie ma joue avec douceur, me murmurant que c’est fini, maintenant, qu’elle est là pour veiller sur moi. Le stress et la peur accumulés ces dernières semaines s’évaporent peu à peu dans mes sanglots, remplacés par l’agréable nostalgie que j’éprouve en ces lieux. Ils m’évoquent tant de souvenirs…
« Suis-moi, ma grande. Nous avons des choses à nous dire. »
Nous nous installons dans le salon, blotties dans de confortables fauteuils de cuir. Une douce vague de chaleur me parcourt, bien qu’aucune flamme ne danse dans la cheminée. Le sourire de grand-mère me réchauffe bien plus que n’importe quel feu. Je n’ai malheureusement pas le temps d’en profiter, car la gravité de son expression ne présage rien de bon. J’ouvre ma main pour regarder le petit bout de feuille que j’ai rapporté de la maison.
« Grand-mère, ce papier... Il y a dix ans, tu me l’as confié en m’interdisant de le lire avant que "ce ne soit vraiment nécessaire". A l’intérieur, tu me demandes de venir ici d’urgence, parce que l’heure est grave. Mais comment savais-tu ce qui allait arriver ? »
Elle lève la main pour me faire taire.
« Lucie, tu n’es pas sans savoir que je suis médium. Or, je sais beaucoup plus de choses que la plupart des mortels. »
Je hoche la tête. Maman m'avait parlé de son don particulier. Grand-mère restera toujours une femme mystérieuse pour moi.
« Il y a dix ans, les esprits m’ont prévenu d’un grand malheur à venir » poursuit-elle d’une voix neutre. « Je savais que les conséquences de la pollution et de la déforestation étaient inévitables. Mais le problème vient d’ailleurs. - Comment ça ? - Dis-moi, as-tu déjà eu l’impression d’être guettée, ou même suivie ? - Euh… Oui, ça m’est déjà arrivé, pas plus tard que ce matin. - Ce chaperon rouge que tu portes, je te l’ai confié pour qu’il te protège et te permette de venir ici sans encombre. Tu as compris ce qui était arrivé à ta mère, n’est-ce pas ? »
Elle me prend les mains avec tendresse. Bien sûr que je l’ai compris. J’acquiesce en réprimant mes larmes.
« La diminution de nos réserves naturelles, la disparition de l’eau, l’épaisseur de l’air… Tout ça ne vient pas de l’inconscience des hommes, ou du moins, pas directement. C’est l’esprit de la forêt qui en est à l’origine. Dans le monde céleste, on l’appelle le Loup. Ce n’est pas un mauvais esprit, non… Mais la destruction progressive de la nature l’a rendu fou de rage, et aujourd'hui, il nous le fait payer. - Vraiment ? C’est lui qui a tué tous ces gens ? »
Je m’interromps quand je réalise que nous avons peut-être une chance de nous en sortir.
« Grand-mère, si tu m’as demandé de venir ici, c’est que tu as trouvé un moyen d’arrêter ce désastre ! Dis-moi que tu as trouvé ! - Oui, ma chérie, oui. Mais ce n’est pas si facile. J’ai besoin de toi et de ton chaperon pour atteindre la grande colline, aujourd'hui même, à l’heure où pointe le soleil. - Que vas-tu faire ? - Je vais conclure un pacte avec le Loup, mais je ne pourrai pas y aller seule. - Je ferai tout ce que tu voudras, grand-mère, si ça peut tous nous sauver ! »
Quand vient le soir, nous nous rendons à l’endroit où s’élève la colline, enveloppées dans mon chaperon rouge. De là-haut, nous avons vue sur toute l’étendue désertique du village. C’est peut-être la dernière fois que j’observe ce paysage de mort. Un beau jour, sans doute bientôt, l’air sera de nouveau pur, nous pourrons voir le soleil à travers les gouttes de pluie, les sons viendront chatouiller mes oreilles et mes prunelles se perdront dans l’intensité d’un ciel bleu azur… Grand-mère semble contrariée, si bien que je n’ose pas lui poser de questions sur ce fameux pacte. L’heure tourne. Comme toujours, le soleil ne pointe pas à l’horizon : seule la couleur grisâtre des nuages témoigne de sa présence. Grand-mère serre ma main avec force, comme si elle avait peur de quelque chose. Mais de quoi ? Je n'ai pas le temps de me questionner davantage, car tout à coup, un souffle glacial effleure mon visage pâle. C’est le Loup ; il est là. Je sens sa présence, mais je ne le vois pas. Comment pactiser avec quelque chose qu’on ne peut voir ? La question ne semble pas traverser l’esprit de grand-mère, qui demeure perdue dans ses pensées. Soudain, des milliers de particules d’air verdâtres s’assemblent pour former la silhouette d’un loup. Il lève son museau pour hurler ; des végétaux jaillissent de sa gueule par milliers. C’est tellement incroyable que j’en ai le souffle coupé ! De l’herbe tourbillonne autour de moi et s’engouffre sous mes pieds pour venir tapisser le sol. Accroupie, je la caresse du bout des doigts, savourant son doux contact. Je me tourne vers grand-mère pour partager ma joie avec elle… Mais je suis seule, à présent. Grand-mère n’est plus. Le loup l’a prise. Elle s’est envolée.
Et dans ce nouveau monde qui respire la nature, il m’arrive parfois de sentir la puissante aura de grand-mère, d’entendre le son de sa voix mélodieuse s'évanouir dans les murmures du vent.
En seconde position, nous retrouvons Perlou avec une note finale de 8,2 sur 10. Il obtient le rang de Grand Guerrier. Bravo à toi !
texte de Perlou:
Les fenêtres étaient fermés, les volets clos, la porte d'entrée verrouillée. Ce soir, c'est Halloween, et dans le petit village de Bidarray, au Pays Basque, des choses surnaturelles se déroulaient. Aïnhoa était seule chez elle. Ses parents travaillaient tard le soir et avaient décidé de rester en ville, dormir chez sa grand-mère. La jeune fille était donc obligée de rester seule dans sa maison durant toute la nuit. D'ailleurs, elle s'était déjà mise en pyjama bien qu'elle savait parfaitement bien qu'elle n'allait pas réussir à fermer l'œil de la nuit. Durant cette nuit redoutée de tous, Aïnhoa devenait totalement parano, et entendait des bruits au rez-de-chaussée en permanence. La jeune fille était dans sa chambre, la lumière principale allumée. Elle était assise sur son lit, les yeux rivés sur la porte qu'elle avait laissé exprès ouverte. L'escalier qui menait au rez-de-chaussée se trouvait face à elle. Aïnhoa tremblait comme une feuille. Elle se sentait épiée de toute part. Pour se rassurer, elle se disait qu'elle rêvait, bien qu'elle avait l'impression que tout cela était bel et bien réel. Soudain, alors qu'elle était au bord des larmes, son portable sonna. Marie s'afficha sur l'écran de son téléphone. C'était la meilleure copine de Aïnhoa. Cette dernière bondit sur son portable et décrocha, la gorge sèche. «Heureusement que tu m'appelles, je suis vraiment entrain de stresser comme une gamine ! » s'exclama Aïnhoa, observant sa chambre d'un air inquiet. Marie ne répondit pas tout de suite, puis dit, d'une voix bien plus tremblante que celle de son amie : «Aïnhoa, tu n'es pas la seule à t'inquiéter. Mes parents dorment déjà, bon j'avoue il est 23h45 passé, mais quand même. Tu ne veux pas venir dormir à la maison ? » Aïnhoa resta bouche-bée. Durant toute la semaine, elle n'avait attendu que ça : que Marie lui propose de venir dormir chez elle, et elle ne l'avait fait que quand la nuit était déjà tombée. Aïnhoa leva les yeux au plafond, déçue de Marie. «Tu veux ma mort ou quoi ? Tu n'avais qu'à me proposer ça plus tôt, je n'attendais que ça depuis lundi ! » L'appel téléphonique se coupa. Chloé regarda l'écran de son téléphone, et vit s'afficher Plus de réseau. La jeune blonde souffla, et donna un coup de pied dans son sac de cours. La lumière grésilla, puis s'éteignit. «C'est une blague ?! » pesta l'adolescente. Elle s'avança dans l'obscurité la plus totale vers l'interrupteur, et tenta de rallumer la lumière, en vain. Elle descendit les escaliers, et essaya avec toutes les ampoules de la maison, sans grand succès. La télé ne s'allumait plus, l'horloge de la cuisine non plus. Puis-je passer une nuit ici, dans l'obscurité ? Aïnhoa secoua la tête. Il était hors de question qu'elle reste ici à broyer du noir durant plusieurs heures. La seule solution était d'aller chez sa tante, Uria, qui vivait en bas de la montagne. Encore fallait-il la descendre. Aïnhoa venait de mettre ses chaussures et son manteau, et tenait dans un sac plastique une tarte aux fraises des bois. C'était le gâteau préféré de Tante Uria. La jeune fille inspira, tremblante, tourna la clé, et ouvrit la porte. Un vent glacé pénétra dans la maison d'Aïnhoa. Elle fit un pas dehors, et claqua la porte de sa maison. Elle la ferma à double tour, et commença à longer la route, pas du tout rassurée. Aïnhoa tenait fermement son sac. Elle faisait de grandes enjambées pour arriver le plus vite possible chez Tante Uria. Aïnhoa savait que sa tante pratiquait d'étranges choses, et qu'elle purifiait chaque année sa maison pour Halloween. Alors que l'adolescente courait presque, elle s'arrêta, écoutant l'étrange silence qui venait de s'installer. Quelques secondes auparavant, le vent soufflait dans les branches des arbres. Une énorme bourrasque coupa la respiration d'Aïnhoa, qui tourna la tête vers l'orée de la forêt. Une ombre marchait entre les troncs des sapins. La blonde recula de quelques pas, puis se stoppa, prêt à tomber dans le fossé. «Où vas-tu jeune fille ? Ne dois-tu pas rester enfermer chez toi, dans ta grande maison blanche au toit rouge ? » La voix glaciale de l'inconnu fit la chair de poule à Aïnhoa, qui ne reconnaissait vraiment pas cet homme, ou cette chose ? Qu'est-ce qu'il était réellement ? «Je ne dois pas parler aux inconnus. » L'homme resta toujours dans l'ombre, puis fit quelques pas, et murmura, d'une voix faussement mielleuse : « On se connait bien plus que cela ... » Il laissa alors les rayons de la Lune éclairer son visage, ensanglanté. Aïnhoa laissa échapper un cri suraiguë d'effroi, et détalla en courant. L'inconnu poussa un hurlement bestial, ressemblant à celui d'un loup. La jeune fille courait le long de la route, son sac toujours bien en main. Aïnhoa entendait des bruits de pas de course, juste derrière elle, et elle entendait une respiration canine. L'adolescente osa un regard en arrière, et accéléra en voyant un énorme loup. Puis, plus rien. Aïnhoa se réveilla, la vision totalement floue. Elle se trouvait dans une clairière obscure. Elle se redressa, et regarda autour d'elle, totalement perdue. En se retournant pour voir son poursuiveur, elle avait trébuché et s'était cognée la tête, mais comment était-elle arrivée ici ? Alors qu'Aïnhoa se releva tant bien que mal, des ombres spectrales apparurent tout autour, et se rapprochaient de plus en plus de la jeune fille. Aïnhoa hurla de nouveau, totalement effrayée. «Allez-vous en ! Laissez-moi ! » Un éclair traversa la clairière, faisant fuir les ombres. Aïnhoa resta sans voix, observant la bonne femme qui venait de faire fuir les spectres. Elle s'approcha avec hâte en direction de la fille, et la câlina. «Tante Uria ! Qu'est-ce qu'il m'arrive ? » La vieille dame prit la main de sa nièce, et l'amena vers sa chaumière. «Parlons entres sorcières autour de ta tarte aux fraises des bois. »
En troisième position et avec une note finale de 7,8 sur 10, nous retrouvons Sky qui obtient quand à elle le rang de Guerrière. Bravo à toi ♥
texte de Sky:
Réecriture de "Le Petit Chaperon Rouge". "-Chérie, va voir Mamie, elle est malade. -Quoi ?! Mais tu as dit que je pouvais aller voir Julie... -Tant pis, tu iras un autre jour. Allez, tiens, apporte lui ça."
La mère tendit un sac à dos à sa fille, contenant des parts de gâteaux dans un tupperware et un pot de miel naturel. Râlant, la jeune fille mit son manteau rouge, rabattit sa capuche sur ses cheveux blonds, puis quitta son foyer, le sac sur son dos. Le vent manqua de la faire trébucher, tandis qu'elle pénétrait dans la forêt. C'était le chemin le plus court pour se rendre chez sa grand-mère, et elle voulait rentrer le plus tôt possible. Une feuille morte vint se poser sur son épaule, et elle la chassa d'un bref coup avec le dos de sa main. Ses yeux s'arrêtèrent quelques secondes sur les arbres, qui commençaient, déjà, à revêtir ses couleurs automnales. Le ciel gris faisait ressortir toutes ces couleurs, et un sourire innocent vient étirer les lèvres du Petit Chaperon Rouge, car on la surnommait ainsi ; son manteau rouge, dont elle était inséparable, rappelait un chaperon. Elle se mit à sautiller, suivant le petit chemin de terre. Au loin, elle voyait déjà la petite colline ; sa grand-mère habitait juste derrière.
"-Tu vas où?"
Une voix vint briser le silence, et Le Petit Chaperon Rouge s'arrêta, se tournant, un grand sourire aux lèvres. Un homme se tenait devant elle ; son nez était étonnement long, et le bout était relevé d'un air rusé. Sa barbe, qui lui arrivait aux épaules, était brune mais grisonnante, comme ses cheveux longs. Son regard, marron clair, était futé, et il portait un pull et un pantalon en fourrure brune. Pieds nus, l'homme se révéla d'une pilosité presque inquiétante. Pourtant, naïve, le Petit Chaperon Rouge lui répondit sincèrement.
"-Je vais voir ma mamie, et lui apporter du gâteau et du miel. Elle est malade. -Ah oui? Je la connais. Elle habite où? -Juste derrière cette colline, là. Dit-elle en montrant la colline. Elle vit dans une petite maison, assez solitaire d'ailleurs. -Je vais la voir aussi. J'ai une idée ; faisons une course. Je vais par là, toi par ici. Le premier arrivé gagne. -Cool !"
L'homme s'élança aussitôt, alors que la jeune fille sautillait sur le chemin, qui se trouvait être le plus long. Elle s'arrêta au milieu, sortit son iFone 27, et prit un selfie, trouvant le paysage bien trop beau pour ne pas en profiter. Elle ramassa une fleur fanée, la mettant dans son sac ; elle pourrait la mettre dans un livre.
Pendant ce temps, l'homme était arrivé devant la maison. Il prit une voix de jeune fille, puis tapa.
"-Qui est là? Demanda une voix chevrotante. -Ta petite fille, mamie. Je t'apporte du gâteau et du miel. -Oh, ma chérie ! Tire la poignée, et le mécanisme sonnera."
Si l'homme ne comprit pas le sens de cette phrase, il tira sur la poignée, et la porte s'ouvrit. Il se jeta sur la vieille grand-mère, entoura son bras autour de son cou et mit le bonnet de la vieille dans sa bouche pour qu'elle se taise. Il l'enferma dans une armoire, la ligotant au passage, puis s'habilla comme la mamie. Au moment où il s'allongeait dans le vieux lit, quelqu'un toqua.
"-Qui est là? Répéta "le loup" -car tel était son surnom-, imitant la voix de la grand-mère. -C'est moi, mamie, ta petite fille. Maman m'a demandé de t’amener du gâteau et du miel. -Entre dont, ma chérie. -Mamie, tu as une drôle de voix. Remarqua-t-elle, alors que son ventre se nouait de peur. -Je suis enrhumée. Tire la poignée, et le mécanisme sonnera."
Le chaperon entra, et s'assit près d'elle et remarqua aussitôt que sa "mamie" n'était autre que l'homme ressemblant étrangement à un loup. Elle ne dit rien sur ça.
"- Mamie, tes bras sont très longs ! - C'est pour mieux t'embrasser, ma chérie. - Mamie, quelles longues jambes! - C'est pour mieux courir, ma chérie. - Mamie, je ne me souvenais pas que tes oreilles étaient si grandes. - C'est pour mieux écouter, ma chérie. - Mamie, tes yeux sont grands ! - C'est pour mieux voir, ma chérie. - Mamie, que tu as de grandes dents ! - C'est pour mieux te manger."
Et il se jeta sur elle.
Sauf que ce qu'il ne savait pas, c'est que le chaperon faisait du judo depuis qu'elle savait marcher. Elle attrapa son bras et lui fit une prise, l'envoyant valser dans le mur en brique. Sonné, il ne se releva pas de suite. Titubant, il tenta de s'en prendre encore à elle, mais elle le fit tomber, et l'immobilisa d'une facilité déconcertante. Elle appela les policiers, le maintenant toujours au sol. Quand ils arrivèrent, elle libéra sa grand-mère.
"-Qui était-ce ? Demanda la mamie, les yeux écarquillés de peur, ayant frôlé la crise cardiaque. -Un loup, mamie, mais ne t'en fais pas. C'est facile à dresser, un loup, quand on sait faire. Dit sa petite fille en souriant, le même sourire angélique sur les lèvres."
En quatrième position nous retrouvons Capri avec une note finale de 7,3 sur 10. Elle obtient, comme sky, le rang de Guerrière RPG. Félicitations ♥
texte de Capri:
Chaperon Rouge
« Je ne quitterai plus jamais mon chemin pour aller me promener dans la forêt, quand ma maman me l'aura interdit. »
Il était une fois une jeune fille que tout le monde aimait, surtout sa grand-mère autant pour sa beauté que pour son doux caractère. Sa mamie qui l'aimait tant lui offrit une casquette rouge qui était assortie à ses longs et ondulés cheveux bordeaux. Elle lui allait si bien qu'elle ne la quittait jamais alors dans la cité elle fut vite connu sous le nom de "Chaperon Rouge". Même ses professeurs au lycée l'appelait Red qui était son diminutif.
Un jour sa mère ayant cuisiné deux belles tartes aux pommes bien dorée envoya un message à sa fille : « Pourrais-tu revenir à la maison pour amener une tarte aux pommes et une bouteille de jus de fruit à ta grand-mère, je sais que tu travailles mais elle est mal en point et elle serait très heureuse de te voir. » Peu de temps après on entendit le bruit d'un scooter qui vint se garer devant la maison. Red entra dans la maison un doux sourire flottant sur ses lèvres comme d'habitude. Elle se rendit directement dans la cuisine et déposa un léger bisou sur la joue de sa mère puis prit le paquet que cette dernière avait confectionné. Alors que la belle jeune fille sortait, sa mère lui lança : « Surtout fais attention Chaperon Rouge, ne prends pas les petites ruelles et ne t'arrêtes pas avant d'être arriver. » D'une voix apaisante, elle rassura sa mère comme elle le faisait à chaque fois. Elle monta sur son scooter en faisant attention au paquet qu'elle serait entre ses jambes.
Au début, elle roulait sur l'axe principal mais sa grand-mère habitait loin et passer par les petites rues diminuait le temps de parcourt alors pour une fois elle n'écouta pas sa mère. Elle ne regrettait pas sa décision comme ça elle pourrait passer plus de temps avec sa grand-mère sans compter sur la présence de Kévin qui était en train de marcher seul dans la ruelle. « Salut Red, lui dit-il. - Salut Kev' - Tu vas où là ? T'étais pas sensée travailler aujourd'hui ? - Si mais ma mère m'a demandé d'apporter ça à ma grand-mère, en montrant le paquet, alors j'y vais. - C'est sympa de ta part, elle habite où ta grand-mère ? - Dans le quartier le plus excentré de la cité c'est la maison aux volets rouge. Je sais pas si tu vois. - Ah si j'ai déjà du passer devant, pour lui faire plaisir tu pourrais lui ramener des bougies odorantes comme tu m'avais dit qu'elle adore ça. - oui c'est une super idée merci Kev', on se voit demain. »
Elle fit un léger détours pour aller dans le magasin préféré de sa grand-mère mais pendant ce temps, Kévin était rentré chez lui, avait enfourché son scooter et à vive allure il avait rejoint la maison de la mamie de Red. Il toqua délicatement à la porte comme le ferait Chaperon Rouge. « C'est moi grand-mère, dit-il en imitant du mieux qu'il put la voix de la jeune fille. - Entres mon enfant c'est ouvert. »
Un couteau il entra et se dirigea vers la chambre de la vieille dame. Elle failli faire une crise cardiaque en le voyant. Il la fit tomber du lit, lui bâillona la bouche, l'attacha avec une corde et l'enferma dans un placard. Puis il prit la place de la grand-mère dans le lit, montant la couette jusqu'au yeux et couvrant sa tête de la perruque de la vieille. A partir de là, il attendit. Red ne tarda pas à arriver avec ses deux paquets, l'un comportant la tarte et la bouteille et l'autre les bougies. La porte était ouverte et cela l'étonna, cependant lorsqu'elle arriva dans la chambre tout lui sembla encore plus bizarre. Je trouve la maison étrange aujourd'hui... « Bonjour grand-mère ! - Bonjour mon enfant, répondit Kévin d'une voix un peu trop grave - Comme tu as une voix grave, grand-mère ! - C'est pour mieux que tu m'entendes. - Comme tu as le regard vif, grand-mère ! - C'est pour mieux te voir. - Comme tu as de grandes jambes, grand-mère ! - C'est pour mieux te sauter dessus ! Répondit-il en bondissant sur Red, le couteau à la main. - Maintenant tu es à moi, plus jamais un seul mec ne pourra poser les yeux sur toi ! »
Comme pour la grand-mère, il l'attacha et l'enferma alors qu'elle pleurait à chaude larme ne sachant quoi faire. Pendant ce temps Kévin était reparti se coucher pour faire une sieste avant de profiter de sa nouvelle proie. Cependant il avait oublié un détail, la porte ouverte. Et un mafieux qui passait par là et qui rendait souvent visite à la vieille dame trouve cela bizarre et entra dans la maison avec un pistolet chargé dans la main. Il trouva le jeune et le prit par le cou avec le pistolet posé sur la tempe. Il délivra Red ainsi que sa grand-mère et parti avec Kévin que l'on ne revit plus jamais. La jeune fille quant à elle écouta toujours sa mère et n'accorda plus sa confiance à personne sauf à sa famille. Et plus jamais ce genre d'incident lui arrivera.
« Fais attention à qui tu fais confiance. Tant de gens te portent à croire qu'ils sont tes amis, mais le temps venu, tu découvriras leurs vraies couleurs. »
Enfin, en dernière position nous retrouvons Perly avec une note finale de 6 sur 10. Perly a écopé d'une pénalité de retard de 5% de sa note finale pour avoir rendu son texte deux jours après les autres. Elle obtient néanmoins le rang de Grande Apprentie ♥
texte de Perly:
Cette histoire a été reconstituée grâce au témoignage de Louis et au journal intime de Cassie . Il était une fois dans un endroit et à une époque inconnue de tous , c'est passée cette histoire . La savoir à quoi bon ? Après tout ce n'est pas bien utile . Mais bon si vous insistez je ne peut pas refuser . Mais prenez garde , qui sait ce qui pourrai vous arriver .
Il était une fois , dans un village éloignée de la population vivait une jeune fille . Cette enfant personne ne ce rappelle denson nom , dans cette histoire ce sera Cassie . Elle avait des cheveux bruns , ils étaient doux et soyeux lui arrivant en bas du dos . Des yeux bleus claires qui étaient murs et innocent , enfin d'après ce que l'on disait . Elle était de taille moyenne et de poid moyen . En bref elle était une fille normale si on oubli ses cheveux et ses yeux qui faisaient l'admiration de tous . Gentille , attentionnée , globalement elle n'avait que des qualités mis à part quelques défauts anodins . Cassie était aimée de tous , entourée et une voix claire admirée . En fait elle était parfaite aux yeux de tous ... Enfin c'est ce qu'ils croyaient . L'enfant était très proche de sa grand mère , elle lui rendait visite chaque jour et à chaque occasion . Les jours passaient et tout allait bien . Pour l'année des douze ans de sa chère et tendre petite fille mère grand lui offrit un magnifique chaperon rouge , l'enfant ne le quittait jamais et fus surnommée "Rouge" . Un jour elle prit un panier d'osier mis quelques vivres dedans et parti voir son aîné . En chemin elle cueilli de magnifiques fleurs blanches ainsi que quelques fruit . Cassie entendit un bruit et sursauta lorsqu'elle sentit une main ce poser sur son épaule .
<< - Idiot ! - Alors comme ça on dit plus bonjour ? - Ne me fais plus peur comme ça la prochaine fois ! - Chef oui chef ! - Bon , ne t'ai pris quelques trucs à manger mais je n'ai rien d'autre . Ça ira ? - Bien sur que oui ! >>
Et il continuèrent de parler de tout et de rien pendant quelques temps . Cette personne ? Louis , un ami qui au village est surnommé le "loup" . Enfin bref passons et revenons à la fin de la conversation ou Louis plus sérieux lui dit :
<< - Tu connais la légende du loup ? - Non . Quelle légende ? - Apparement un loup viendrai chaque soir de pleine lune ici dans ces bois . - Et puis ? - Surtout ne vient pas un soir de pleine lune ! C'est dangereux . >>
La jeune fille eu à peine le temps de cligner des yeux que son camarade avait disparu . C'est étrange pensa-t-elle , mais bon j'ai du rêver c'est tout . L'enfant contiua son chemin et arriva chez sa grand mère . Elles discutèrent de tout et rien quand elle repartit ça grand mère lui donna une robe blanche . Rouge la mettait quand elle allait voir sa grand mère qui aimait tant le blanc . Mais un beau jour tout bascula . C'était une nuit de pleine lune , Cassie était allée voir mère grand pour récupérer un objet qu'elle avait oublié . Elle arriva devant la maison de mère grand en peut de temps . Ce qu'elle vit l'inquiéta au plus haut point . La porte de la maison détruite , on pouvait voir depuis l'extérieur que le désordre était maître . Rouge entra à petits pas dans la maison . Le loup était la près de son aînée qui agonisait dans son sang . après avoir vu cela Cassie s'évanouit instantanément et tomba dans le sang couvrant une partie du sol .
<< - Cassie ! Cassie ! - Hummm ? - Réveille toi ! Réveille toi ! - Quoi ?! >>
L'enfant venait de répondre en sursautant et d'un ton agressif qui n'était pas sien . Elle même était étonnée du ton qu'elle avait employé . Elle regarda autour d'elle , c'était une chambre calme et blanche . Rouge posa sur la personne en face d'elle et vit Louis un mine inquiète . Alors l'adolescente lui dit d'un ton vraiment désolé :
<< - Par ..... Pardon ... Je n'aucune idée de ce qui m'a pris .... - Ne t'excuse pas , je n'aurais pas dus te réveiller ....... Mais promet moi de ne jamais retourner dans la forêt un soir de pleine lune ! Jamais ! - O .... Oui .... >>
L'enfant assez troublée de l'environnement ou elle ce trouve demanda à Louis d'un ton aussi incertain qu'elle :
<< - Louis , Quel est cet endroit ? - C'est ..... L'hôpital de la ville . - Ah .... D'accord ... - Tu te rappelle de ce qu'il c'est passé ? - Je ..... J'étais aller chez ma grand mère récupérer ce que j'avais oublié ..... Et quand je suis arrivée ...... Le .... Le loup il était là ..... Et mère grand .... Elle était là ........ >>
Pendant qu'elle parlait Cassie avait commencée à sangloter , Louis l'avait prise dans ses bras et elle pleura jusqu'à s'endormir . Quand à Louis , il réfléchissait et attendait tenant Rouge dans ses bras . Quelques jours plus tard avait lieu l'enterrement de mère grand , la totalité du village était présente et tout le monde pleurait . Mais celle dont la peine et la tristesse était la plus grande bien évidemment c'est Cassie . Les jours passèrent et chaque habitant croyait que l'enfant ce remettait mais c'était tout le contraire ..... Chaque jour elle devenait un peut plus folle à cause de son immense peine et chaque jour elle mettait la robe blanche et le chaperon que son aînée lui avait offert . Si tout le monde avait sût ce qui ce passerait ensuite chacun aurait passé plus de temps avec elle . Une après midi , Cassie allait voir Louis et comptait lui dire la seule chose qui lui faisait garder le peut d'humanité qui lui restait . Ce que c'est ? L'amour qu'elle à pour lui depuis quasiment toujours , cet amour qui aurai pût la sauver mais qui n'a fais que le contraire . Enfin bref , reprenons l'histoire . Donc Cassie marchait voir Louis , quand elle fut devant la maison Rouge ferma les yeux , inspira un grand coup et s'avança jusqu'à ce rendre compte de la scène qui ce passait sous ses yeux à présent remplis de larmes . Elle le sentait que c'était une mauvaise idée , après tout c'était évident que son camarade ne l'aimait pas et elle en avait la preuve sous les yeux .... Cette fille avait les lèvres posées sur celles de Louis . Quand l'un d'eux remarqua une présence la seule chose qu'ils virent était Cassie les larmes aux yeux qui partie en courant dans la forêt . Si elle avait attendue que quelques secondes elle aurait sût .... Sût que ce n'était qu'un malentendu et que son ami ressentait les mêmes choses pour elle qu'elle pour lui . Mais jamais elle ne le saura . L'épais feuillage de la forêt ne laissait pas passer beaucoup de luminosité , Rouge était là assise ce parlant à elle même . Cela faisait longtemps qu'elle était devenue folle , mais la elle ne ce contrôlait plus .... Et tout allait déraper .....
<< - Dis on pourrait faire quoi pour ce venger ? On pourrait la tuer ! Non ? Certe , mais elle doit souffrir ! Oui ! Énormément ! >>
Un rire à glacer le sang retentit et l'enfant ce mis à chantonner " les dents te seront arrachée lentement , les aiguilles viseront tes deux yeux et enfin tes ongles disparaîtront de tes doigts . Le tour du couteau arrivera , qui lentement te découpera puis arrivera ta mort ." Le soir arriva et l'enfant trouvit un moyend d'attirer la fille dans la forêt et l'assoma . Tout le reste ce passera dans un endroit non divulgué (nous ne voulons pas avoir de meurtre sur la conscience) . Rouge la faisait souffrir comme dans la petite chanson. À la fin ce n'était que des petits morceaux que Cassie jeta dans tout le village au moment où chacun dormait . L'enfant avait pris goût à cela , elle aimait l'odeur du sang , les cris poussés par ses victimes , la couleur du sang , les pleures des futurs défunts et aussi le rouge qui à jamais tâchera la robe blanche . Chaque soir un nouvelle victime , elle avait assassiné chaque personne du village les unes après les autres ...... La seule personne qui ne mourût pas fût Louis à cause de l'amour qu'elle ressentait'. Et cela même si elle avait deviné qui il était vraiment . Suite à cela Rouge partit et cherche toujours des victimes . Faites attention, elle est peut être plus proche que vous ne le pense . Et n'oubliez pas vous êtes peut être le suivant .
Voilà, c'est tout pour les résultats du concours. On vous dit à bientôt pour un nouveau concours ou dans la partie des EEF. On vous aime ♥
Date d’inscription : 22/04/2012 Messages : 2075 Puf : Teny | Tedderkopp Rang EÉF : Vétéran Âge : 24 Multi-comptes : Garden. - Enchantement des Anges. - Mélancolie des Oiseaux. - Nuage de Renard. - Valse des Papillons.
Théorie Obscure
Félin Légendaire
Mar 27 Oct 2015 - 14:09
Bravo à tous pour votre participation, j'promets que je prendrai le temps de lire tous vos textes un de ces jours :3 Et félicitations à Tigresse et à son immense talent ♥
Date d’inscription : 20/03/2015 Messages : 6142 Puf : power (lightning power). Rang EÉF : Guerrier Âge : 22 Multi-comptes : esprit du lion (t) + nuage du panda-roux (t) + cœur de louve (o)
Petite Luxure
Félin Légendaire
Mar 27 Oct 2015 - 17:14
Félicitations à tout le monde pour cette jolie participation ! La prochaine fois, je me la ramènerais aussi.
Date d’inscription : 22/11/2013 Messages : 3444 Puf : Twan ; Jeykill ; Fany Âge : 26 Multi-comptes : Petite Nébuleuse (♀) ; Nuage des Corneilles (♀) ; Odyssée du Lotus (♀) ; Petite Hirondelle (♀) ; Complainte du Léviathan (♂)
Am
Félin Célèbre
Mar 27 Oct 2015 - 17:42
Félicitations à tous les participants ! ( heureusement personne n'a essayé de détruire notre enfance avec le sens caché de cette histoire )
Date d’inscription : 05/09/2014 Messages : 959 Puf : Uwny(corne), Pie, Qwerti, Kinta Âge : 25 Multi-comptes : Overdose de Poison Chaman du Clan de l'Apothéose ( disparue ) - Nuage de Muscari, Apprenti du Clan du Tonnerre - Chauve-Souris, Guerrière du Clan de l'Ombre - Graine, Solitaire Vagabonde - Belladone, Bêta de la Horde
Nuage de Léopard
Félin Légendaire
Mar 27 Oct 2015 - 18:16
bravo tout le monde, vos textes étaient sensas'
Date d’inscription : 09/11/2013 Messages : 4915 Puf : caspian Rang EÉF : Légende Âge : 26
Source aux Fées
Félin Mythique
Mar 27 Oct 2015 - 20:49
Merci à tous et bravo Titi !
Date d’inscription : 20/07/2013 Messages : 5329 Puf : perlouu forever, arno, pillsnpotions. Rang EÉF : Guerrier Âge : 24 Multi-comptes : Source aux Fées (o) Nuage Nordique (r)
Nuage de Velours
Félin Connu
Mar 27 Oct 2015 - 21:40
Bravo à tous les autres participants et à Tigrou. Et merci.
Date d’inscription : 19/04/2015 Messages : 414 Puf : SKY ~ Kyky ~ Velouté ~ SKYOTTE Rang EÉF : Guerrier Âge : 23 Multi-comptes : Nuage de la Célestine - Nitescence Céleste.
Serres d'Aigle
Félin Célèbre
Mar 27 Oct 2015 - 21:43
Félicitations à tous ! Vos textes sont supers !
Date d’inscription : 20/07/2014 Messages : 891 Puf : Nounou Rang EÉF : Guerrier Âge : 22 Multi-comptes : Petite Victoire - Ombreuse
Quintessence d'Absinthe
Félin Célèbre
Mer 28 Oct 2015 - 13:04
[ Quand j'ai lu le titre, je me suis dit omg, du Sartre xD ] Bravo à ma petite Lala pour son texte, j'ai eu un coup de cœur pour ta plume ma poulette ** Mes compliments vont également à tous les auteurs des autres textes, j'ai vraiment pris plaisir à les lire, vous pouvez être fiers de vous ♥
Date d’inscription : 21/06/2013 Messages : 986 Puf : Levy, Em Âge : 25 Multi-comptes : Elyseum & Diaprure de l'Hespérie
Lubie Ésotérique
Administratrice persécutée par son correcteur
Mer 28 Oct 2015 - 13:57
C'est du super boulot, bravo à tous.
Date d’inscription : 24/10/2014 Messages : 1609 Puf : Apana Âge : 25 Multi-comptes : Nuage de la Lubie (o) ; Litanie Fauve (v)
Nuage Symphonique
Félin Légendaire
Mer 28 Oct 2015 - 17:25
Bravo à tous et félicitations Tigresse !
Date d’inscription : 30/06/2014 Messages : 1859 Puf : Drop Âge : 25
Danse de la Tigresse
Félin Légendaire
Sam 31 Oct 2015 - 14:02
Un grand merci à tous, je ne m'attendais vraiment pas à arriver en tête ! ♥ Je suis super contente que ça vous ait plut Félicitations aux autres participants ! Vos textes m'ont bien fait rire pour certains ( ) et j'ai beaucoup aimé leur originalité
Bravo tout le monde ^^ (surtout titi mais passons XD) la prochaine fois que je participe à un concours je le ferais pas seulement deux jours avant XD bon plus qu'à lire les textes ^^" .... Juste une question ^^" quels étaient les barèmes de notation ? (Je m'y prends un peut tard je sais .... Mais j'avais pas vu ! Et ça m'intrigue vraiment ^^")
Date d’inscription : 22/09/2015 Messages : 614 Puf : Perle/Perly/Dradra /ou autre à vous de choisir ^_^ Rang EÉF : Apprenti Âge : 21 Multi-comptes : Astre Écarlate , femelle , la Horde 12 lunes / Perle du Dragon, femelle , Tonnerre ,guerrière 52 lunes / Moquerie du Renard , Mâle, Vent, guerrier 29 lunes /Nuage de Séléné,femelle , Vent 11 lunes
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