La neige tombe, tombe et la neige tombait. ♪

La neige tombe de ciel de coton, les étoiles brillent. Ce monde est d'une beauté sans égale. Le petit flocon aux milles branches te rappellent cette pouponnière où ta mère te servais, elle te rappellent ce ventre chaud qui bien avant te gardait loin de froid. Tout est confus malgré que tu te souvienne, tout est confus car finalement toi même tu ne sais pas vraiment si ses souvenir son tien. Ton regard portant sur les petit tu cherche a comprendre pourquoi tu est mélancolique, adulte, on ne pense plus a l'enfance. Adulte, on ne prends plus le temps de savourer les souvenirs. Êtres adulte finalement représente une perte de lucidité. Tu voudrais bien passer plus de temps a penser. Mais tu ne peut pas alors tu quitte cette belle vue pour retourner a ton quotidien.

Doucement les odeurs de lait se dissipent dans cet air chargé de blanc, ce même air que tu respire depuis ta naissance, ce même que tu respireras jusqu'à ta mort prochaine. La vie est éphémère, elle ne dure que un certains temps, puis elle finie par disparaitre. Mais la vie n'est en réalité qu'un prêt, on pense que la vie est un cadeau mais en réalité il s'agit bien d'un prêt. Car, le moment venu, on la rends et nous mourrons. Pouvons nous appeler cela la mort ? Non. Plutôt pouvons nous dire que notre âme part loin, loin de ceux que l'on aime ou que l'on haït. Viennent alors les pleurs, cet océans de passion envers le mort (ou la morte).


Sur ce chemin de la vérité tu marche sans regarder, tu avances sans reculer, sans te soucier de rien. Seul dans cette immense forêt tu cherche le salut d'un vivant, d'un mort. La folie te guette tel un rapace voulant attraper sa tendre proie, la certitude d'être fort et libre te mène a ta perte. Mais en fait tu commence a te croire unique, tu commence a avoir l'espoir et a ce moment là une lumière te guide. La réalité

----------- Et le vent souffle, souffle et le vent soufflait ♪ ------------

La forêt finie par disparaître derrière toi, elle finit pas s'estomper de faire battre ton cœur encore faible. Faible a cause de la beauté qui consume ta haine. Tu marche dans cette neige qui craque sous tes pas, cette consistances qui fait un bruit doux et étrangement présent. Cette présence qui dérange ton oreille, faussant tout tes "calculs". Tu soupire en ignorant ce qui se passe mais tu ne peut oublier cette neige qui te tire de tes pensées. Les oiseaux qui ne chantent plus a cause de froid, les proies qui ne sortent plus a cause de l'hibernation ou bien la mort encore. Mais un de tes sens est encore en éveil. Il se nomme : L'ouïe.

Fine comme le cri d'une chouette et perçant comme une griffe, se sens malgré qu'il soit dérangé par la neige est toujours au affut grâce a celle ci. Tu peut rapidement venir voir un adversaire sans pour autant le voir de tes yeux, la vue elle étant obscurcie par ce blanc. Ce même blanc qui détraque chacun de tes sens les plus développer. Mis a par l'ouïe. Alors tu voudras que la nuit tombe pour que cette blancheur finissent de briller, mais ce soleil de plomb reste haut et n'en finit pas de luire. Cette fois si tu te réveille car quelques choses approche.

S'est un chat, tu ne cherche pas a la connaître, tu ne cherche par a savoir si il est bon ou mauvais. Ton instinct te guide vers lui et tu le salue d'un vif geste, d'un geste lent et purement franc. Après avoir montré ta dignité tu te surprends a lui parler sur un ton calme. Tu n'a pas peur.