Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
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▬ Face à face avec... moi-même. ▬ 2° épreuve de l'EVENT
Invité
Invité
Ven 10 Aoû 2012 - 10:23
Je vais vous raconter une histoire étrange. Oui, étrange. Tout comme moi. Et cette histoire, c'est la mienne. Dans cette histoire, je vais tout vous détailler, absolument tout. C'est une aventure ; ou plutôt une épreuve qui m'est arrivée. Et cette épreuve, j'ai eu du mal à être face à face avec elle, pour tout vous dire. Mais je ne vais pas non plus vous raconter tout ce vous devez découvrir.


Tout a commencé par une journée qui déjà faisait déprimée la moitié des chats de la forêt. En réalité, ils détestaient tous la pluie et les nuages. Le mauvais temps moi, je l'adorais car cette ça dégageait toute la négativité qui était en moi. Enfin, c'était un peu comme si je me trouvais dans mon univers. M'avançant dans le gîte des guerriers le plus doucement possible pour ne pas réveiller les chasseurs, j'écoutais les clapotement des gouttes de pluie s'écraser contre le sol de la forêt. Pourquoi tout le monde détestait ce temps. Dehors, tout le monde était d'humeur mélancolique et agacée. Mais moi, j'avais l'habitude de ceci car mes traits de caractère étaient vraiment tous négatifs, sauf quelques uns... Enfin bref, je me déplaçais avec lenteur et négativité, comme le faisaient tous les guerriers, chatons et apprentis qui détestaient la pluie. Mon pelage avait beau être déjà trempé, j'aimais ça plus que tout au monde. Les oiseaux chantaient, heureux. D'ailleurs, ça m'étonnait beaucoup que les volatiles aient le temps de piailler par ce temps ! Mais bon, cette remarques était bien la dernière des choses à laquelle je devais faire attention. Je n'avais aucune envie de travailler ce jour-là et avais décidé de m'éclipser discrètement pour éviter que l'on me surprenne à ne rien faire. Si un guerrier quelconque me surprenait à roupiller, il me chargerait de travail et je rentrerais épuisé, comme d'habitude. Je n'en avait aucune envie ! Je sortis donc du camp le plus vite possible en courant vite, telle une flèche lancée par un professionnel. Une fois dans le tunnel, je me rendis compte que personne ne le gardais, mais les guerriers passaient ici avec méfiance, au cas où. Restant sur mes gardes au cas où quelqu'un me surprendrais, je me fondis dans les broussailles de couleur sombre et m'avançais en faisant le moins de bruit possible, même si ce n'était pas gagné. Les épines s'accrochaient à mon pelage, mais je me retenais de gémir pour ne pas attirer l'attention de la patrouille de midi, qui partait justement. Si ils me repéraient, j'étais cuit car j'allais devoir participer à cette patrouille. J'avais décidé de ne plus bouger, immobile telle une statue. Après avoir échangé quelques mots entre eux, les chats participants à la patrouille s'en allèrent pour faire le tour du territoire tranquillement, mais énervés par ce jour de pluie. Malgré les ronces me transperçant le corps douloureusement, j'avançais sans me plaindre, me disant que je serais bientôt à l'abris, tranquille à roupiller pendant que les autres se tuent à la tâche. Mais je n'allais pas rien faire de mon temps et abandonner les autres comme ça. Oui, je comptais chasser le plus de proies possible pour en ramener au camp. Les boules de mousses remplies d'eau n'étaient pas vraiment nécessaires vu les grandes flaques qui gisaient au sol. Même un chaton aurait pu se noyer dedans tellement elles avaient l'air profond ! Je ressentais un peu de culpabilité et un pincement au cœur. C'est vrai que laisser les autres travailler alors que moi j'allais rester tranquillement dans un endroit calme n'était pas dans mes habitudes, mais on avait déjà tous fait ça dans sa vie non ? Il était temps de trouver un endroit qui serait à la fois pratique, désertique et abondant de gibier pour chasser facilement tout en respectant le code du guerrier, qui indiquait de ne pas chasser sur les territoires des autres Clans. Les Quatre Chêne ! Aussi pratique que désertique. Tout d'abord, je pourrais m'abriter sous l'un des quatre arbres pour me protéger de la pluie. Ensuite, les proies y sont nombreuses, ce qui me permettrait de chasser facilement, sans se tuer à la tâche comme le faisaient déjà les autres en ce moment-même. Si je voulais chasser assez de proies tout en me la coulant douce, je devais me dépêcher pour que mon excuse soit crédible.
Anonymous
Invité
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Ven 10 Aoû 2012 - 11:25
Il était temps de trouver un endroit qui serait à la fois pratique, désertique et abondant de gibier pour chasser facilement tout en respectant le code du guerrier, qui indiquait de ne pas chasser sur les territoires des autres Clans. Les Quatre Chêne ! Aussi pratique que désertique. Tout d'abord, je pourrais m'abriter sous l'un des quatre arbres pour me protéger de la pluie. Ensuite, les proies y sont nombreuses, ce qui me permettrait de chasser facilement, sans se tuer à la tâche comme le faisaient déjà les autres en ce moment-même. Si je voulais chasser assez de proies tout en me la coulant douce, je devais me dépêcher pour que mon excuse soit crédible. Je me mis donc en route vers les Quatre Chênes, l'endroit que j'appréciais beaucoup car il était très calme, voir trop calme. C'est vrai que c'était inquiétant parfois, mais je ne craignais pas la peur. Du moins, c'est ce que je croyais jusqu'à aujourd'hui. Marchant à pas assez rapides pour ne pas me faire prendre, je décidai soudainement de marcher le plus doucement possible pour apprécier le bruit et le parfum de la forêt. Pourquoi jamais personne ne m'avais parlé de ça, de profiter de la vie au lieu d'être à cheval sur les règles du code du guerrier ? Jamais on ne m'avait prévenu du bonheur que pouvait pour apporter la forêt. Pour une fois, les gazouillements des oiseaux ne me déplaisaient pas, mais j'appréciais plus que tout le bruit de la pluie, des gouttes d'eau dévalant les feuilles des arbres qui m'entouraient. J'avais l'impression de me trouver au centre d'un ruisseau dévalant une falaise, nageant dans le bonheur. C'était le paradis... pour moi. Malheureusement, les autres ne partageaient pas mon avis là-dessus car ils pensaient que la pluie était signe de mauvaise humeur, de négativité. D'ailleurs, c'est ça que je ne comprenais pas : pourquoi tous les chats de la forêt détestaient tant la négativité ? Enfin, je voulais dire qu'il 'n'y avait rien de mal à apprécier la mauvaise humeur... Certes, cela pouvais un peu gâcher l'ambiance des autres, mais moi, j'aimais la mauvaise humeur et je l'assumais entièrement, avec ou sans reproches. Enfin bon, je devais arriver aux Quatre Chêne au plus vite, donc je me mis à accélérer le pas pour ne pas me faire prendre par un guerrier, voir pire, notre lieutenant ! Il fallait à tout prix que je me grouille... Mon pelage noir se mit à onduler par la force du vent. Courant à toute allure, j'espérais arriver aux Quatre Chêne le plus rapidement possible sans que quelqu'un me voit aussi paresseux. Vraiment, quelle honte si quelqu'un arrivait à me surprendre... Certes, je travail bien les jours de soleil; je bosse même comme si je vivais mon dernier jour. Mais là, c'était différent parce qu'il pleuvait et que je voulais profiter de cette magnifique journée. Décidément, ce que les Quatre Chênes pouvaient être loin ! Mes pattes en étaient déjà endoloris. Mais je n'abandonnerais pas mon idée, surtout que j'avais déjà fais les trois quarts du chemin.


Une fois arrivé à l'endroit précis, je sentis l'odeur du gibier. Je me demandais comment de si petites proies arrivaient à ne pas se noyer dans les flaques. J'imaginais l'horreur que pouvais ressentir une souris, ou encore un mulot quand il apercevait un chat et qu'il gardait l'image d'une pattes ornée de griffes en tête avant de mourir. Cela devait être affreux, mais chacune de ses proies aidait un chat en difficulté. Affamé, je courus en direction des Quatre Chênes à toute allure. Je m'approchais de plus en plus vite. L'endroit était entouré de buissons assez bas que je pus sauter assez facilement avant d'atterrir à l'endroit précis. Enfin, j'y étais ! Au moins, la patrouille croisée un peu plus tôt ne me trouvera pas ici étant donné qu'elle faisait uniquement le tour de notre territoire. Par chance, je ne les avais pas croisé. Mais devant moi se trouvait un chat ressemblant comme deux gouttes d'eau à... moi ! J'étais complètement choqué. C'est vrai quoi, vous vous retrouvez souvent face à face avec vous-même ?
Anonymous
Invité
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Ven 10 Aoû 2012 - 21:22
Surpris, voilà ce que j'étais. C'est clair que cette évènement n'arrivait pas tous les jours. J'allais tombé dans les pommes tellement j'étais choqué. Peut-être que finalement, j'allais faire demi-tour et retourner me coucher dans la tanière des guerriers pour me reposer un peu car il semblerait que j'étais pris d'un mal de tête me donnant de grandes illusions un peu... étranges. Apparemment, je ne rêvais pas parce que mon double me lança :

« Bonjour, Comète Sidérale... »

Ces paroles avaient été lancées très froidement, se qui me fit frémir. Pourquoi mon double parlait aussi froidement. Mais étais-je vraiment aussi... désagréable ? Enfin bon, qu'est-ce que mon double faisait ici ? Mais ce n'était pas le plus étrange, car le paysage autour de moi devint floue. Pourquoi tant de froideur ?...

« Bonjour. Que me veux-tu et que fais-tu ici ?
- Je suis ici pour t'anéantir. »

Oh ! Quelle magnifique déclaration il m'avait fait ! De plus en plus étrange cette histoire... M'anéantir ? La question que je me posais à partir de ce moment était "Pourquoi ?". Je ne voyais pas vraiment l'intérêt de me faire disparaître de ce monde. Peut-être était-ce une illusion envoyé par le Clan des Etoiles pour m'avertir. J'étais une tâche envahissant la forêt et encombrant le camp pour rien. Pourtant, je travaillais beaucoup les autres jours. Le code du guerrier ne permettait-il pas un jour de repos ? Apparemment non, puisque ce chat était là pour me tuer. De toute façon, il ne s'en sortira pas si facilement parce que je suis un excellent guerrier. Du moins, c'est ce que je pense. Alors que je commençais à sortir les griffes, ma doublure m'avertis que ce n'était pas la peine.

« Non non non. Ce n'est pas de cette façon que je vais m'y prendre... »

Ah bon ? Et comment comptait-il s'y prendre pour m'anéantir sans utiliser la violence. Tout mon courage et ma loyauté se trouve dans le combat, la force. C'est d'ailleurs ce qui prouve à un guerrier qu'il est puissant. Mais y avait-il seulement cette force-là pour anéantir les gens ? Au début oui, je croyais que seule cette force existait. Le combat était pour moi la seule puissance possible pouvant aider les guerriers dans la forêt. Son ton me fit frémir de nouveau. Je comprenais maintenant pourquoi les guerriers de tous les Clans me trouvaient désagréable. Parce que si j'employais ce ton à chaque fois que je m'adressais à quelqu'un, c'est qu'il devait avoir drôlement envi de m'étrangler... ou de fuir.

« Alors, ça t'amuses d'être une tique sur la patte du monde ? »

Comment ça une tique sur la patte du monde ? Non, c'est faux, j'étais un bon guerrier et j'ai toujours fais de mon mieux pour aider le Clan de l'Ombre. J'ai toujours respecté le code du guerrier, comme on me l'avait enseigné dès mon plus jeune âge, quand j'étais apprenti. Jamais je ne ferais honte à mon Clan. Tous les guerriers de la forêt entière le savent aussi bien que moi. Ce n'était d'ailleurs pas comme ça qu'il arriverait à m'anéantir. Enfin, c'est bien ce que je croyais.

« Ne fais pas l'innocent. Un jour, ton Clan mourra de faim par ta faute ! Tu fais honte à tous... »

Jamais je ne m'avouerais vaincu par mon propre moi ! Enfin, cette doublure était bien moins agréable que mon vrai caractère. Quoique... Je n'ai jamais vraiment fais attention à mon comportement et mes relations envers les autres chats que je croisais au quotidien. Si j'étais si désagréable, je changerais aussitôt de comportement ! Je n'allais quand-même pas affronter les reproches de mon double sans ne rien lui dire. Surtout qu'honnêtement, ces mots me blessaient profondément. Un pincement au coeur commença à envahir ma poitrine. Mais il ne gagnerait pas ce qu'il voulait ! De toute façon, je ne voyais pas vraiment pourquoi il tenait absolument à m'anéantir... Ne pouvant plus supporter ses reproches, je lui bondis dessus, mais il m'esquiva d'un déplacement gracieux. Là, je devais dire que j'étais réellement impressionné, puis me rendis compte qu'il était moi-même, donc qu'il connaissait exactement toutes mes techniques. Donc il avait bien raison, c'était impossible de nous vaincre par la force et la combat.... Qu'allais-je faire ?
Anonymous
Invité
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Ven 10 Aoû 2012 - 22:19
« Pourquoi ne m'écoutes-tu pas ? Tu devrais partir loin d'ici et te laisser mourir seul, comme ça le monde sera débarrassé de toi ! »

Mais vraiment... Je commençais à me senti minable, nul, ridicule. Était-ce vrai ? J'étais vraiment un chat qui faisait tâche à mon Clan ?... Apparemment, il avait raison. Comment cela se faisait-il qu'il connaissait toutes mes faiblesses ? Mais que j'étais idiot ; nous étions les mêmes, mais lui en plus méchant et égoïste. Par conséquent, je n'avais aucune chance contre lui, et lui non plus. Sauf que lui, il savait blesser avec les mots et c'était une chose que j'étais incapable de faire. Peut-être que si je l'ignorais un peu, il me lâcherais... Mais quoi qu'il en soit, j'étais fichu car je ne pouvais pas finir vainqueur. Il pouvait anticiper chacun de mes mouvements, mais moi aussi. Ce qui était autant un avantage qu'un désavantage. Les mots qu'il me lançait me faisait vraiment de l'effet négatif, mais j'essayais de tenir, même si je savais que je ne ferais pas ça très longtemps. Si ces mots continuaient à me toucher sérieusement, je finirais par mal tourner et décider de me détruire tout seul. D'ailleurs, c'est ce qui fini par arriver. Ne pouvant plus supporter ces longues paroles insupportables et vexantes, voir très agressives, je me mis à voir floue à travers mes larmes. Oui, même les guerriers les plus forts pouvaient pleurer. C'est ce que j'ignorais jusqu'à maintenant. Jamais quelqu'un ne m'avait mis en larmes de cette façon, comme ça quoi. C'était affreux, je ne voyais que la silhouette de cet être sanguinaire qui se dressait devant moi, en riant méchamment. J'avais le coeur pincé et je ne pouvais plus tenir. Mes pattes se mirent à avancer toutes seules et je m'échappais. Courant à travers la forêt comme un fou, les yeux en buées, ne sachant pas où j'allais. Seul mon instinct et mes moustaches frémissantes me guidaient à travers la forêt, où j'allais me laisser mourir pendant mes derniers jours. Puisque j'étais si inutiles, je m'en allais pour toujours, où personne ne me reverrait jamais. Peut-être que je m'étais abaissé à son niveau en répondant à ses horribles paroles, affreuses même. Au moins, mon Clan verrais que je serais parti pour leur bien, puisqu'un guerrier inutile n'a rien à faire ici. Soudainement, je m'arrêtais net. Qu'est-ce que j'étais en train de faire ? M'abaisser à son niveau. Et ça, c'était ce qu'un guerrier lâche aurait fait. Mais là, je n'en étais pas un, et je n'en serais jamais un. Si j'avais atterris ici, c'était pour une bonne raison : aider, protéger et nourrir mon Clan, prendre soin de lui. Et je le ferrais jusqu'à ma mort. Cela, personne ne pourra me l'enlever, tout ce que j'aime. Je fis demi-tour et retourna aux Quatre Chênes. Il voulait me voir sombrer, il allait me voir sombrer. Enfin, lui-même sombrera dans le néant, puisqu'il est ma copie. Arrivé à l'endroit précis, il était toujours là.

« Et oui, à quoi tu t'attendais ? lui lançais-je, triomphant.
- Et bien, à ce que tu t'enfuis minablement comme tu étais en train de le faire.
- Jamais je n'abandonnerais mon Clan, même si une crapule comme toi me le disait »

Il voulait jouer au plus malin, on allait jouer. Mais... à ma façon cette-fois là. Si il croyait être le seul à pouvoir me faire du mal, le chat se trompait bel et bien. Même si je ne savais pas aussi bien me débrouiller que lui au niveau de la méchanceté, il aurait quand-même son compte et je finirais coûte que coûte par le faire retourner d'où il vient, lui !

« Si tu te crois utile, tu te trompes. J'imagine que tu sors de ton troue à rat dans l'unique but de m'anéantir. Et bien tes paroles ne font que prouver ton niveau de maturité mon gars... »

Sur ces mots, je lui avais tourné le dos, puis m'étais avancé doucement dans la forêt, rejoignant mon camp au plus vite pour aller aider mes camarades qui étaient en train de se tuer à la tâche pendant que moi je me battais contre mon destin. C'est ainsi que se déroulera ma vie tout au long de mes aventures. Des épreuves et parfois une réussite. La défaite n'est bien sûr pas rare, sinon, la vie serait trop ennuyante.
Anonymous
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