[size=18]Vent des Lymbes a vingt-trois lunes et c'est un mâle. Ses origines sont sauvages et il désire ardemment de devenir le lieutenant de son Clan, le Clan du Tonnerre.
C'est un très beau chat puissamment battit et conscient de ses charmes il sait en jouait. Son pelage gris bleu très clair presque blanc à beau être court il est plus doux que la soie. Quand il sort de l'eau ruisselant on dirait un titan sortant de l'océan. C'est un chat qui est très grand au poitrail imposant, au épaules larges. Dont les muscles sont noueux et puissants. Mais cela ne l’empêche pas d'être rapide, silencieux et surtout mortel. Ses grandes pattes lui permette de faire des bonds de 2m environ. Et ses griffes recourbées et aiguisées comme ses crocs sont plus que dangereux. Sa queue est longue et plus fournie que le reste de son corps. Il a beaucoup de cicatrices, mais cela n'altère pas son charme loin de la...
Il est gentil, Compréhensible, adorable et discret il est un ami de choix. Mais ses nombreux défauts et le fait d'avoir tué un chat à 5lunes décourage les autres. Il a très peu d'ami(e)s mais ceux qui le sont, sont Vraiment des félins sur qui il peut compter à tout moment. Son humour est inexistant et il prend donc presque tout au 1er degré. Ce qui le rend très apte à la bagarre et même si il est le lieutenant il est assez jeune et comme tous les jeunes aptes aux bêtises. Elles ne sont jamais grave car pour ce qui concerne sa Tribus il est très strict ce qui en fait un bon arbitre. Juste et loyal. Mais il est aussi solitaire et taciturne, il n'est pas toujours très sociable. En colère il est dangereux. Il porte la poisse et sème la mort en marchant.
Il a beaucoup de qualités :
• Très Bon Combattant,
• Chasseur Expert,
• Ambitieux,
• Respecte le Code,
• Enseigne très Bien,
• Loyal.
Mais également beaucoup de défauts :
•Colérique,
• Méchant,
• Désagréable,
• Impatient,
• Intrépide
Son histoire n'est pas très joyeuse mais il y tient, c'est sont passé, ses origines :
Premier Jour :
Je ne sens plus mes pattes, elles sont trop lourdes... je suis seul... tout seul... je voudrais m'allonger dans la neige, dans la tempête... dormir sans jamais me réveiller. Maman, Papa pourquoi ?... Je laisse mes souvenir afflué dans ma tête, les laissant tout envahir... Ma mère si douce et si Aimante, mon père si taciturne mais si gentil, leur amour pour moi... Tout a était détruit... par qui ? Par eux... eux... que je traque en ce moment même... eux... que je hais de toute mes forces... eux... que j'ai vu pencher sur leurs dépouilles. Je ne sais pas pourquoi ils les ont tués... Mais je sais que sa avait un rapport avec moi... Je lèche mon flan transi couvert du sang de mes protecteurs... Le jour passe, le soleil déclin et je marche je marche sans arrêt dans la tourmente... Il neige, et dire que mon premier hiver se passe sans la douce et rassurante présence de mes parents. La nuit est là. Je regarde autour de moi. Mon regard couleur du ciel tombe sur un trou dans un arbre. Grâce à mes griffes je m'agrippe sur l'écorce et monte. Je découvre une petite famille d'écureuils. Je n'ai pas le courage de les tuer. Affolés ils se réveillent. Je ne fais aucun mouvements menaçant. Je me contente d'entrer dans leur nid, de me rouler en boule et de m'endormir. Dehors le vent siffle et la neige vole.
Deuxième Jour :
Je suis réveillé par un mouvement contre mon flan. J'ouvre difficilement les yeux pour découvrir le couple d'écureuils qui vraisemblablement avait comprit que je ne leur voulais pas de mal. Ils avaient dormis contre moi. Je ne risquais pas de les écrasé j'étais à peine pour gros qu'eux. Ils m'avaient chauffés pendant toute la nuit. Le mâle, sur le rebord du trou sauta. Je le suivis à l'extérieur. Passant de la douce chaleur du nid à la froideur d'un matin hivernal. Le soleil, haut dans le ciel brille intensément. J'ai dormis longtemps. Je suis l'écureuil et celui-ci me mène à une de leur cachette. Il déterre des noisettes et des glands. Les décortique et les fait rouler vers moi. Effaré je le regarde et me dis qu'ils n'étaient pas si stupide qu'on le disait. A cet instant je sus que jamais plus je ne mangerais d'écureuil. Ces graines n'étaient pas si mauvais finalement. Une fois ma ration fini je lui léchais le dessus de la tête et partis d'une bonne patte. Le nez au vent je suivis la piste de mes parents. Je marche jusqu'au soir. Les glands et noisettes me paraissent très loin. Je trouve un moineau rachitique et le croque à belles dents. L'estomac un peu rempli je me mets en quête d'un abri pour la nuit. La chance me sourit car je trouve rapidement un terrier qui avait dû appartenir à un lapin. Je me blottis à l'intérieur et m'endors rapidement. Des cauchemars viennent me tarauder toute la nuit. Je dors mal.
Troisième Jour :
Le matin je suis réveillé en sursaut par en énième cauchemar. Au dehors une mauvaise surprise m'attend. La neige est devenu glace. Mes griffes saignent à force d'essayer de m'empêcher de déraper. Les paysages se mélangent dans ma tête. Je ne sais plus ce que je dois faire à part continuer de traquer les meurtriers de mon Père et de ma Mère. Le soleil tape. Mais le froid reste mordant. Mes coussinets se fendillent et me font souffrir. Parfois je tombe. Mais toujours je me relève. Je dois avancer. Pour eux. Pour mes parents. Pour leur mémoire. Je dois et je veux les venger. La nuit tombe rapidement et moi je m'écroule de fatigue devant les racines d'un arbre. Sans prendre le temps de chercher à manger ou de panser mes blessures je me glisse sous les racines et m'endors. Toujours les même cauchemars. Encore une mauvaise nuit.
Quatrième Jour :
Les rayons du jour se glissent dans les racines de mon abris. Encore une fois je me lève à l'Aurore. Pendant toute la journée je marche. Mon souffle est rauque... mes pattes plus lourdes que jamais elles ne l'ont étaient... Mon cœur pas trop vite... il faut que je dorme les ténèbres son là. Je trouve un buisson plein d'épines, je me glisse dessous... lui laissant au passage quelques touffes de poils gris clair et rouge... Je veux dormir, mais d'abord faire une toilette digne de se nom... Je lèche mon flan... Bientôt il ne reste plus rien... Puis me roulant en boule, je m'endors... Les souvenirs de la mort de mes parents reviennent me hanter comme toujours depuis cette soirée maudite. Je geins dans mon sommeil.
Cinquième Jour :
C'est le matin. Je marche depuis un moment. L'odeur est là toute proche...comme mon but. Je la suis et je découvre que les assassins de mes parents sont deux chats errants. Ils chassent, je dois faire comme eux avant de les affronter... sinon je vais m'écrouler avant d'avoir pu leurs infliger la moindre blessures... Pour diner j'attrape un lièvre. Pas un petit non, un bon gros lièvre, que je suspecte de s'être échapper d'un nid de bipèdes. Grâce a lui je repris des forces... Je m'approche de leur clairière, je les détaille, poils raides, poisseux a cause du sang qui avait coaguler sur leurs blessures. Muscle saillants mais puissants. Ce qui me frappe le plus fut leur regard, c'était un regard cruel, un regard qui pose sur les autres une marque qui vous souille... Je sorti de ma cachette en frissonnant et je clama haut et fort:
«-Assassins, meurtriers !!! Venaient m'affronter que je vous mettes en lambeaux !!!L'étonnement les figea un instant, mais très vite ils se reprirent.
-Tiens, mais qu'avons nous là ? dit l'un d'eux, un chat noir, massif.
-Une petite friandise... dit l'autre, un gris, efflanqué.
-Moi ce que je vois ce sont deux biles de souris immondes !!! crachais-je.»
Ils se consultèrent un instant du regard, puis me sautèrent simultanément dessus. Je les esquivais en passant d'un bonds au dessus d'eux, puis d'un coup de crocs je mordais l'épaules de l'un tandis que je griffais le dos de l'autre. Ils poussèrent un miaulement de douleur. Le noir me griffa le flan, tandis que le gris me loupa. Furieuse je sauta a la gorge de celui qui était la cause de ma douleur, je resserrais l'étau de mes crocs autour de son cou, un gémissement...une supplique...je fais la sourde oreille...un bruit de combat...un bruit de cavalcade...Il me griffe le ventre, je resserre, il se débat de moins en moins...ses mouvement se font de plus en plus faible...ont me saisi la peau du cou. Ont me dit de lâcher. Je m'énerve, non mais pour qui ils se prennent, c'est un assassin !!! Sous la fureur je serre encore plus et les mouvement cesse, ce n'est plus qu'un corps flasque, sans vie. Je le lâche enfin, je lève les yeux six chats son devant moi...L'un d'eux, le chef je paris me demande :
«-Tu regrettes ?
-Quoi ? Sa mort ?dis-je dédaigneux.
-Oui.
-Non.
-Tu es sûr ?
-Oui, c'était l'assassin de mes parents, si j'avais pu j'aurais tué l'autre aussi.
-Veux-tu faire parti de ma Tribu, la Tribu du Tonnerre ?
-..., je réfléchie un instant,
Oui.
-Très bien, quel est ton nom ?
-Lymbes.
-Tu a quel âge ?
- Cinq lunes, il me regarde surpris.
-Ah...Très bien.
-Étoile Noire, nous devons y aller...dit une jeune et belle guerrière...qui je le saurais plus tard causerais ma perte et ma renaissance...»
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