Le concept du forum se base directement sur le roman La Guerre des Clans d’Erin Hunter. LGDC Warriors dit « LW » a été fondé en 2007 par Étoile Noire, et il continue aujourd’hui de vivre grâce à ses infatigables membres toujours aussi déjantés ! Incarne un chat sauvage et rejoins l’un des quatre Clans de la forêt de Cerfblanc. Quel que soit ton choix, sois prêt à te battre pour ta tribu, chasse pour elle, rencontre les autres félins et marque de ta patte l’histoire des Clans ! LGDC Warriors est un forum RPG félins qui demande un minimum de 7 lignes par réponse. N’hésite pas à profiter également de la Chatbox et des différentes catégories hors-rp que propose le forum. Rejoins-nous vite, tu ne le regretteras pas !
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I'm an anti-social anarchist dyslexic so and so ... [ Sable ]
Invité
Invité
Jeu 13 Oct 2011 - 18:08
    And I'm a phoney in disguise,
    Tryin to make the radio,
    I'm an anti-social anarchist dyslexic so and so,
    They say I'm just a stupid kid,
    Just a crazy radical,
    Rock and roll is dead I probably should've stayed in school


Ses yeux arpentèrent le lieu : le monde lui appartenait. Comme le roi qui déambule dans son château, il évita les vieux morceaux de verre jonchant le sol. Il dansait. Un sourire supérieur aux lèvres, le félin entamait une valse lente et rythmée, comme un jeu. Ses pattes se posaient avec douceur par terre. Il était silencieux comme la chouette en plein vol. Beau. Parfait. Son sourire s'étira. Oui, le monde lui appartenait. Il en était le seul souverain, observant la petite gent de son trône. Ils étaient tous détestables. Les femelles étaient d'horribles créatures, et les mâles ne valaient pas beaucoup mieux que ces dernières. Il aurait voulu pouvoir les balayer, simplement en fermant les yeux. Mais non, ces ... choses habitaient le monde. Et même si il l'avait voulu et qu'il était exceptionnel, il ne pouvait pas se défaire du divertissement que ces animaux lui procuraient. Voir leur mine déconfite, incompréhensive, piquée au vif ... Il rentra légèrement la tête dans les épaules avant d'émettre un long soupir joyeux. Il aurait été fou de se priver de tous ces bouffons. Ce n'est pas parce qu'on est roi qu'on n'a pas le droit de s'amuser.

Un nouveau pas de danse. Nouvelle esquive aux perfides éclats de verre. Nouvelle démonstration de sa grâce. Il était un acteur, qui ne cessait de prendre le monde pour un immense théâtre où il se représentait sans cesse. Valse se trouvait juste merveilleux. Un instant de mélancolie le prit. Son regard se perdit dans le vague. De lointaines pensées l'effleurèrent, comme la brise fraîche des durs étés. Il secoua légèrement la tête. Pourquoi penser ? Les pensées n'avançaient à rien, dans la vraie vie, seuls les actions étaient perçues. On ne se souciaient guère des mœurs, de nos temps. La mélancolie. Ah, qu'il haïssait ce sentiment ! Ce mélange doux-amer des souvenirs d'un temps révolu, qui ne faisait que plonger plus encore dans ce qu'on devrait laisser derrière nous. Il eut un geste d'agacement.Nouvelle esquisse. Sa patte évita la pointe du verre dans un geste fluide et élégant. Et la compassion ! Ah, n'en parlons même pas. Valse trouvait ce sentiment tout simplement écœurant. Ce pseudo et hypocrite partage de tristesse ... Que diable, que les êtres se débrouillent seuls ! La compassion est un sentiment de faibles. Et il n'était pas faible. Il haussa de nouveau les épaules.

Curieux, il promena sa patte sur le côté tranchant du verre. Un trait fin et propre se dessina sur son coussinet. Il fronça les sourcils. Quelques gouttes écarlates s'en échappèrent. Un souvenir le frappa à cet instant même.

« Alors ... on va décrocher les étoiles. »

Ses pupilles s'étrécirent. Il ferma le yeux, avec douleur. Non. Il ne fallait plus qu'il pense à elle. C'était fini. Fini. Il la détestait. De tout son cœur. D'un geste rageur, il envoya balader l'éclat de verre coupable, ce qui ne fit qu'accroître l'ampleur de sa blessure. Il murmura des injures avant de s'adresser brièvement à lui-même, d'un air exaspéré.

« Quel idiot ... »

Il s'assit et commença à lécher la plaie, reprenant bien vite une position avantageuse. Il ne devait plus penser à son passé. Plus penser à cet amour perdu.
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 13 Oct 2011 - 19:59
La valse de ta vie



Danse, danse petite fleur.
Ecoute le son de la rosée du matin,
Un silence assourdissant de bonheur.
Danse dans cette jungle humaine.
Suis la mélodie qui t’envoute et te réveil.
Tu es la fleur du matin,
Celle qui valse à quatre temps,
Toujours décalé, dans ta vie et dans tes rêves.



Tu recules et avances, dans le rythme de ta vie. Les paroles de la forêt te murmurent des mots magiques et féeriques, elles sont douces harmonique. Elles glissent sur ton corps tel des plumes qui s’envole. Tu t’imagines face aux grands bleus. La marée t’éclabousse et l’écume t’ensorcèle. Cette écume magique comme de la mousse. Elle s’envole dans tes pensées. Elle caresse ton visage vieillit par le temps. Ce paysage tu ne la vue que dans tes rêves, mais ils sont si réelle pour toi. Ton envie d’aller là-bas, loin isoler, enfin seul. Un monde sans crainte, sans dégout, sans moquerie. Un lieu où tu sens libre, et non pas contrôlé par une planète maléfique. Cette endroit dont tu rêve tu ne le verras jamais, mais tu le sais au fond de toi qu’il existe peut-être qu’un jour tu trouveras un lieu semblable, mais dans combien de temps. Est-ce une question de jours ? D’années ?






Alors tu penses à d’autres choses. Tu regardes devant toi, loin. Une forme se dessine. Ce lieu te rappelle des souvenirs. Tu pleures. Oui ce lieux si magique, à transformer ta vie. Elle l’a redessiné grâce à un chat. Ce chat tu rêves de le voir tout les jours mais il est impossible pour toi de le faire. Deux rôles différents mais qui sont tellement opposé que tu ne pourrais vivre. Alors tu fais avec même si ton cœur ne supporte qu’à moitié. Tu rentres à l’intérieur. Presque aucune différence à part le sol qui était si léger si agréable, n’est devenue froid, dur et rugueux. Des petits carrés transparents sont éparpillés un peu partout. Un risque à chaque petit pas. Puis tu ressens une odeur, nouvelle. Tu entends aussi des cris. Non pas ceux de la forêt mais d’un des tiens. Enfin, de ta race. Surement un autre clan. Il fallait être sur ses gardes. Tu vois un corps, musclé, c’est un mâle. Tu as peur, un chat mâle d’un autre clan ne t’inspirait pas du tout, mais il te fallait rester oui, une lueur dans ton esprit te le dit.






Tes regards et tes pattes avancent. Non pas avec la même grâce qu’au début. Tu es droite et on souple. La valse de la vie t’a laissé. Tu vois un regard, il te fixe. Tu as peur. A près quelques minutes de réflexion tu vois que ce chat est blessée, il ne peut rien te faire, une chance. Alors tu vas le voir de plus près. Son regard brille, sa patte est blessé, il veut de l’aide. Tu le regard avec compassion. Tu lève la tête, le ciel est gris, et la pluie tape sur ses carreaux de verre. De tourte façon tu n’as pas le choix, autant le soigner que de passer un mauvais quart d’heures sous la pluie. Tu essaie de parler, aucuns mots ne sortent. Que se passe t-il ? Le temps s’est il arrêter ?
Anonymous
Invité
Invité
Mar 25 Oct 2011 - 20:04
Il frissonna. Il faisait froid, aujourd'hui. Il ne s'en était pas rendu compte plus tôt, mais le contact de sa patte meurtrie avec le verre glacé le fit se rendre compte de cette atmosphère glaciale qui l'enveloppait. La pluie tomba dru. Le félin s'abrita sous des vitres qui n'avaient pas été brisées. Son abris de fortune ne le protégeait guère. Mais mieux vaut cela que rien. Ses yeux se perdirent dans les cieux. Il songea en penchant la tête sur le côté si l'hiver devait être considéré comme une mauvaise saison. Une saison mauvaise, qu'on devrait éradiquer si on en avait le pouvoir. Il pensa avec un demi-sourire que c'était malgré tout une très belle saison. La reine blanche s'échouait sur le sol dans un silence inné. A son contraire, l'automne était une saison détestable, où tout était détrempé par la pluie quasi continue. Et les feuilles qui se mourraient, n'offrait qu'un spectacle d'agonie de la nature. L'hiver représentait plutôt le repos. Quelque de calme, doux et paisible, même si elle était pour les chats synonyme de famine et de maladie. Valse aimait l'hiver. Il aimait la reine blanche qui gouvernait cette saison. Si il devait choisir quelque chose sur la terre pour régner, il choisirait la seule chose féminine qu'il admire : la neige.

S'écartant de ces pensées trop mélancoliques et réfléchies pour lui, Valse redevint le stupide macho qu'il était. Tentant de regarder sa blessure sous un autre angle, il finit par hausser les épaules et ne plus y prêter attention. Ce n'était que bénin. Ses yeux parcoururent de nouveau l'endroit où il se trouvait. Un soupir exaspéré lui échappa. Que faisait-il ici, dans un lieu où il n'y avait pas âme qui vive ? Il n'avait pas bien compris sa démarche. Le félin s'apprêta à retourner chez lui lorsqu'il entendit quelque chose de vivant. Une respiration. Des pas. Une hésitation. Sa tête pivota lentement, comme au ralenti. Une dame. Un instant de suspension, comme le point à la fin d'une phrase. Un moment où tu la dévisageas, clairement intéressé par son physique. Ma foi, elle doit te plaire, pour que cette étincelle dans tes yeux s'allume. Je connais bien cette étincelle. Elle a piqué ton intérêt, tu n'as que ça à faire de ta vie. Tu n'as pas d'avenir, Valse. Pas d'endroit où aller. Et je sais que c'est pour ça que tu ne te donnes pas la peine d'en avoir un. Tu te juges trop infaillible pour avoir un plan de secours. Tu es trop parfait pour t'abaisser à ça. Tu n'as pas de futur. Tu vis ton présent sans te poser de question. Est-ce bon ou mauvais ? Nous le verrons plus tard, je suis narrateur, pas devin.

Elle avait l'air si ... fragile. Malgré que lui soit blessé et pas elle, il continuait de l'admirer sans rien dire. Elle était comparable à un vase rempli de roses. Si beau, si ... éphémère. D'un geste maladroit, le vase bascule de la table et toute sa beauté s'en retrouve étalée à même le sol, d'une manière pitoyable. Valse se sait sans remords, infâme, un pur salaud. Et pourtant, il continue. Ça fait partie de sa vie, maintenant. C'est sa seule raison de vivre. La seule esquisse de son avenir qui tangue. Elle s'approche, sans délivrer la moindre parole. Elle l'aide. Il retire presque sa patte, dégoûté par la compassion qui brille dans son regard. Tu n'as pas besoin d'aide, n'est-ce pas Valse ? Même si tu étais agonisant, tu aurais de la peine à accepter cette aide. On ne te veut que du bien, et pourtant tu refuses. Encore et toujours. Tu crois pouvoir te débrouiller seul, dans tous les cas, te sortir de toutes les situations. Tu crois vraiment être un dieu vivant. Elle soigne ta patte. Tu hésites entre la chasser d'un coup violent ou la laisser faire et frémir d'indignation. Tu choisis la seconde option, à contre-cœur. Pour ne pas être venu ici pour rien. Contrairement à elle, tu parviens à parler. D'un air plutôt chaleureux, d'ailleurs. Tu t'en félicites, j'en suis certaine.

« Ce n'était pas grand-chose ... Pas besoin de s'en occuper avec autant d'attention. Mais soit, je vous remercie. Je suis Valse des Noctambules, du Clan du Vent. Et vous ? »

Il sourit. Un sourire artificiel, qu'il travaillait depuis tout-petit. Tellement parfait. Comme lui.

Anonymous
Invité
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Dim 13 Nov 2011 - 12:54





Comme un être éphémère...





Sens-tu cette brise qui te caresses ? Elle t'amènes au plus profond de ton sommeil, dans les bras de morphée. La où tes rêves sont les plus réalistes et tes pensées les plus libres. Dans un mélange d'illusion et de fantastique, les melodies que te fredonne ton esprit sont les plus terrifiantes. Elle t'envoûte dans une danse frénetique et glacial que rien ne peut arrêter. Alors tu l'écoutes, tout tes sens sont en éveil comme aux premières secondes de ton existence. Les gouttes tombent les unes après les autres dans un rythme métronomique et elles tombent encore comme si elle ne s'arrêterait. Ce temps te rend triste, mélancolique. Il te rappelles ces après-midi passaient avec ta soeur. Oui, ces moments où vous vous battiez ensembles, et vos fugues hors du camps, ces moments où tu as failli la perdre et elle aussi. Vous ne faisiez qu'un, mais maintenant vos chemins ce sont séparés. Elle est partie loin de toi, elle te manques. Pourquoi est-elle partie tu n'en sais rien. Elle t'a abandonné, dans cette forêt où réside la loi du plus fort. A deux vous y sauriez arrivé, mais maintenant il te manque ta moitié. Mais dans ces moments-là il ne faut pas pleurer, ressaisis toi. Tu es guerrière à présent, tu dois vivre ton destin seul. Mais cette évènement restera pour toi comme une trahison. Tu vis ton regard dans un bout de verre. Il était brillant, de quoi ce chat allait-il se douter maintenant ?


Tu fixa ce chat, il dégageait un charme, mais deux côté de lui-même il présentait. Tu regarda son sourire, si maladroit et tellement faux. Le mensonge à l'état pure, si froid. Ces paroles étaient mielleuses, comme son sourires. Mais tu leva les yeux vers son regard, une des seuls choses qu'il ne savait sans doutes ne pas contrôlait. Comme si son corps était couper en deux, d'une lame aussi froide qu'un couteau sans âme. Au milieu son coeur surement, enfin peut-être le découvrirais-je de pierre ou de rose ? Valse avait l'air d'une découverte à lui tout seul. Quelque chose qu'on découvre au fil des jours, telle des enfants devant un calendrier de l'avent, mais pendant toute une vie. Tu regarda quelques secondes cette serres si désastreuse. Des chats ont-ils pu vivre dedans ? En tout cas il y a des années cette pièce devait-être remplie de plantes en tout genre, et qui sais peut-être une source médicinal pour nos ancêtre. Ton regard se raccrocha rapudement à ce chat, mais que pouvait bien t-il dégageait d'aussi fort. Comme un bateau et son port. Bien qu'insséparable à moins qu'une tempête vienne tout briser, comme la moindre des choses éphémère. Un papillon passa rapidement sous ton épaules, couvert de rosé et brillant comme la prunelle de tes yeux. Il était si beau, comme couvert d'un or pur. Il dégageait un sens magique à cette serre. Tu le regardait finir sa route et peut-être sa vie, loin, très loin.


Tu répondis à ces paroles mielleuse, d'un air surement plus acceuillant:
" Je suis Coeur de Sable, de la Rivière. Comment êtes vous arrivez ici, un endroit si triste et innaceuillant. Heureusement que je vous est entendu, au moins en arrivant à votre clan vous pourriez dire que vous vous êtes soigné tout seul. Egoïste du vent."

Son regard n'avait pas changé comme figé dans le temps. Tu attendait une réaction, fausse ou vraie que sais-je...
Anonymous
Félin Légendaire
Élégance du Rat
Félin Légendaire
Sam 3 Déc 2011 - 21:37
    | UP |
Élégance du Rat
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Dim 11 Déc 2011 - 9:31
    [ Je réponds dès que j'ai le temps et l'inspiration pendant les vacances de Noël ♥ ( soit dans une semaine et deux jours, damn ) ]
Anonymous
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I'm an anti-social anarchist dyslexic so and so ... [ Sable ]

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